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Nomination du Premier ministre : un problème insoluble pour Emmanuel Macron ?
Europe 1
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il y a 1 an
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00:00
Et ce suspense qui n'est plus insoutenable, mais plutôt insupportable.
00:04
Alors les noms circulent, qui sera l'élu, qui va prendre en la succession de Michel Barnier ?
00:08
On va en parler dans quelques instants.
00:10
En attendant, on va d'abord écouter Jérôme Guedj, député PS de l'Essonne.
00:15
Il était l'invité de Sonia Mabrouk pour sa grande interview sur Europe 1 et C News.
00:20
Les insoumis et les socialistes, vous le savez, ne sont pas d'accord sur la stratégie à adopter.
00:25
Le PS pourrait rejoindre le bloc élargi voulu par Emmanuel Macron.
00:29
Mais on va écouter Jérôme Guedj, et vous allez voir, il nous parle de son divorce avec LFI.
00:34
Jean-Luc Mélenchon et les insoumis ont souhaité ma défaite.
00:36
Donc moi, l'émancipation par rapport à eux, elle a déjà été faite.
00:39
Vous, le divorce est acté de votre côté.
00:41
Oui, il est acté, mais je distingue la direction de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon,
00:46
et ceux des électeurs que moi je rencontre, des militants sincères de la France insoumise,
00:50
qui, eux, aspirent à un certain nombre de propositions,
00:54
mais simplement qui cherchent le chemin de l'efficacité,
00:56
et qui voient, à un moment donné, qu'à force de vitupérer, à force de plastroner,
00:59
à la fin, on n'obtient pas les objectifs poursuivés.
01:02
Mais j'imagine qu'ils veulent de la cohérence.
01:03
Vous êtes quand même un élément clé du dispositif socialiste.
01:06
On a vu que M. Ford, hier, a pris vraiment ses distances avec Jean-Luc Mélenchon.
01:09
Je m'en félicite, voilà.
01:10
Mais est-ce que c'est la politique des petits pas, ou est-ce que le PS, ce matin,
01:13
pourrait nous dire, finalement, va rompre définitivement, quoi qu'il en coûte, électoralement ?
01:18
En tous les cas, moi, c'était prévisible, ça a été inéluctable,
01:23
notamment au lendemain du 7 octobre.
01:25
Et au regard des choix, par exemple, de se focaliser sur la question de la destitution,
01:31
puis de la démission du président de la République,
01:33
nous, on n'a pas cette priorité-là, au lendemain de la motion de censure.
01:37
Un sens des responsabilités consiste à dire qu'il faut offrir de la stabilité au pays,
01:42
tenir compte, ce qu'en avait pas fait Emmanuel Macron, de cette tripartition,
01:46
et essayer de trouver un chemin qui est respectueux, je le redis,
01:49
de cette préférence donnée à la gauche, mais aussi du Front républicain qui a fonctionné,
01:53
plutôt que d'être dans cette obsession de renverser Emmanuel Macron.
01:57
Il y aura des élections présidentielles en 2027,
02:00
et rendez-vous à ce moment-là, plutôt que dans l'accélération du calendrier.
02:05
Moi, je ne suis pas de ceux qui souhaitent ajouter du chaos à la crise, quoi.
02:08
– Vous avez dit que le Front républicain a fonctionné,
02:10
il a tellement fonctionné que si on en croit les sondages,
02:13
encore, je le dis à l'instant T, et un sondage très commenté,
02:16
Marine Le Pen est gagnante dans sa stratégie de censurer.
02:19
Est-ce que ça ne confirme pas, quand même, que ce sont les partis
02:21
qui ne se sont pas mêlés à ces consultations avec l'Elysée,
02:24
M. Goetz, qui ont en sorte renforcé ?
02:27
– Je ne sais pas, moi, je regarde avec lucidité les sondages,
02:32
et puis le niveau de popularité de Marine Le Pen,
02:35
mais c'est la raison pour laquelle, moi, je préfère avoir une confrontation
02:38
sur le terrain des idées, et de savoir exactement quels sont ceux qui sont cohérents.
02:42
On peut se battre pour les services publics,
02:44
mais il faut assumer de dégager des ressources et des financements.
