Jeanne Duval, la muse haïtienne de Charles Baudelaire, la mulâtresse venue d’un pays lointain, inspira ce texte au poète : Toute la femme est mise en valeur dans ce poème sa chevelure, ses yeux, sa démarche, sa tête, sa bouche, enfin son corps tout entier. Satan n’est pas loin et , dans ce XIXe siècle puritain, ce poème lui vaudra un procès pour « immoralité » lors de la publication des fleurs du mal.
Écris le tout premier commentaire