L'Équipe de Greg du 9 septembre - L'Équipe de Greg - replay

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Retrouvez le replay de l'Équipe de Greg du 09/09/2024.

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Sport
Transcription
00:00:00Bonsoir à toutes et à tous et bienvenue en direct sur la chaîne Équipe.
00:00:02Il est pile-poil 18h20, nouvelle semaine que nous démarrons ensemble.
00:00:05La tristesse de la fin des Jeux Olympiques et Jeux Paralympiques, on en parlera dans le pourquoi.
00:00:09Mais bonne nouvelle, le foot est moins cher, enfin pendant deux mois.
00:00:12C'est l'équipe de Greg, saison 4 épisode 10, ça commence maintenant.
00:00:30Bonsoir à tous, j'espère que vous avez passé un bon et bon week-end de sport.
00:00:35Bienvenue dans l'EDG 13.0.
00:00:37C'est reparti pour une nouvelle semaine avec un joli casting ce soir.
00:00:39Bonsoir Alissa Debbini.
00:00:40Bonsoir Greg.
00:00:41Ça va bien ?
00:00:42Très bien, merci.
00:00:42A vos côtés, Karim Benhamid.
00:00:43Bonsoir Karim.
00:00:44Bonsoir Greg.
00:00:45Bonsoir à tous.
00:00:45Bonsoir Benoit Moulinas.
00:00:46Bonsoir Greg.
00:00:47En forme ?
00:00:47Très bien.
00:00:48Et de votre côté, Emilie Rose.
00:00:49Bonsoir Emilie.
00:00:49Bonsoir Greg.
00:00:50Bienvenue.
00:00:51Ludo O'Brien, regardez-moi ce jeune premier.
00:00:53Regardez ça, il est rasé comme jamais.
00:00:55Incroyable.
00:00:55Quel bonheur.
00:00:56So fresh et so clean.
00:00:57Oui, il a passé une heure de sabot, quoi.
00:00:59Voilà.
00:00:59Oui, c'est ça.
00:01:00Et bonsoir Candice Roland.
00:01:02On peut l'applaudir, tout fait ses débuts.
00:01:04On va tirer un four à faim.
00:01:05Voici Candice qui nous rejoindra toute l'année.
00:01:07Enfin, elle a eu sa peau.
00:01:08Enfin, je veux dire, gentiment quand on voit ça.
00:01:10Vous savez, la télévision, c'est une jungle.
00:01:13De quoi allons-nous parler ce soir ?
00:01:14Voici le sommaire de votre émission.
00:01:16Regardez ça.
00:01:17C'est très riche ce soir.
00:01:18Les Bleus doivent réagir après la défaite nette et pleine de bavures
00:01:22contre l'Italie 3 buts à 1.
00:01:24Quelques-uns de nos meilleurs ennemis sur la pelouse de Lyon.
00:01:27Ce sera France, Belgique.
00:01:29On en parle.
00:01:30Faire tourner, est-ce que c'est trop risqué ?
00:01:31Parce que ça pourrait être une troisième défaite de suite.
00:01:33Plonger vraiment les Bleus dans une sorte de crise.
00:01:35Et pourtant, on annonce un 11 très remanié
00:01:38avec un vrai manque d'expérience.
00:01:40Et puis, étaient-ce les plus beaux JO de l'histoire ?
00:01:42On a tranché.
00:01:43Oui.
00:01:44Pourquoi étaient-ce les plus beaux JO et Paralympiques de l'histoire ?
00:01:47On vous dira tout dans le Pourquoi du soir.
00:01:49Revive ces grands moments.
00:01:51En parlez ensemble entre sportifs, journalistes, amitiés.
00:01:54Les suiveurs, fans, téléspectateurs.
00:01:56Vous verrez, on s'en mettra plein les mirettes, plein les yeux.
00:01:59Oui, car je dis plein les mirettes.
00:02:00Pour rendre hommage à Ludovic Aubraniac,
00:02:01qui est notre maître en expression des années...
00:02:04Désuètes.
00:02:05Désuètes, obsolètes.
00:02:06Il y aura bien sûr Antoine Pinault.
00:02:08Aucun rapport avec le côté obsolète.
00:02:10Le petit filet, ce sera à 20h22,
00:02:11parce qu'on en rend plus tôt ce soir.
00:02:13Vous avez Israël-Italie, la Ligue des Nations sur la chaîne.
00:02:15L'équipe, l'autre match du groupe, ce sera chez nous.
00:02:17Le hat-trick, on jouera une fois ce soir.
00:02:20Émission raccourcie oblige.
00:02:21On aura le zapping.
00:02:23Bref, ça va être une émission très riche.
00:02:24Et puis, bien sûr, le super bingo.
00:02:27Il y a une phrase à ne pas prononcer.
00:02:29Et une seule dans cette nouvelle saison.
00:02:31Qui tombe rarement d'ailleurs.
00:02:32Qui tombe rarement, parce que vous êtes plutôt bons.
00:02:34Mais on va corser les choses.
00:02:3518h22, voici l'immanquable du soir.
00:02:43Et nous allons retrouver auprès des Bleus,
00:02:45Giovanni Castaldi, qui suit pour nous l'équipe de France cette saison.
00:02:49Bonsoir Giovanni, merci d'être avec nous.
00:02:51Giovanni, avant de s'inquiéter,
00:02:53avant de parler des remous de cette équipe de France,
00:02:56des coups de gueule de certains, et de la compo à venir,
00:02:59on vous écoute pour les dernières infos.
00:03:03Ah oui, bonsoir Greg, bonsoir à tous.
00:03:05Les dernières informations qu'on a, c'est qu'effectivement,
00:03:07cette défaite, même si certains ont tenté de minimiser les choses,
00:03:12ça a créé quelques tensions.
00:03:14On a eu écho du coup de gueule de Mike Maignan.
00:03:16On sait que le sélectionneur, même si devant la presse,
00:03:19il a cherché à dire qu'il était le premier responsable,
00:03:22il attend beaucoup plus de son équipe.
00:03:25Ce soir, il y aura quelques éléments de réponse.
00:03:27A noter aussi qu'il n'y a pas eu de blessés hier lors de la séance
00:03:30qui s'est déroulée au Groupama Stadium, qui est juste derrière moi.
00:03:34Il n'y a pas eu de mise en place tactique non plus,
00:03:36c'était une simple opposition avec les 18 joueurs présents hier soir à Lyon.
00:03:41Il y a un Groupama Stadium qui ne sera pas plein ce soir,
00:03:44contrairement au Stade de France vendredi dernier.
00:03:46La FFF espérait atteindre les 50 000 spectateurs,
00:03:50dont 580 spectateurs belges.
00:03:52Ce ne sera pas le cas.
00:03:53Comment expliquer ce manque d'influence ?
00:03:55Peut-être un manque d'engouement
00:03:57par rapport aux prestations des bleus ces derniers temps.
00:04:00Mais il y a d'autres explications,
00:04:02notamment la date, l'organisation.
00:04:05Un lundi soir, c'est peut-être un peu plus compliqué pour se déplacer.
00:04:09Les écoliers, les collégiens, les lycéens qui ne sont plus en vacances.
00:04:12Il n'y a pas non plus de joueurs lyonnais,
00:04:14ça n'aide pas non plus pour faire venir du monde au stade.
00:04:18Et puis il y avait sans doute aussi un manque de communication,
00:04:20on a pu lire ça sur l'annonce de ce match à Lyon.
00:04:24Mais bon, on remarque quand même que c'est un fait qui revient,
00:04:27ces derniers matchs sur les matchs des bleus,
00:04:29ce manque d'influence.
00:04:30On en parlera longtemps, de Mike Mignon, de Kylian Mbappé,
00:04:32de cette compo pour faire tourner.
00:04:34Est-ce que c'est trop risqué ?
00:04:35On va prendre vraiment le temps de parler de l'équipe de France.
00:04:37Mais Benoît, vous l'avez connu cette sélection.
00:04:39Je trouve qu'il y a plein de petits signaux,
00:04:42à minima légèrement alarmants.
00:04:44Je ne parle pas que du foot.
00:04:45Là, le fait que ce ne soit pas plein, moi ça me gêne un peu.
00:04:48Une métropole comme Lyon, il y a quand même énormément d'habitants.
00:04:51Ne pas faire le plein, même un lundi soir,
00:04:53pour toutes les bonnes raisons données par Alicia,
00:04:55ça me trouble un peu.
