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Julia Simon : « C'était une vraie course de guerrière » - Biathlon - Coupe du monde (F)
L'Équipe
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il y a 10 mois
Arrivée sixième de la mass-start ce dimanche, au lendemain de sa deuxième place sur la poursuite, la Française Julia Simon avouait avoir manqué d'énergie pour mieux terminer cette semaine de Coupe du monde au Grand-Bornand.
Catégorie
🥇
Sport
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00:00
On ne sait même plus quoi penser de toutes ces émotions-là, il y en a tellement de partout.
00:03
Vous là, vous êtes dans quel état, quelques minutes seulement après cette masse tarte ?
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Je profite quand même de l'ambiance du Grand Bornand, c'était une super ambiance.
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Après, il y a un petit peu de déception de ne pas être allée chercher cette victoire,
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mais je pense que j'avais placé la barre assez haute.
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Donc finalement, une course de guerrière aujourd'hui, je n'ai pas su répondre présente,
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j'ai fait beaucoup trop d'erreurs.
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Donc voilà, je reste quand même sur la cérémonie des fleurs.
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Et ça, c'est non négligeable parce que les émotions sont super.
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On va revoir également votre podium hier, parce qu'il y a aussi ce podium hier ici au Grand Bornand.
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C'est vrai qu'en biathlon, Alexis, Anaïs, tous les anciens biathlètes nous l'expliquent régulièrement.
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La différence entre une fleur et un podium, un podium et une victoire, parfois elle est minime.
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Mais être dans ces célébrations déjà, c'est quelque chose de très significatif.
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Et malgré tout, vous êtes sur le podium, vous êtes dans la cérémonie des fleurs.
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Ça veut dire que vous n'êtes pas si loin de ce top niveau que vous visez à chaque fois.
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Moi, je pense que parfois, le podium, quand tout se passe bien, on trouve que c'est normal de faire un podium.
01:05
On banalise presque une deuxième, une troisième place, comme ça a pu être le cas avec Martin pendant des années.
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Et en fait, il ne faut pas banaliser tout ça.
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Et même une cérémonie des fleurs, c'est des fois on court un petit peu après cette cérémonie des fleurs de se dire je rentre dans ce top 6.
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Et c'est vrai que le faire à la maison, ça a une saveur particulière.
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Et faire un podium à la maison, je pense qu'Anaïs l'a vécu aussi, c'est quelque chose d'assez incroyable.
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L'année dernière, il y a deux ans, pardon, il y a deux ans sur le podium.
01:32
Je trouve que ça a le goût de la victoire.
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Enfin, je ne sais pas, Julia, comment tu vis, mais c'est vrai que ce n'est pas une première place,
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mais un podium au grand beau, c'est presque comme si on avait gagné.
01:39
Je suis d'accord.
01:41
Et Francisca Preuss, par exemple, six podiums consécutifs.
01:43
Donc, c'est vous dire la régularité.
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Alexis.
01:46
Julia, ce début de saison a été un peu rocomolesque, si je peux le dire comme ça.
01:49
Au tout début, il y a eu des choses très, très bien avec ce premier relais.
01:52
Ensuite, derrière, un peu de douleur avec ce qui est arrivé dans la dernière montée, ce genre de choses.
01:57
On a senti que tu commençais de manière un peu progressive.
01:59
Et là, tout d'un coup, tu commences à être de plus en plus régulière, même si ce n'est pas des victoires.
02:03
C'est quand même, on vient de le dire, de plus en plus stable, de plus en plus souvent dans le top 5 ou le top 6.
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Tu viens de repasser troisième du classement général.
02:11
C'est quoi maintenant l'objectif clair un peu pour cette deuxième partie de saison ?
02:14
On vient de finir un énorme bloc.
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On a fait le point tout à l'heure avec Emilien.
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C'est à partir de maintenant qu'on peut un peu décider si on se réoriente sur les mondiaux,
02:21
si on continue plutôt pour essayer d'ouvrir le classement général de la Coupe du Monde.
02:25
Qu'est ce que tu en penses et quel bilan tu tires de ce premier mois de compétition ?
02:29
Très bonne question, parce que du coup, je l'apprends.
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Donc c'est bien, c'est cool de faire les fêtes.
02:33
Quatrième, pardon.
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Tu reviens au contact de loup.
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Effectivement, je me suis un peu disemballé, je suis désolé.
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Je me suis dit qu'il y avait quand même...
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Tu étais juste derrière.
02:41
Non, c'est bien.
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En fait, je n'ai pas envie de me mettre...
02:44
Je l'ai vécu il y a deux ans, d'arriver ici au Grands Bois avec le Jaune.
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On ne me parlait que de ça.
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Toute la saison, on ne m'a parlé que de ça.
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Et en fait, j'ai envie de profiter.
02:53
J'ai envie de faire du biathlon comme j'aime, d'avoir des courses peut-être où je me dis
02:56
bah là, j'y vais, je lâche les chevaux, j'engage un peu plus, on verra ce que ça donne.