02:47
– Est-ce que vous trouvez normal qu'on exclue, d'ailleurs, côté LFI comme côté RN,
02:50
tant de millions d'électeurs des discussions de ce qui va advenir ?
02:54
– Moi, j'avais compris que La Réunion, elle portait sur ceux
02:57
qui avaient participé au front républicain.
02:59
LFI a été invité, il a d'ailleurs fallu qu'Olivier Faure
03:02
et les dirigeants du Parti Socialiste disent que c'était un peu anormal
03:05
de ne pas les inviter.
03:06
C'est nous qui, les premiers, avions demandé au Président Macron
03:09
d'organiser ce type de consultation.
03:13
Et ils n'ont décidé de ne pas y aller, ils se sont auto-exclus.
03:15
C'est leur problème, c'est la divergence de stratégie que nous avons avec eux,
03:19
et du côté du RN, par définition, ils ne font pas partie du front républicain
03:24
qui s'est exercé.
03:25
Que le Président de la République se rappelle de cet événement majeur
03:28
a posteriori, c'est une bonne nouvelle.
03:31
Je regrette qu'entre-temps, il y ait eu le passage par Michel Barnier
03:34
et cette idée qu'on scelle le sort du gouvernement,
03:38
du bon vouloir de Marine Le Pen.
03:39
– Voilà, Jérôme Gage ce matin avec Sonia Mabrouk sur CNews Europe 1,
03:44
Olivier Dartigolle à les 13h34.
03:47
On sait qu'Emmanuel Macron va rentrer plus tôt, effectivement, de Pologne.
03:51
François Bayrou tient toujours la corde ?
03:53
– Donc une annonce fin d'après-midi.
03:56
Il semblerait que le Président de la République ait de nouveau testé,
04:02
peut-être, je mets tout ça au conditionnel,
04:05
une option Caseneuve, notamment auprès du Parti Socialiste,
04:10
mais décidément le PS retoque la proposition Caseneuve,
04:16
comme d'ailleurs Laurent Wauquiez n'a pas fait beaucoup de la promotion de M. Rotaillot.
04:22
C'est tout le paysage de la future présidentielle qui est encreux en sous-texte.
04:27
Donc l'option Bayrou revient une nouvelle fois,
04:31
ça avait été le cas vendredi, samedi,
04:33
comme l'option très certainement la plus forte dans les conditions politiques actuelles,
04:40
mais que de temps perdu puisque la censure c'est jeudi dernier.
04:44
– Oui, c'est une semaine.
04:45
– Et Emmanuel Macron aurait donc retesté d'autres options hier soir,
04:51
peut-être encore à l'heure où l'on se parle.
04:53
Cette réalité est l'un des éléments de la crise politique actuelle
04:58
qu'un Président de la République ne peut,
05:00
alors il peut y avoir la procrastination dans la vie,
05:04
mais quand on est dans une telle crise politique institutionnelle,
05:08
moi je trouve que c'est un élément de la crise que nous vivons
05:12
d'avoir un Président qui est dans une forme d'incertitude, de doute.
05:16
– Comme s'il n'était pas sûr de lui, vous le devez cher ami,
05:20
comme s'il n'était pas sûr de lui.
05:22
Je vais essayer de modérer mon sentiment profond,
05:29
je trouve que c'est quand même assez déstabilisant
05:34
de ne pas savoir, de remettre en cause, semble-t-il encore à l'heure qu'il est,
05:39
le nom de son futur Premier Ministre avec lequel il va être obligé de,
05:43
sinon partager le pouvoir, du moins travailler, essayer de commencer,
05:46
de commencer à redresser le pays,
05:49
il y est pour une part largement responsable,
05:51
je trouve ça, je ne vais pas employer de grands mots, je me calme,
05:55
je trouve ça extrêmement désobligé, enfin non, ce n'est pas le mot,
06:01
je trouve ça triste, j'espère quand même qu'il sait où il va,
06:05
qu'à l'heure où il accourte son voyage en Pologne,
06:08
il va rentrer vers quelle heure ? 18h, 19h ?
06:10
Oui, il a avancé, légèrement avancé.