00:04:56Ce qui est surprenant, c'est que c'est quand même un France-Belgique.
00:04:58En plus, la fiche, vous avez raison.
00:05:00Pour la Biélorussie ou des équipes moindres,
00:05:03c'est quand même un France-Belgique.
00:05:05Ça devrait être à guichet fermé.
00:05:07Une mauvaise communication, je suis assez surpris d'ailleurs
00:05:09qu'on emploie ce terme, mauvaise communication,
00:05:11pour un match de l'équipe de France.
00:05:13Surtout, c'est un match de Ligue des Nations.
00:05:15C'est un match aussi qui va compter,
00:05:17puisque l'équipe de France a perdu face à l'Italie.
00:05:20Ça joue gros.
00:05:21Si on est sur le sportif, on est ce soir.
00:05:23Et puis après, si on veut parler du sportif,
00:05:25pour faire bref, parce qu'on en parlera longuement en suivant,
00:05:29oui, il y a des signaux alarmants depuis pas mal de matchs.
00:05:33Même si c'est passé jusqu'en demi-finale de l'Euro,
00:05:36on décryptait aussi pas mal de choses
00:05:38qui indiquaient que cette équipe de France
00:05:40était un petit peu malade,
00:05:41qu'il y avait 2-3 trucs qui ne fonctionnaient pas,
00:05:43qu'on n'avait pas un Kylian Mbappé
00:05:45qui était bon depuis quelques mois.
00:05:47On doit tout développer là-dessus, vous avez raison.
00:05:49Oui, il y a des petits signaux alarmants.
00:05:51On ira dans le sportif après, promis, tout le monde ira.
00:05:53Ce n'est pas étonnant, franchement,
00:05:55de voir si peu d'engouement, je trouve,
00:05:58pour ce match-là contre la Belgique.
00:06:00On parlait, Alicia, à juste titre,
00:06:01effectivement, de la rentrée, les enfants, tout cela.
00:06:03Mais la semaine dernière, il y avait du monde
00:06:04pour les Jeux Paralympiques à Paris.
00:06:05Et pourtant, il y avait aussi la rentrée.
00:06:07Il y avait des gens dans les stades.
00:06:08Tout était plein.
00:06:10Et malheureusement, je trouve qu'il n'y a pas d'engouement,
00:06:12effectivement, autour de ce match à l'équipe de France.
00:06:14Nous, c'est notre métier, on en parle.
00:06:16Mais franchement, cet euro raté
00:06:18nous a laissé un goût amer en bouche.
00:06:20Et aujourd'hui, quand on regarde cette équipe de France-là,
00:06:23ce fut le cas contre l'Italie.
00:06:24Alors si l'équipe de France avait gagné 4-0 contre l'Italie,
00:06:26peut-être que là, on aurait eu un engouement fort.
00:06:28Mais nous, on a autre chose.
00:06:29On a des biscuits, entre guillemets, pardonnez-moi là-dessus,
00:06:31sur le fait qu'il y a pas mal de choses à débriefer
00:06:33et à contester.
00:06:34C'est sûr. Sauf que là, le grand public,
00:06:36est-ce que le grand public va payer pour l'avoir imagé,
00:06:37l'équipe de France, comme ça ?
00:06:38Déjà, vendredi, au Parc des Princes, c'était pas plein.
00:06:40C'était pas plein.
00:06:41Et en termes d'ambiance, c'est parti très très bien.
00:06:43Et puis après, on sent qu'il y a quand même
00:06:44beaucoup de déception quand vous parlez avec les gens autour de vous.
00:06:46Il y a quand même une lassitude.
00:06:48Les JO dont on va parler
00:06:49ont mis une énorme claque à l'équipe de France.
00:06:51La France qui gagne, ça fait plaisir.
00:06:52On s'est redécouverts.
00:06:53Oui, mais du coup, c'est plus nobleux.
00:06:55La France qui gagne, c'est pas la France qui gagne.
00:06:57C'est la France qui produit les émotions.
00:06:59C'est pas pareil.
00:07:00Oui, mais ça gagne et il y a des émotions.
00:07:01Et qui gagnent.
00:07:02Il y a les deux.
00:07:03Je rappelle que la plupart des gens ne gagnent plus non plus.
00:07:05Non, mais je parlais des JO.
00:07:07Les JO, c'est la France qui gagne et qui procure des émotions.
00:07:09On salue Farouk qui est avec nous tous les lundis et vendredis.
00:07:12France-Belgique, mieux vaut être ridicule par sa tenue que par son jeu.
00:07:15Certes, en tous les cas, ce soir, c'est un gros adversaire.
00:07:17C'est pas plein.
00:07:18On va en parler.
00:07:19Vous démarrez, Ludo, sur le sportif.
00:07:21Mais pour le moment, voici le zapping préparé par Théo Combes.
00:07:28Occasion à venir pour la Croatie avec ce coup franc.
00:07:30Luka Modric face au mur polonais.
00:07:32C'est passé au-dessus.
00:07:34Et c'est dedans.
00:07:35Le génie de Luka Modric qui fait mouche encore une fois.
00:07:38Le capitaine qui guide la Croatie.
00:07:41Et qui, sur ce coup de patte magique,
00:07:44permet à la Croatie de matérialiser sa domination.
00:07:47L'occasion était trop belle.
00:07:50Deuxième 3-and-out consécutif.
00:07:53Il va chercher profond, Stafford.
00:07:55Avec un Jameson Williams complètement seul.
00:07:57Un mouchoir de pénalité aussi.
00:07:59Que vont dire les arbitres ? De quel côté est la pénalité ?
00:08:02En attendant, ça fait touchdown Detroit.
00:08:10Evidemment, ça va ouvrir des brèches ici.
00:08:11Mais il faut être juste techniquement.
00:08:13Oh, la lucide.
00:08:15Maximal est derrière.
00:08:16Ça peut se projeter avec Nico Williams.
00:08:19Le crochet est derrière la jambe.
00:08:21Nico Williams n'est pas terminé pour les Espagnols.
00:08:25Et c'est l'homme de l'Europe.
00:08:27Fabien de Ruiz, un des hommes qu'on l'a dit...
00:08:31Il n'arrive pas à échapper au plaquage de Saïli.
00:08:33Les Toulousains, déjà dangereux.
00:08:35Romain Tamac, le coup d'œil.
00:08:36La passe longue jusqu'à Kigo.
00:08:38Oh oui, c'est bien joué pour Thomas Ramos
00:08:40qui va planter le premier essai du stade toulousain.
00:08:44Pourquoi pas sur ce long ballon ?
00:08:45Il y a des solutions au centre avec Fabien de Ruiz.
00:08:48Et Fabien de Ruiz !
00:08:50Il n'y a pas de position de hors-jeu.
00:08:53Corribo-Horquez.
00:08:55MVP !
00:08:57Pas exactement la série offensive que les Browns
00:08:59avaient imaginée en sortant des vestiaires.
00:09:02Quatrième et 24.
00:09:04Et c'est bien joué.
00:09:06C'est bien joué.
00:09:08C'est bien joué.
00:09:10C'est bien joué.
00:09:12Quatrième et 24.
00:09:13Et un ballon relancé.
00:09:15Keivante Turpin.
00:09:16Il ne manquerait plus qu'un retour gagnant
00:09:18pour Keivante Turpin, numéro 9,
00:09:20qui attend le dernier bloc.
00:09:21Et qui va y aller !
00:09:22Le voilà !
00:09:23Keivante Turpin, le terrible,
00:09:25qui traverse le terrain sur un retour de punt.
00:09:38Vous pouvez entendre la chance.
00:09:40Poétique maintenant.
00:09:41C'est la paix qu'elle mérite.
00:09:43Alex Morgan
00:09:45sort de la piste pour la dernière fois.
00:09:47La fin.
00:10:11Début de seconde période.
00:10:12La sortie de Lamin Yamal
00:10:14pour Ferran Torres.
00:10:17Le résultat est là.
00:10:18Qui est venu pour fermer le couloir.
00:10:19Il l'a fait.
00:10:20Surtout pour travailler.
00:10:22Supériorité numérique.
00:10:23Il avait trois douzaines face à lui.
00:10:25Il a quand même conservé le ballon.
00:10:26Et Gorisen a servi.
00:10:27Bresler, déséquilibré par Brennan.
00:10:29Grande intensité sur cette phase de jeu.