03:00
J'ai envie de vraiment faire mon biathlon.
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Donc je prends une course, chaque course après l'autre et on verra où ça me mène.
03:07
Le général n'est pas mon objectif sur toute cette saison où j'ai une prépa un petit peu plus compliquée.
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Mais je pense qu'on est dans les clous avec Cyril.
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On s'était dit que le début de saison serait difficile, que j'espérais me lancer au Grand Bornand.
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C'est le cas.
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Donc maintenant, je vais aborder les fêtes avec de la sérénité, du calme et me disant
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OK, on est dans le timing et on verra ce qu'il en est en janvier.
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Essayer d'aller décrocher cette première victoire de la saison.
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Tu les aimes bien ces sites du mois de janvier, les grands sites allemands, là vraiment, ces
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dates un petit peu historiques.
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Moi, je pense que quand on a la forme, on aime tout.
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On aime tous les sites.
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Donc forcément, après, en termes d'ambiance, Oberhof est génial.
03:42
J'ai des super souvenirs avec les Mondiaux là bas.
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Donc, bien sûr, j'aime bien, c'est des très belles tournées, mais est ce qu'on a réellement
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des sites qu'on n'aime pas ?
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Peut être un petit peu les sites Contiolati, j'ai eu ma première victoire, j'ai un petit
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attache particulier là bas, mais quand même, il manque de public.
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Donc c'est sûr que la tournée de janvier est sympa pour l'ambiance.
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Puis ça manque de lumière Contiolati aussi.
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Ça manque de lumière à un moment donné, on est content de prendre un peu le soleil.
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On a beaucoup guetté votre forme, Julia.
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Comment est ce que vous avez géré cette situation là ?
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Parce qu'effectivement, on vous voit là de nouveau performante, mais on sait à quel
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point le mental, le doute peut vite s'immiscer chez une biathlète.
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Comment est ce que vous avez géré cette période pour être aussi bien en ce moment ?
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Je pense que j'ai été un petit peu pénible quand même.
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Ça se traduit comment ? Vous êtes pénible comment au quotidien ?
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Alors moi, il paraît, d'après Paulo et Cyril, si je ne ronchonne pas régulièrement,
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c'est que je ne suis pas en forme.
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Et apparemment, j'étais devenue trop calme.
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Paulo venait me dire, on n'a pas la vraie Julia.
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Tu ne ronchonnes pas beaucoup, donc ronchonne un peu.
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Donc non, je l'ai géré.
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Ça a été dur, ça a été difficile à accepter.
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Ce qui a été le plus dur, ça n'a pas été de ne pas avoir les jambes, c'était de ne pas
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réussir à mettre le tir.
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Parce qu'en fait, c'est là où je trouve que les grandes championnes communes d'Orotéa
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Vireur font la différence.
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C'est en fait, elles n'ont pas les jambes, mais elles mettent les balles et elles arrivent
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à s'en sortir avec des top 10, des top 15.
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Chose que jusqu'à maintenant, je n'avais pas réussi à faire.
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Donc c'était ça le plus difficile à accepter, de me dire OK, tu n'as pas les jambes, mais
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tu peux toujours très bien tirer, tu n'as pas besoin de tes jambes pour tirer.
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Mais je l'ai accepté et j'attendais de retrouver des sensations avec impatience.
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Et le sprint a été un énorme soulagement, je dois l'avouer.
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Le sprint, un soulagement.
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Et puis, vous repartez donc satisfaite de cette étape du Grand Bornand.
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Et c'est aussi ça l'essentiel.
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Julia, là, votre programme pour les fêtes avant de repartir en janvier.
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Moi, je vais passer les fêtes en famille.
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Je vais retrouver mes sœurs et mes parents.
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On va aller voir mes potes.
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Et après, je vais du côté de Schellkirchen en Allemagne pour faire le show avec Fab.
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Ça va être aussi sympa.
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C'est le biathlon de GM aussi, le biathlon Champagne, comme on dit.
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Donc, ça va être cool.
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Prendre du plaisir et profiter du temps en famille.
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Schellkirchen pour Fabien Claude également, qui vous accompagne.
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C'est un bon duo qui marche bien là bas, visiblement.
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On est invités, donc on nous accepte encore.
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Ça fait quoi, deux fois, trois fois que vous faites ensemble ?
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Ça fait deux fois, je crois.
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C'est deux fois.
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On va jouer la troisième victoire.
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L'ambition est là.
05:59
Jamais deux sans trois, vous le savez.
06:01
Julia, merci infiniment d'être passée nous voir.
06:03
Bonne fête à vous.
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Profitez bien et on vous retrouve avec plaisir sur la plus haute marche du podium,
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cette fois en janvier.
06:08
Merci infiniment d'être passée vous voir, Julia.
06:10
Merci vraiment, un bonheur de vous avoir avec nous comme à chaque fois.
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