Il aura fallu trois semaines pour que la Commission européenne demande à Elon Musk des « documents internes liés à des changements de rythme récents ». Tout le monde a, en effet, remarqué depuis le début de l’année qu’il suffit d’ouvrir X (ex-Twitter) pour être bombardé de messages du milliardaire trumpiste, qu’il s'agisse d’accusations contre le Premier ministre britannique ou de son soutien à l’extrême droite allemande. Mieux, le patron de Tesla a jusqu’au 15 février pour répondre à Bruxelles, la Commission européenne ayant élargi l’enquête en s’arrangeant pour ne pas prendre de décision avant les élections allemandes, qui auront lieu le 23 février.
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