00:10:31Gorisen, ceinturé par Paul Coste.
00:10:33Rourou.
00:10:34Ce jeu de pied, il est contré !
00:10:36Il est contré par Paul Tahou,
00:10:37qui l'a récupéré.
00:10:38Le retour désespéré de Rayassi.
00:10:40Le soutien de Ramos.
00:10:41Et Capozzo maintenant,
00:10:42qui va filer le long de la ligne.
00:10:43Est-ce que l'affache reprise par le crochet intérieur ?
00:10:45La passe à la limite pour Roumat,
00:10:47qui va s'écrouler.
00:10:48Le contraire pitoyable.
00:10:52Un petit peu plus de dix minutes
00:10:53de la pause.
00:10:57Kristiansen.
00:10:58Neurgaard.
00:11:00Poulsen.
00:11:01Ça c'est bien.
00:11:02Avec Gronbeck.
00:11:03Un pied au fond.
00:11:04Ça y est.
00:11:05Les Serbes ont le bonjour d'Albert.
00:11:07Gronbeck.
00:11:08Buteur.
00:11:09C'est son premier but
00:11:10pour sa deuxième sélection.
00:11:18C'est bien compréhensible.
00:11:25C'est pour ça qu'on parlait de l'expérience
00:11:26comme un fait très important
00:11:28dans cette finale.
00:11:32Il s'en sort sur ce point,
00:11:33mais un peu miraculeusement,
00:11:35le saut statique de Yannick Siné
00:11:38est un peu au-dessus.
00:11:41Bien joué.
00:11:43Au centre, vers Poulsen.
00:11:44C'est pas terminé avec Kristiansen.
00:11:46Mais il n'a pas pu.
00:11:47Il n'a pas pu.
00:11:48Il n'a pas pu frapper.
00:11:49Il aurait bien aimé.
00:11:50Oh, c'est pas mal fait.
00:11:51Oh, que c'est beau !
00:11:52Oh oui !
00:11:53Oh oui, Poulsen !
00:11:54Oh, fantastique !
00:11:56Quelle retournée magistrale !
00:12:00Magnifique.
00:12:03Magnifique.
00:12:05Un but stratosphérique
00:12:07de Youssouf Poulsen.
00:12:10Eh bien, il a bien fait de rester
00:12:11sur la pelouse, Olivier.
00:12:12Ah oui, je suis d'accord avec vous.
00:12:14Alors là, un geste exceptionnel.
00:12:18Je ne change pas non plus,
00:12:19Andy Rodic.
00:12:20Je veux bien que tu ne sois plus
00:12:22le dernier américain au final,
00:12:23mais enfin le dernier maqueur.
00:12:25Je veux le rester.
00:12:29Oh, les angles.
00:12:30Superbe zone.
00:12:31La manière avec laquelle il rentre
00:12:32dans le mur,
00:12:33qui lui permet d'aller chercher
00:12:35cet angle-là.
00:12:37Oh oui.
00:12:38Oh ouais.
00:12:39C'est bien fait pour Favre,
00:12:40mais il n'a pas pu trouver
00:12:41de partenaire.
00:12:42C'est Danglo qui récupère
00:12:43ce ballon.
00:12:44Attention à la contre-attaque.
00:12:45Jules Danglo qui évite
00:12:46un premier plaquage.
00:12:47Le deuxième, il a des solutions
00:12:48sur l'extérieur.
00:12:49Ça va aller à la dame,
00:12:50ça, normalement,
00:12:51avec Fahim Gahanoukou
00:12:52pour Drian,
00:12:53qui va aller marquer
00:12:54un doublé.
00:12:55Gaël Drian,
00:12:56le deuxième essai
00:12:57pour les Toulonais.
00:12:58Il faut le transformer
00:12:59pour aller chercher
00:13:00le point de bonneuse défensive.
00:13:02Nes,
00:13:04qui veut lancer Néao.
00:13:05Le saut pour Fernandez.
00:13:06La frappe.
00:13:07Oh, la belle reprise.
00:13:08Et ça va au fond.
00:13:09Lui qui vient fêter
00:13:10son 600e match en carrière
00:13:12par un but.
00:13:14Magnifique, cette reprise
00:13:15à la passe Léao.
00:13:17Au but, Bruno Fernandez.
00:13:19Le jour de ses 30 ans.
00:13:22Yannick Sinner
00:13:23soulève ce trophée.
00:13:24Andy Roddick reste donc
00:13:25le dernier Américain
00:13:26à avoir gagné
00:13:27un titre du Grand Slam
00:13:28et à avoir gagné
00:13:29l'US Open en 2003
00:13:30face à Juan Carlos Ferreiro.
00:13:31Pas de successeur
00:13:32encore cette année.
00:13:34C'est une très bonne
00:13:35reprise.
00:13:37Rien à faire
00:13:38sur la scène,
00:13:39mais Orlando peut le garder
00:13:40avec Marta
00:13:41qui l'arrête dans l'arrière-plan.
00:13:42Marta gagne !
00:13:51Le superstar,
00:13:52Marta
00:13:53avec un roquet !
00:14:06Dans la surface
00:14:07de réparation
00:14:08au 5m50.
00:14:09Oui, il est chez lui.
00:14:10Et oui, il va inscrire
00:14:11un nouveau but.
00:14:13Et communiqué
00:14:14avec tout le stade
00:14:15de Lisbonne.
00:14:16De Buzol,
00:14:17Portugal est devant
00:14:18le 132e but
00:14:19en sélection
00:14:20de Cristiano Ronaldo.
00:14:22Une belle action
00:14:23côté gauche.
00:14:24Décidément,
00:14:25cette équipe du Portugal
00:14:26aura été vraiment dangereuse.
00:14:30De retour sur le plateau
00:14:31de l'équipe de Reg.
00:14:32Et tout à l'heure,
00:14:33on va ouvrir
00:14:34une nouvelle chronique
00:14:35tous les soirs
00:14:36aux alentours de 19h15.
00:14:37Vous êtes bien avec nous
00:14:38et on va se demander
00:14:39pourquoi les Jeux de Paris
00:14:40étaient les plus grands
00:14:41de l'Histoire.
00:14:42Jeux Olympiques,
00:14:43Jeux Paralympiques.
00:14:44Georges Tireno,
00:14:45c'est lui ce soir
00:14:46qui sera à mes côtés.
00:14:47Il va vous donner
00:14:48tous ses arguments
00:14:49au lendemain
00:14:50de la cérémonie de clôture
00:14:51des Jeux Paralympiques.
00:14:52Nos envoyés spéciaux
00:14:53ont également interrogé
00:14:54le public du Club France
00:14:55hier soir
00:14:56et c'était déjà le blues.
00:15:01Ça va être horrible demain
00:15:02à l'école,
00:15:03déjà au lycée
00:15:04et au boulot
00:15:05ça va être affreux.
00:15:06Extrêmement triste.
00:15:07Ce qui me fait
00:15:08le plus pleurer
00:15:09c'est de me dire
00:15:10qu'il n'y aura plus
00:15:11la Vasque,
00:15:12qu'il n'y aura plus
00:15:13cette ambiance de fou
00:15:14qu'il y avait à Paris.
00:15:15C'était extraordinaire.
00:15:16J'aime Paris de nouveau.
00:15:17Ça m'a redonné
00:15:18l'amour pour Paris.
00:15:19Et de voir tout le monde
00:15:20heureux,
00:15:21on peut dire,
00:15:22en quelque sorte,
00:15:23malgré les problèmes
00:15:24qu'on a à côté.
00:15:25Donc c'est vrai
00:15:26que ça va manquer forcément.
00:15:27Ça nous a rappelé
00:15:28qu'on est tous français
00:15:29et qu'on est heureux
00:15:30de l'être.
00:15:31La France,
00:15:32elle a vraiment été géniale
00:15:33et on restera vraiment
00:15:34dans les mémoires
00:15:35de tout le monde.
00:15:36Évidemment,
00:15:37c'était les meilleurs
00:15:38jeux de l'histoire.
00:15:39Voilà,
00:15:40et ce sera tout à l'heure,
00:15:4119h10,
00:15:42sans tomber
00:15:43dans trop de nostalgie
00:15:44ou de mélancolie
00:15:45mais quand même
00:15:46un petit peu
00:15:47rappeler des bons souvenirs
00:15:48puis vous entendre
00:15:49parler de tout ce bonheur
00:15:50qu'on a vécu
00:15:51pendant plus d'un mois.