06:11
J'espère qu'il sait déjà, à l'heure qu'il est,
06:13
l'homme qu'il va désigner comme Premier Ministre,
06:16
mais j'en suis pas tout à fait sûr.
06:17
Souvenir Jean-Claude Dassier, souvenir,
06:19
est-ce que son discours de réélection à la dernière présidentielle
06:25
nous a donné le sentiment de savoir où il voulait conduire la France ?
06:29
Mais ça ne me console pas.
06:30
Non mais ça veut dire, ça fait un moment...
06:31
Il n'a pas fait campagne...
06:32
Il avait une vision en 2017.
06:33
2017, oui !
06:34
Non mais en 2022, il parle.
06:36
Il n'a pas fait campagne.
06:38
Non, j'ai souvenir, moi qui ai la passion de la politique,
06:41
j'ai souvenir de la fin de son discours,
06:44
où il nous s'est dit de victoire, où il nous s'est dit...
06:46
La soirée était ratée, le discours était très...
06:49
Il est dans une impasse selon vous, aujourd'hui ?
06:51
En tout cas, s'il ne nomme pas...
06:53
Peut-être qu'il craint aussi un peu le tempérament de François Bayrou,
06:56
que je connais un peu, c'est-à-dire...
06:58
François Bayrou, c'est un tempérament,
07:00
c'est une personnalité politique...
07:03
Et par exemple, le fait que Sébastien Lecornu ne soit pas avec lui...
07:06
Oui, ça a été capturé, il nous a donné cette information hier soir,
07:09
et il a eu raison, on l'a donné sur Europe 1 dès hier soir,
07:13
ça pouvait donner le sentiment que Lecornu restait à Paris,
07:16
justement pour faire les derniers arbitrages,
07:18
passer quelques coups de téléphone, etc.
07:20
Bon, en fait, il y a une option forte aujourd'hui, c'est François Bayrou,
07:24
il y a un nom qui circule un peu depuis hier soir, encore ce matin,
07:27
c'est Pierre Moscovici.
07:28
Le patron de la cour des comptes ?
07:29
Oui, et il y a toujours, bien sûr, l'option Sébastien Lecornu
07:32
qui a été présente depuis la chute du gouvernement Barnier.
07:36
C'est un jeu de bonnes taux, on a la petite balle sous le verre ?
07:39
Je pense que le Président de la République cherche un homme,
07:41
un mouton à cinq pattes,
07:43
qui est chargé quand même prioritairement d'exclure les contraires,
07:46
c'est-à-dire, et les filles, évidemment,
07:49
et, quelque part, aussi, le Rassemblement National.
07:54
Exclure les contraires est une chose,
07:57
est-ce que ça suffira à trouver l'homme rare ?
08:00
Tout le monde y va de sa petite préconisation, de ses préférences.
08:03
Là, ce matin, la dernière en date,
08:05
c'est la patronne des écologistes, Marine Tendelier,
08:07
qui dit qu'elle ne veut ni Bayrou ni Cazeneuve.
08:09
Ah, vous voyez, ça confirme ce que je vous disais,
08:12
c'est-à-dire sur ces derniers arbitrages
08:14
venant d'une partie de la gauche
08:16
qui retoque Cazeneuve.
08:18
C'est quand même le spectacle donné.
08:21
C'est quand même désespérant, c'est pitoyable.
08:23
Ce qu'il a besoin d'essayer de trouver, encore une fois,
08:26
c'est exclure les contraires
08:29
et puis permettre au PS de rentrer dans le jeu.
08:32
Donc, voilà, c'est quand même la rupture
08:35
spectaculaire avec les Insoumis.
08:38
Et c'est la promesse, quand même,
08:40
si le PS entre, quelque part,
08:43
dans la configuration gouvernementale,
08:47
à savoir, qui reste et qui rentrera,
08:50
si c'est Cazeneuve, peut-être.
08:53
Si c'est un autre, on ne sait pas trop ce qu'il va se passer.
08:55
C'est ça qui est difficile.
08:58
Et en même temps, encore une fois,
09:01
comment on va constituer un gouvernement
09:04
qui aura quelques mois devant lui, quand même ?