00:15:52Je ne sais pas
00:15:53si c'est du bonheur
00:15:54ou pas.
00:15:55En tout cas,
00:15:56l'équipe de France
00:15:57joue ce soir
00:15:58Joely Castaldi
00:15:59avec une équipe
00:16:00très romanier.
00:16:02Oui, une équipe
00:16:03qui devrait être très romanier.
00:16:04Je rappelle qu'il y a
00:16:05une grande précaution
00:16:06sur la compo probable
00:16:07puisqu'il n'y a pas eu
00:16:08de mise en place
00:16:09au Groupama Stadium
00:16:10et c'était une opposition
00:16:11mais c'est les derniers échos
00:16:12qu'on a eus dans les caches.
00:16:13Ça devrait être
00:16:14Mike Maignan.
00:16:15Sur la défense,
00:16:16il y a vraiment peu de doutes.
00:16:17Jules Koundé,
00:16:18à droite,
00:16:19sur le côté gauche,
00:16:20Lucas Digne,
00:16:21Dayot,
00:16:22Upamecano
00:16:23et William Saliba
00:16:24en défense centrale
00:16:25et milieu de terrain
00:16:26Fofana et Manu Koné.
00:16:27Côté droit,
00:16:28Ousmane Dembélé.
00:16:29Côté gauche,
00:16:30Mathéo Lolyzé.
00:16:31Là, il y a un doute,
00:16:32ça pourrait être
00:16:33un autre milieu de terrain
00:16:34plus défensif style
00:16:35Mathéo Ganduzzi
00:16:36et puis devant,
00:16:37Marcus Thuram.
00:16:38Merci Giovanni,
00:16:39vous allez rentrer
00:16:40dans le débat avec nous.
00:16:41Je vous pose la question,
00:16:42faire tourner autant
00:16:43avec autant d'inexpériences
00:16:44finalement annoncées
00:16:45certes par des choses
00:16:46est-ce que c'est trop risqué ?
00:16:47Qu'est-ce que vous dites
00:16:48sur vos ardoises
00:16:49et puis on va parler de tout ça ?
00:16:50Non, non et non,
00:16:51c'est l'unanimité à ma droite.
00:16:52Non,
00:16:53au point où on en est,
00:16:54c'est désabusé pour Ludo
00:16:55et non,
00:16:56pour Candice.
00:16:57Donc là,
00:16:58c'est un non.
00:16:59Ludo, en gros,
00:17:00voyons tout le monde
00:17:01et puis décidons après.
00:17:02Puisqu'il a été décidé
00:17:03tout de suite
00:17:04après ce match
00:17:05catastrophique
00:17:06contre l'Italie
00:17:07que Didier Deschamps
00:17:08serait en poste
00:17:09quoi qu'il arrive
00:17:10jusqu'en 2000.
00:17:11Ah mais vous étiez
00:17:12en train de le renégocier
00:17:13son poste,
00:17:14de le remettre en cause.
00:17:15Non,
00:17:16je pense que
00:17:17comme Didier Deschamps
00:17:18remet en cause
00:17:19le statut de certains cadres
00:17:20dans son équipe,
00:17:21peut-être que lui aussi
00:17:22a le droit
00:17:23à un moment donné
00:17:24de se poser la question
00:17:25sur ce qu'il propose
00:17:26sur la manière
00:17:27dont on s'est fait éteindre
00:17:28par les grosses nations.
00:17:29Nos quatre derniers matchs
00:17:30sur les quatre grosses
00:17:31dernières nations,
00:17:32on a été complètement
00:17:33battus
00:17:34et même dépassés
00:17:35tactiquement.
00:17:36Donc,
00:17:37est-ce que la question
00:17:38se pose ?
00:17:39Moi,
00:17:40je crois qu'elle devrait
00:17:41se poser
00:17:42puisque dans mon souvenir,
00:17:43une prolongation
00:17:44de quatre ans
00:17:45a été faite
00:17:46en Katimini
00:17:47dans une maison
00:17:48de l'Ouest
00:17:49de la France.
00:17:50Et donc,
00:17:51quelque chose
00:17:52qui s'est fait comme ça
00:17:53en Katimini
00:17:54et donc,
00:17:55quelque chose
00:17:56qui s'est fait comme ça
00:17:57entre deux personnes
00:17:58sans bilan,
00:17:59sans bilan,
00:18:00sans audite,
00:18:01sans rien,
00:18:02sans restructure,
00:18:03sans analyse
00:18:04des tournois,
00:18:05de ce que les gens
00:18:06ressentent.
00:18:07Moi,
00:18:08je trouve que
00:18:09l'équipe de France,
00:18:10c'est un service
00:18:11de bien public.
00:18:12Ça ne s'appartient pas
00:18:13à certaines personnes.
00:18:14Mais quel rapport
00:18:15est-ce qu'il y a
00:18:16retourné là ?
00:18:17Mais là,
00:18:18heureusement
00:18:19qu'on peut dire
00:18:20que ça va dans le sens
00:18:21de ce que je vous explique.
00:18:22En fait,
00:18:23puisqu'il va rester,
00:18:24il n'est pas inquiété.
00:18:25Donc,
00:18:26il n'y a pas le feu au lac
00:18:27de remettre les titulaires
00:18:28là tout de suite.
00:18:29En gros,
00:18:30là maintenant,
00:18:31il va essayer de trouver
00:18:32du sang frais.
00:18:33Il va essayer de voir
00:18:34d'autres joueurs
00:18:35pour essayer de…
00:18:36Mais il pourrait s'éviter
00:18:37le feu en mettant
00:18:38des joueurs plus expérimentés.
00:18:39Mais il n'y a pas le feu !
00:18:40Il est là jusqu'en 2026.
00:18:41Quoi qu'il arrive,
00:18:42il n'y a zéro feu.
00:18:43En fait,
00:18:44il n'y a que nous
00:18:45qui pensons qu'il y a le feu.
00:18:46Mais lui,
00:18:47il n'y a pas le feu.
00:18:48Donc,
00:18:49lui,
00:18:51il n'y a personne
00:18:52qui n'apparaît pas
00:18:53dans cette équipe-là
00:18:54aujourd'hui
00:18:55qui a donné satisfaction
00:18:56contre l'Italie.
00:18:57Il n'y en a pas.
00:18:58C'est comme Bafé.
00:18:59Non,
00:19:00mais Bafé…
00:19:01Je vous laisse répondre.
00:19:02Il faudrait qu'on l'écoute
00:19:03sur le fait qu'il…
00:19:04On écoute Didier Deschamps
00:19:05nous dire pourquoi
00:19:06il fait tourner
00:19:07puis après,
00:19:08on continue.
00:19:09Pour voir les joueurs,
00:19:10si c'est pour les prendre
00:19:11et qu'ils passent une semaine
00:19:12avec nous
00:19:13et qu'ils rentrent
00:19:14cinq ou dix minutes,
00:19:15même si je ne les mets pas
00:19:16dans la facilité,
00:19:17j'assume ça
00:19:18et les conséquences.
00:19:19On refuse
00:19:20sur la performance collective
00:19:21et le résultat.
00:19:22Maintenant,
00:19:23si le calendrier
00:19:24avait été différent
00:19:25et on avait
00:19:26des éliminatoires
00:19:27pour la Coupe du Monde,
00:19:28je n'aurais pas choisi
00:19:29ce cap-là.
00:19:30Là,
00:19:31il s'en sert quand même
00:19:32de cette Ligue des Nations
00:19:33qu'il a tant aimé
00:19:34quand il l'avait remportée
00:19:35de laboratoire.
00:19:36Pourquoi pas ?
00:19:37Mais en attendant,
00:19:38il dit
00:19:39je vois des joueurs,
00:19:40je les prends,
00:19:41c'est pour les voir.
00:19:42Ces derniers temps,
00:19:43il a pris des joueurs,
00:19:44on ne les a pas vus.
00:19:45Oui,
00:19:46alors l'Euro,
00:19:47il considère que
00:19:48les tests ne doivent pas
00:19:49être faits pendant l'Euro,
00:19:50ça s'entend aussi.
00:19:51On rappelle que Zeyer Emry
00:19:52n'a pas joué une minute
00:19:53en équipe de France
00:19:54pendant cet Euro.
00:19:55Les circonstances ont fait
00:19:56que le troisième match,
00:19:57l'équipe de France
00:19:58n'était pas sûre
00:19:59d'être en tête
00:20:00de la poule.
00:20:01Il est blessé.
00:20:02Je ne trouve pas
00:20:03que ce soit une hérésie
00:20:04de faire tourner aujourd'hui.
00:20:05Je n'ai pas dit hérésie,
00:20:06vous avez des mots,
00:20:07vous avez des mots trop fort.
00:20:08Trop risqué,
00:20:09trop risqué pour soi.
00:20:10Parce que trois défaites
00:20:11de suite,
00:20:12c'est du jamais vu.
00:20:13Il est quatrième,
00:20:14dans un mois,
00:20:15on reviendra
00:20:18et on repartira.
00:20:19Moi, je dis juste
00:20:20qu'aujourd'hui,
00:20:21il n'y a pas un titulaire,
00:20:22un discutant dans l'équipe
00:20:23de France
00:20:24qui ne soit pas titulaire
00:20:25ce soir contre la Belgique.
00:20:26Bien sûr,
00:20:27on peut s'étonner
00:20:28que Griezmann soit sur le banc,
00:20:29que Bappé, capitaine,
00:20:30soit sur le banc,
00:20:31mais honnêtement,
00:20:32sur ce qu'ils ont produit
00:20:33contre l'Italie,
00:20:34tant qu'à faire,
00:20:35jouons.
00:20:36Ça en dit long
00:20:37sur la question de tout à l'heure
00:20:38et vous avez peut-être
00:20:39aussi votre réponse.
00:20:40C'est que finalement,
00:20:41le public,
00:20:42et même nous
00:20:43qui sommes les premiers,
00:20:44peut-être qu'il y a
00:20:46avec cette équipe.
00:20:47Je suis désolé de vous dire
00:20:48comme ça,
00:20:49mais je suis un peu moins
00:20:50dans le quart
00:20:51que je ne l'étais avant.
00:20:52Avant, j'étais devant,
00:20:53première place.
00:20:54J'étais à côté du chauffeur.
00:20:55Je suis derrière.
00:20:56Je suis là
00:20:57et puis j'envoie des boulettes
00:20:58de derrière.
00:20:59Vous envoyez même
00:21:00des boules,
00:21:01plus lente.
00:21:02J'envoie des boulettes
00:21:03avec la petite sarbacane.
00:21:04Ça tient à un joueur,
00:21:05c'est tout.
00:21:06Le débat, il est clos.
00:21:07Ça tient à un joueur,
00:21:08un Bappé,
00:21:09s'il a le rendement
00:21:10qu'il doit avoir,
00:21:11demain,
00:21:12le stade, il est plein.
00:21:13Mais c'est une certitude.
00:21:15Si un Bappé,
00:21:16il plante,
00:21:17s'il fait un bon euro,
00:21:18s'il plante contre l'Italie,
00:21:19le stade,
00:21:20il est plein demain.
00:21:21Aujourd'hui,
00:21:22l'équipe de France,
00:21:23en ouvrant un Bappé
00:21:24depuis deux ans
00:21:25en équipe de France,
00:21:26c'est le patron
00:21:27qui lui donne le brassard.
00:21:28Sauf que là,
00:21:29depuis quelques mois,
00:21:30même son rassemblement
00:21:31avant l'euro,
00:21:32il n'est plus là.
00:21:33Et puis les déclarations.
00:21:34Si vous n'êtes pas content,
00:21:35changez de chaîne.
00:21:36Ce que vous pensez de moi,
00:21:37je n'en ai rien à dire.
00:21:38Tout ça,
00:21:39ça contribue aussi.
00:21:40D'ailleurs,
00:21:41tout à l'heure,
00:21:42on parlait du coup de gueule
00:21:43de Mike Maynard,
00:21:44justement,
00:21:45en se demandant
00:21:46si ce n'est pas lui
00:21:47le vrai leader,
00:21:48s'il peut prendre cette place-là.
00:21:49Je voudrais qu'on reste
00:21:50sur cette compo encore un petit peu.
00:21:51Je ne peux pas dire
00:21:52compo des coiffeurs.
00:21:53Ce serait un moyen
00:21:54de mon respect.
00:21:55Non, non.
00:21:56C'est pour ça que je ne le dis pas.
00:21:57Il y a des visages
00:21:58qu'on a envie de voir.
00:21:59Moi, je suis un peu partagé
00:22:00entre l'idée
00:22:01de découvrir des joueurs,
00:22:02voir si le maillot
00:22:03n'est pas trop lourd pour eux
00:22:04et puis en même temps,
00:22:05le risque de se dire
00:22:06que la compète
00:22:07peut être morte dès ce soir.
00:22:08Jeudi,
00:22:09on s'était dit,
00:22:11en tout cas, moi,
00:22:12ça me donnait envie.
00:22:13C'est quoi comme mot,
00:22:14alors, là, ce soir ?
00:22:15Oui, sauf que là,
00:22:16passer le match contre l'Italie,
00:22:17tu regardes ça
00:22:18et tu te dis,
00:22:19en même temps,
00:22:20quand on nous a demandé
00:22:21si c'était risqué,
00:22:22non, parce que,
00:22:23comme tu dis,
00:22:24au point où on en est,
00:22:25il y a là,
00:22:26il y a la rigueur.
00:22:27On va voir d'autres.
00:22:28Tous ceux où on pensait
00:22:29être rassurés,
00:22:30regardez l'Euro de Saliba,
00:22:31regardez le match de Saliba.
00:22:32C'est un micro exemple.
00:22:33C'est-à-dire que même
00:22:34ceux qui nous avaient rassurés,
00:22:35Kanté,
00:22:36qui nous avait un peu rassurés
00:22:38On attend quoi ce soir,
00:22:39Benoît, par exemple ?
00:22:40Le réveil, le sursaut.
00:22:41Qu'est-ce qu'on attend ?
00:22:42Une victoire à zéro,
00:22:43du jeu,
00:22:44de ne pas être trop déçu ?
00:22:45Surtout,
00:22:46on attend aussi
00:22:47d'un joueur
00:22:48qui nous fasse rêver.
00:22:49Moi, je suis type
00:22:50Olizé,
00:22:51moi, j'attends que…
00:22:52Il joue à sa vraie place,
00:22:53ce soir.
00:22:54Oui, moi,
00:22:55j'attends qu'il fasse
00:22:56un gros match
00:22:57parce que là,
00:22:58on a besoin de fraîcheur.
00:22:59Barcola l'a amené
00:23:00à éclipser totalement,
00:23:01à me baper
00:23:02et ce soir,
00:23:03on a envie qu'un Olizé
00:23:04prenne un petit peu le libre.
00:23:05Il doit confirmer
00:23:06ce qu'il fait
00:23:07à l'interdeminant.
00:23:08Il y a surtout,
00:23:09pour l'équipe de France,
00:23:10à éviter cette troisième défaite d'Affiné.
00:23:12Ça arrive peu dans l'histoire.
00:23:14La dernière fois,
00:23:15c'était en 2013.
00:23:16Les Bleus avaient perdu
00:23:17face à l'Espagne,
00:23:18l'Uruguay et le Brésil.
00:23:19Là, on en est à deux.
00:23:20Les défaites contre l'Espagne
00:23:21et l'Italie.
00:23:22Donc, ça arrive quand même peu
00:23:23d'avoir une telle série
00:23:24pour les Bleus.
00:23:25Giovanni,
00:23:26c'est vrai quand même
00:23:27que la state que vient donner Candice,
00:23:29que j'évoquais tout à l'heure,
00:23:30plus…
00:23:31Je ne peux pas dire le scepticisme,
00:23:32mais en tout cas,
00:23:33il y a presque le début
00:23:34d'une onse de désintérêt.
00:23:36De désamour.
00:23:37Oui, mais déjà,
00:23:38je ne suis pas loin du désintérêt.
00:23:40Et le désamour,
00:23:41on verra après.
00:23:42Ça m'embête un peu.
00:23:43Parce que moi,
00:23:44j'aime le foot
00:23:45et c'est vrai que
00:23:46je ne sens pas une urgence
00:23:47à me mettre devant le match,
00:23:48absolument.
00:23:52Non, mais Greg,
00:23:53je pense qu'il y a
00:23:54un phénomène tout de même.
00:23:55C'est que les Français,
00:23:56cet été,
00:23:57ont eu l'Euro de football.
00:23:58Que derrière,
00:23:59il y a eu
00:24:00les choses olympiques.