09:07
Si c'est pour recommencer dans 3 mois, 3 mois et demi,
09:10
pour que Mme Marine Le Pen recensure le gouvernement
09:13
avec quelques amis.
09:15
Alors, si le PS entre,
09:17
la censure et le nombre de gens qui censurent
09:20
est plus difficile à trouver.
09:21
Je reviens sur ce que vous disiez il y a quelques instants,
09:23
Pierre Moscovici, patron de la Cour des Comptes.
09:25
Dans le contexte actuel,
09:27
de déficit abyssal avec ce budget,
09:29
ces textes à voter,
09:31
est-ce que ce n'est peut-être pas le good guy,
09:33
le bon bonhomme au bon moment ?
09:35
C'est un profil qui, bien sûr,
09:37
vu la conjoncture économique, financière,
09:40
budgétaire très dégradée,
09:42
peut correspondre à cette actualité politique.
09:45
Il a eu le verbe haut,
09:47
y compris pour les décisions
09:51
prises par Emmanuel Macron,
09:53
en disant qu'il fallait retrouver
09:55
une trajectoire compatible avec Bruxelles.
09:57
Mais, je m'interroge sur deux choses.
09:59
La première, c'est ses relations
10:01
avec le RN,
10:03
pour essayer d'aller chercher
10:05
une non-censure.
10:07
Ce que François Bayrou, pour des raisons
10:09
que je ne développe pas ici,
10:11
paraît obtenir lui.
10:13
Le lien avec le RN me semble fragile
10:15
concernant Moscovici.
10:17
Puis, c'est une page blanche
10:19
concernant
10:21
sa capacité à gouverner.
10:23
C'est lié aux autres forces politiques.
10:25
Revenir dans le chaudron de l'Assemblée nationale
10:27
pour essayer de chercher la voie de passage.
10:29
Olivier, je prends mon risque.
10:31
Je ne crois pas une seconde à l'hypothèse
10:33
qu'elle soit testée.
10:35
Depuis le temps qu'il teste,
10:37
il ferait bien de se tester lui-même.
10:39
Ce ne serait pas convenable.
10:41
Je le retire.
10:43
Franchement, j'espère encore une fois
10:45
qu'il a les idées claires,
10:47
notre président de la République,
10:49
qui va enfin commencer,
10:51
après avoir essayé de bâtir un budget
10:53
au début de l'année prochaine.
10:55
Parce que là, ce qu'on ne dit pas,
10:57
la loi spéciale qui va autoriser le gouvernement
10:59
à prélever l'impôt,
11:01
ça vous laisse beaucoup
11:03
de dispositions qui étaient dans le projet Barnier,
11:05
beaucoup de taxes,
11:07
d'arrangements fiscaux,
11:09
de décisions qui concernent
11:11
la vie des entreprises, etc.
11:13
En dehors
11:15
de tout texte sérieux
11:18
législatif.
11:20
Je ne dirais pas qu'on est
11:22
complètement nus, mais on est quand même
11:24
dans une situation du minimum
11:26
où on va prélever les impôts,
11:28
pour le reste, on ne sait pas où on va.
11:30
Les agriculteurs sont les premiers à s'en plaindre.
11:32
Donc il serait peut-être temps
11:34
d'arrêter de faire joujou et de prendre une décision.
11:36
La décision attendue ce soir
11:38
et ce sera sûr dans le journal de Pierre de Villeneuve
11:40
à 19h. C'est une certitude.
11:42
En attendant, on va continuer
11:44
à parler de ce rodéo politique auquel on assiste
11:46
ces dernières semaines, ces derniers mois.
11:48
Et si c'était pour Emmanuel Macron l'occasion
11:50
de faire enfin exploser la gauche
11:52
et notamment le nouveau Front Populaire.
11:54
On va en débattre.
11:56
Est-ce que la drogue est dans le prêt ?
11:58
Enquête du Figaro ce matin sur l'explosion du trafic de stupéfiants
12:00
s'est avérée, le nombre d'affaires a bondi
12:02
de près de 70%
12:04
en 10 ans dans nos campagnes.
12:06
On en parle.
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