00:24:01Et qu'on est sur un rassemblement
00:24:02où l'équipe de France
00:24:03s'est énormément déçue
00:24:04dans le jeu.
00:24:05Qu'il y a certaines personnes
00:24:06qui se sont ennuyées,
00:24:07qui ont pris beaucoup plus
00:24:08de plaisir ailleurs.
00:24:09Donc, je pense qu'il y a
00:24:10le fait qu'on n'a pas été bon.
00:24:11Il y a le fait que c'était
00:24:12un euro chargé en sport
00:24:13qui peut expliquer ça.
00:24:14Et il y a aussi quelque chose,
00:24:15et c'est normal,
00:24:16et c'est comme,
00:24:17vous le savez peut-être,
00:24:18Greg, dans la vie,
00:24:19parfois,
00:24:20on est un peu lassé
00:24:21de certaines choses.
00:24:22Ça fait très longtemps
00:24:23que Didier Deschamps est là.
00:24:24Ça fait très longtemps
00:24:26que Didier Deschamps est là.
00:24:27Ça fait très longtemps
00:24:28qu'il y a des débats
00:24:29sur le jeu.
00:24:30Et quand il n'y a pas
00:24:31les coups d'éclair
00:24:32de grandes stars
00:24:33que ce qu'évoquait Benoît
00:24:34pour faire la promotion
00:24:35de cette équipe de France,
00:24:36ça peut un peu
00:24:37faire baisser l'intérêt.
00:24:38Moi, je reste convaincu
00:24:39que l'équipe de France,
00:24:40elle est encore très importante
00:24:41pour beaucoup de personnes,
00:24:42que c'est un moment particulier
00:24:43et qu'il ne faut pas
00:24:44être extrême
00:24:45dans les conclusions.
00:24:46Voilà,
00:24:47qu'on se pose des questions,
00:24:48qu'on s'interroge
00:24:49et qu'on fasse des débats,
00:24:50c'est très bien,
00:24:51mais il ne faut pas
00:24:52aller trop loin.
00:24:56Cette équipe de France,
00:24:57elle est encore largement aimée
00:24:58à travers de la France.
00:24:59Il n'y a aucun doute là-dessus.
00:25:00Vous avez raison.
00:25:01Après, personne ici n'a dit
00:25:02qu'on ne l'aimait plus.
00:25:03Mais il faut quand même rappeler
00:25:05qu'il y a un été olympique
00:25:06qui s'est passé,
00:25:07on s'est découvert
00:25:08toutes et tous
00:25:09des nouveaux champions
00:25:10accessibles,
00:25:11souriants,
00:25:12qui répondaient
00:25:13dans la demi-seconde.
00:25:14Mais ça, c'est le problème
00:25:15du footballeur en général.
00:25:16Ce n'est pas propre
00:25:17à l'équipe de France.
00:25:18Et donc forcément,
00:25:19moi j'espère juste une chose,
00:25:20c'est que ces JO
00:25:21vont faire bouger les lignes
00:25:22dans le foot.
00:25:23La déclaration,
00:25:24elle pèse lourde
00:25:25dans la balance.
00:25:26Honnêtement.
00:25:27Vous pouvez rêver.
00:25:28Oui, mais moi j'ai envie
00:25:29d'y croire.
00:25:30J'ai envie de croire
00:25:31que le ministre…
00:25:32Mais jamais vous ne
00:25:33retrouverez l'esprit
00:25:34des JO.
00:25:35Ils vont mettre des magots
00:25:36dans le foot.
00:25:37Je ne suis pas naïf
00:25:38à ce point-là.
00:25:39Je sais bien que ce n'est pas
00:25:40la même exposition
00:25:41et que 15 jours de gloire
00:25:42par rapport à une saison entière
00:25:43en étant suivie pendant 15 ans,
00:25:44ce n'est pas la même chose.
00:25:45Mais quand même,
00:25:46ça doit jouer.
00:25:47Et puis ce soir,
00:25:48dans ce match-là,
00:25:49pour regonfler l'intérêt
00:25:50de la rencontre,
00:25:53il y a cette équipe de Belgique
00:25:54qu'il va falloir se méfier
00:25:55de qui ?
00:25:56Notamment de la vitesse
00:25:57de Jérémy Doku.
00:25:58Ce n'est pas un scoop,
00:25:59il était passeur
00:26:00pour son capitaine vétéran
00:26:01presque avec ses 106 élections,
00:26:02c'est le plus capé.
00:26:03Et puis défensivement,
00:26:04ce n'est pas non plus
00:26:05une pression et un marquage fou
00:26:06qu'on a vu sur le but encaissé
00:26:07contre son camp de Castagne
00:26:10lors de cette rencontre.
00:26:11Et attention,
00:26:12quand les défenseurs montent,
00:26:14ça fait but.
00:26:15Montée de Faès
00:26:16avec la déviation d'Openda,
00:26:17l'ancien lanceur.
00:26:18Et puis Kévin Dobreng,
00:26:19lui, va en profiter
00:26:20pour s'offrir un 30e but
00:26:21en sélection sur pénalty.
00:26:22Victoire 3 buts à 1.
00:26:23Le tour, rappelons-le,
00:26:24sans Romelu Lukaku
00:26:25laissé au repos.
00:26:26Une équipe qui veut prendre
00:26:27un nouveau départ,
00:26:28la Belgique.
00:26:29Pourquoi ?
00:26:30Parce que les deux équipes
00:26:31s'étaient quittées
00:26:32sur un match plutôt très terne
00:26:33en 8e de finale de l'Euro.
00:26:34Vous vous en souvenez,
00:26:35ce n'était pas vraiment
00:26:36un grand match en Allemagne.
00:26:37Domenico Tedesco,
00:26:38le sélectionneur belge
00:26:39avait été très critiqué.
00:26:40On lui a reproché
00:26:41d'avoir été beaucoup trop frileux.
00:26:42Alors, il a mis un petit peu
00:26:43de temps à digérer.
00:26:44Il n'a pas fait son autocorps
00:26:50de critique tout de suite,
00:26:51à chaud.
00:26:52Mais maintenant,
00:26:53il a reconnu
00:26:54que ce n'était effectivement
00:26:55pas terrible.
00:26:56Regardez ce qu'il a déclaré
00:26:57en conférence de presse.
00:26:58Depuis mon arrivée,
00:27:03on a disputé de bons matchs,
00:27:05avec beaucoup d'intensité
00:27:06et d'agressivité.
00:27:07On n'avait pas ce beau visage
00:27:11à l'Euro.
00:27:12Vous avez raison
00:27:13et je dois l'admettre.
00:27:14Je vous parlais de nouveau départ,
00:27:18en tout cas de cette volonté-là
00:27:19en Belgique.
00:27:20Depuis,
00:27:21il y a eu un grand ménage
00:27:22qui a été opéré
00:27:23au sein de la Fédération belge.
00:27:24Pour ce rassemblement,
00:27:25Tedesco a fait le choix
00:27:26de ne pas faire appel
00:27:27à plusieurs anciens.
00:27:28Yannick Karasko,
00:27:29Witzel,
00:27:30Leandro Trossard,
00:27:31Lukaku, lui,
00:27:32a été laissé au repos
00:27:33comme nous l'a dit Candice.
00:27:34On sent qu'il y a
00:27:35cette volonté de renouveler
00:27:36en testant deux jeunes joueurs,
00:27:37de reconstruire la défense,
00:27:39puisqu'il y a Yann Vertonghen
00:27:40qui a pris sa retraite internationale.
00:27:42Et puis, Amadou Onana,
00:27:43l'ancien Lillois,
00:27:44a prévenu en conférence de presse
00:27:46ce sont de tout nouveaux
00:27:47diables rouges
00:27:48auxquels il faut s'attendre
00:27:49ce soir.
00:27:50Je pense que demain,
00:27:51vous allez voir une équipe belge
00:27:52plus libérée
00:27:53qui va jouer avec ses atouts
00:27:54parce qu'elle en a.
00:27:55Ça veut dire une Belgique
00:27:56plus offensive
00:27:57parce que j'ai vu une Belgique
00:27:58assez offensive
00:27:59contre l'Israël.
00:28:00Je pense qu'on est dans
00:28:01une toute nouvelle compétition
00:28:02avec une toute nouvelle équipe
00:28:03qui a à cœur de bien faire.
00:28:04Un nouveau départ,
00:28:05je pense que ça tardait
00:28:06sur le passé,
00:28:07ça ne va pas nous aider.
00:28:0843 ans
00:28:09que les Belges
00:28:10n'ont plus battu les Bleus
00:28:11en compétition.
00:28:12Il y a eu
00:28:14en compétition officielle
00:28:15donc ce serait tout de même
00:28:16un événement.
00:28:17On continue d'en parler
00:28:18avec le coup de gueule
00:28:19de Mike Maignan.
00:28:20Forcément,
00:28:21ça va nous replacer
00:28:22Kylian Mbappé
00:28:23au centre de l'échiquier
00:28:24ou pas d'ailleurs justement
00:28:25parce que ce n'est pas lui
00:28:26le vrai leader.
00:28:27Est-ce qu'il n'est pas
00:28:28une vraie alternative
00:28:29à Kylian Mbappé,
00:28:30Mike Maignan
00:28:31qui a râlé dans le vestiaire
00:28:32au jour au soir,
00:28:33vivant.
00:28:34Et puis le pourquoi du soir,
00:28:35pourquoi les JO de Paris
00:28:36sont les plus grandes de l'histoire
00:28:37et Antoine Pinaud sera là
00:28:38pour la première partie
00:28:39du Petit Filet.
00:28:40A tout de suite.
00:28:44De retour dans le DG
00:28:45des images débutent
00:28:46avec le hat-trick à suivre
00:28:47le Petit Filet d'Antoine Pinaud
00:28:48et puis toujours les bleus
00:28:49maignant le coup de gueule
00:28:50du vrai leader.
00:28:51Est-ce que c'est une alternative
00:28:52à Kylian Mbappé ?
00:28:53On va se le demander.
00:28:54Il y aura le survivant
00:28:55et puis on ira
00:28:56sur les JO.
00:28:57Pourquoi c'étaient
00:28:58les plus grands JO
00:28:59de l'histoire ?
00:29:00Pourquoi le blues
00:29:01est là concernant
00:29:02ces JO et paralympiques ?
00:29:03Le pourquoi du soir
00:29:04avec Georges Chirigno.
00:29:05Mais là,
00:29:06c'est un moment d'histoire
00:29:07dans la télévision française.
00:29:08Le premier hat-trick de Cancan,
00:29:09Candice Roland
00:29:10et son hat-trick,
00:29:11lancé par une phrase
00:29:12de Ludovic Aubraynac
00:29:13prononcée jeudi dernier.
00:29:14Ce n'est pas forcément
00:29:15dans les vieux pots
00:29:16qu'on fait les meilleures choses.
00:29:17Eh bien c'est faux !
00:29:18Demandez à la Croatie
00:29:19qui peut dire merci
00:29:20à Luka Modric,
00:29:2138 ans,
00:29:22seul buteur
00:29:23face à l'appelé
00:29:24Ekelvik Ludo.
00:29:25Il est chouette celui-là.
00:29:26Et quand vous arrivez
00:29:27à faire passer le...
00:29:28Regardez avec l'effet,
00:29:29il s'épicelle à tous les coups.
00:29:31Bon encore,
00:29:32faut-il être Luka Modric
00:29:33pour pouvoir le faire.
00:29:34Celui-là,
00:29:35c'est vraiment celui
00:29:36qu'on rêvait de mettre
00:29:37derrière l'âme.
00:29:39Le numéro 2
00:29:40n'a que 30 ans
00:29:41mais ça fait 11 ans
00:29:42qu'il est en sélection danoise.
00:29:43Youssouf Poulsen,
00:29:44but du gauche,
00:29:45lui le droitier.
00:29:46Et quel but ?
00:29:47Tout à l'instinct.
00:29:48Ça, ça vous plaît indie ?
00:29:49Evidemment !
00:29:50Karim, ton ami,
00:29:51il est comme ça non ?
00:29:52Non, pas du gauche.
00:29:53T'aurais pu dire oui
00:29:54mais juste pour réfléchir.
00:29:55Ludo, il a essayé
00:29:56et il avait dit mal.
00:29:57Si vous pouviez,
00:29:58évitez de me gâcher
00:29:59mon at-trick
00:30:00avec vos fantasmes
00:30:01de vieux poids de rat.
00:30:02Lui, il le faisait
00:30:03mais allongé.
00:30:06Le plus vieux des trois,
00:30:07le vieux pot,
00:30:08tout ça.
00:30:09Ludo regardé, 39 ans.
00:30:10Cristiano Ronaldo, 39 ans.
00:30:117 mois et 4 jours.
00:30:12901ème but en carrière.
00:30:14Le sauveur
00:30:15qui marque
00:30:16et qui permet au Portugal
00:30:17de s'imposer.
00:30:18La passe est signée
00:30:19de Nuno Mendes.
00:30:20Benoît, difficile de défendre
00:30:21sur des ballons comme ça ?
00:30:22C'est hyper compliqué
00:30:23pour les défenseurs.
00:30:24Souvent,
00:30:25on marque contre notre camp
00:30:26ou on laisse le...
00:30:27T'en as pas mis beaucoup
00:30:28d'aies comme ça,
00:30:29je te le dis.
00:30:30Cristiano Ronaldo
00:30:31qui a fait aussi le buzz
00:30:32sur les réseaux sociaux.
00:30:33Pourquoi ?
00:30:34Et bien parce que
00:30:35dans une courte vidéo
00:30:36d'hier,
00:30:37Cristiano Ronaldo
00:30:38doit choisir, vous savez,
00:30:39ce jeu entre deux joueurs
00:30:40lequel il préfère
00:30:41entre deux légendes du foot.
00:30:42C'est Rio Ferdinand,
00:30:43l'ancienne légende
00:30:44de Manchester United
00:30:45qui lui pose la question
00:30:46et il y a une réponse
00:30:47qui a soulevé un tollé.
00:30:48Écoutez.
00:30:50Giggs ou Benzema ?
00:30:52Benzema.
00:30:53Benzema ou Mbappé ?
00:30:55Mbappé.
00:30:58Entre Benzema et Mbappé,
00:30:59il choisit Mbappé.
00:31:00Je peux vous dire,
00:31:01les réactions sur les réseaux sociaux,
00:31:02il y en a eu une tonne.
00:31:03Pour ma part,
00:31:04le respect pour CR7
00:31:05désormais, c'est terminé.
00:31:06L'ingratitude en personne.
00:31:07La tête de Thierry Henry
00:31:08sur cette réaction.
00:31:09On a ce fameux gif
00:31:10où on n'en croit pas.
00:31:11Et puis encore,
00:31:12l'ingratitude pour...
00:31:13On n'en croit pas,
00:31:14mais on n'aura pas
00:31:15la fin de la phrase.
00:31:16On n'en croit pas,
00:31:17ses oreilles.
00:31:18Je fais le Mudo.
00:31:19Donc voilà,
00:31:20cette réponse
00:31:21de Cristiano Ronaldo.
00:31:22On rappelle quand même
00:31:23que Cristiano Ronaldo
00:31:24et Karim Benzema
00:31:25ont partagé 342 matchs.
00:31:26Et ils lui donnent
00:31:27quelques ballons d'or quand même.
00:31:28Et ils lui donnent
00:31:29en tout cas,
00:31:30beaucoup de buts
00:31:31qui ont permis
00:31:32d'avoir le ballon d'or.
00:31:33Ça, c'est certain.
00:31:34Moi, je voulais
00:31:35qu'on en parle
00:31:36parce que c'est
00:31:37une des actus de la...
00:31:38Il a le droit
00:31:39d'avoir un avis.
00:31:40Non, mais il a le droit
00:31:41d'avoir un avis.
00:31:42Mais qu'est-ce qui se passe ?
00:31:43C'est téléguidé par le Réal ?
00:31:44Est-ce que c'est lui
00:31:45qui s'amuse
00:31:46à se dire
00:31:47tiens, je vais lui mettre
00:31:48une pièce
00:31:49puis tout le monde
00:31:50va s'agiter ?
00:31:51Il y a de la jalousie ?
00:31:52Pas du tout.
00:31:53Je pense qu'il y a
00:31:54une plus grande proximité
00:31:55entre Ronaldo et Bappé.
00:31:56Bappé qui a toujours
00:31:57déclaré que Ronaldo
00:31:58était son idole
00:31:59à chaque fois qu'il se voit
00:32:00dans les matchs
00:32:01France-Portugal récemment.
00:32:02Il y avait les posters
00:32:03dans la chambre.
00:32:04Et Benzema-Ronaldo,
00:32:05c'était des collègues
00:32:06de travail.
00:32:07Parce que c'est
00:32:08son petit padawan ?
00:32:09Je pense que c'est un peu ça.
00:32:10Voilà pourquoi il vote Bappé.
00:32:11Moi, ça m'a un peu choqué.
00:32:12Je ne pense pas
00:32:13que ce soit contre Benzema.
00:32:14Je pense que c'est
00:32:15en faveur de Bappé
00:32:16mais pas contre Benzema.
00:32:17Vous avez vu le petit sourire ?
00:32:18Non, je ne crois pas.
00:32:19À ce niveau-là, le gars
00:32:20sait exactement ce qu'il fait.
00:32:21Il sait ce qu'il fait.
00:32:22Il sait ce qu'il fait.
00:32:24Il a sorti sa chaîne YouTube
00:32:25il y a une semaine.
00:32:26Il expose tout.
00:32:27Il sait que cette réponse-là,
00:32:28il donne un bonbon
00:32:29à tout le monde.
00:32:30Regardez, tout le monde réagit.
00:32:31Alors, il y a peut-être
00:32:32une autre possibilité.
00:32:33C'est que Karim Benzema
00:32:34avait donné son 11 de rêve
00:32:35il n'y a pas très longtemps
00:32:36et CR7 n'était pas
00:32:37dans le 11 de rêve
00:32:38de Karim Benzema.
00:32:39Est-ce que…
00:32:40Ludo y était ?
00:32:41Ludo non plus.
00:32:42Non plus.
00:32:43C'est étonnant.
00:32:44Il était en latéral
00:32:45dans les tribunes.
00:32:46Il lui a rendu
00:32:47la monnaie de sa pisse.
00:32:48Je me demande…
00:32:49Parce qu'on peut le voir
00:32:50aussi comme ça.
00:32:51C'est une crise d'ego.
00:32:52Oui, oui.
00:32:53C'est une petite guerre d'ego.
00:32:54Je vous pose la question Ludo.
00:32:55Est-ce que vous mettez
00:32:56Benoît Trimolinas
00:32:57dans votre 11 de rêve
00:32:58avec qui vous avez joué ?
00:32:59Sûrement pas.
00:33:00Mais il y a le côté
00:33:01starification aussi.
00:33:02C'est-à-dire que
00:33:03c'est ce qu'expliquait Karim.
00:33:04C'est-à-dire que Mbappé
00:33:05me kiffait quand il était petit.
00:33:06Je suis son idole.
00:33:07C'est un peu ça.
00:33:08Donc, je me flatte encore
00:33:09un tout petit peu
00:33:10comme si ce n'était pas suffisant.
00:33:11Oui, oui.
00:33:12Il avait dit qu'il n'avait pas
00:33:13félicité Benzema
00:33:15pour son mal-endort.
00:33:16Alors que Benzema,
00:33:17Ronaldo devait pas mal
00:33:18de mal-endort.
00:33:19Oui, vous avez raison.
00:33:20Peut-être que le bon mot,
00:33:21c'est qu'ils étaient collègues.
00:33:22Ils se sont tous les deux
00:33:23permis d'être au top.
00:33:24Pour autant,
00:33:25je n'ai pas l'impression.
00:33:26Oui, mais comme vous n'êtes pas au top,
00:33:27ce n'est pas grave.
00:33:28Vous êtes sympathiques.
00:33:29Et regardez,
00:33:30lui, il est au top
00:33:31de son genre.
00:33:32C'est Antoine Pinault.
00:33:33Voici le petit filet.
00:33:34Première partie.
00:33:35Antoine, t'arrives
00:33:36à un moment où ça se…
00:33:37Ah, ils sont là.
00:33:38C'est Chicor et Chicorette.
00:33:40C'est Chicorette et Chicorou.
00:33:41Je suis dans le 15 de rêve.
00:33:42Remplaçant de rêve.
00:33:43Oui.
00:33:44Je pensais qu'elle aurait fait ça.
00:33:47Elle était pas dans le texte,
00:33:48cette fille.
00:33:49Non, non.
00:33:50On n'est pas grand-chose.
00:33:51On n'est pas grand-chose.
00:33:52Ça rend humble, la télévision.
00:33:55C'est dommage,
00:33:56c'est ma première partie.
00:33:57Tu sais, depuis que t'es
00:33:58dans l'équipe magazine,
00:33:59en une,
00:34:00la page média vedette,
00:34:01t'es plus le même.
00:34:02J'ai changé.
00:34:03J'ai pris deux fois
00:34:04des frites ce midi.
00:34:05Et t'as payé deux fois, du coup.
00:34:06Exactement.
00:34:07Bon, tout à l'heure,
00:34:08on a assisté au casting
00:34:09pour le nouveau ministre des Sports.
00:34:10Ah, très bien.
00:34:11C'est en pleine transition.
00:34:12Donc, on a assisté au casting.
00:34:13Et puis, je vous annonce.
00:34:14Je vous annonce
00:34:15du grand Giovanni Castaldi.
00:34:16Ah, oui.
00:34:17Je vous jure, franchement,
00:34:18c'est dans le top 3
00:34:19des moments depuis 3 ans
00:34:20que je suis ici.
00:34:21Franchement, c'était
00:34:22une petite pépite.
00:34:23Et pour tout vous dire,
00:34:24moi, j'ai son retour là-bas,
00:34:25à Lyon.
00:34:26Il vient de lever la tête
00:34:27en faisant
00:34:28« Oh, non.
00:34:29Eh si, mon Joe.
00:34:30Regardez.
00:34:31Vous êtes derrière moi.
00:34:32Eh si, Joe.
00:34:33Eh si, ma petite méchouille.
00:34:34Bien sûr.
00:34:36Bon, allez.
00:34:37Pour l'instant,
00:34:38un petit teasing.
00:34:39On est prêts.
00:34:40Allez, vas-y.
00:34:41On commence avec ce mec au golf,
00:34:42bien aidé par son pote.
00:34:43Il est en galère.
00:34:44Hop, il balance la balle.
00:34:45Oh, ouais, incroyable.
00:34:46Et l'autre qui dit
00:34:47« Wow, wow, wow.
00:34:48T'es trop fort. »
00:34:49On est tombé sur cette mascotte
00:34:50aux Etats-Unis,
00:34:51bien badass.
00:34:52Hop là.
00:34:53Ouais, fort.
00:34:54C'est Greg.
00:34:55Ouais, ouais.
00:34:56Ça, c'est Greg.
00:34:57Oh la vache.
00:34:58Moi, je suis mort
00:34:59si je fais ça.
00:35:00On est tous crevés.
00:35:01Mais bon, bah lui,
00:35:02il en rajoute.
00:35:03Toujours plus.
00:35:04Ouais, il fait bien fort.
00:35:05Ouais, incroyable.
00:35:06Samuel Etienne
00:35:07était à The Event,
00:35:08événement caritatif
00:35:09des streamers.
00:35:10Il est très fort au basket.
00:35:11Oh la vache.
00:35:12Non, ah ouais.
00:35:13Ouais.
00:35:14Bah, reste question
00:35:15pour un champion.
00:35:16C'est bien.
00:35:17On a adoré ce but
00:35:18incroyable en 1 contre 1.
00:35:19Hop, tu dégages.
00:35:20Pas mal, hein ?
00:35:21Tactique.
00:35:22Tiens, puis Djokas
00:35:23l'a dit.
00:35:24Bah, tiens,
00:35:25il n'y a pas que l'off.
00:35:26Il s'éclate toujours en chanson.
00:35:27Regardez, il est là
00:35:28avec son petit crush.
00:35:29Ah, il a pas mal
00:35:30ce petit look.
00:35:31Il a un petit truc.
00:35:32Elle s'appelle Muriel
00:35:33pour la petite histoire.
00:35:34Voilà.
00:35:35C'est lui.
00:35:36Mimu.
00:35:37C'est lui.
00:35:38C'est Mimu.
00:35:39À tout à l'heure,
00:35:4020h22.
00:35:41Antoine, Giovanni,
00:35:42on va le retrouver
00:35:43dans un instant.
00:35:44Avant, Alicia,
00:35:45on va rappeler avec vous
00:35:46le coup de gueule
00:35:47de Mike Mignon
00:35:48pour resituer l'histoire.
00:35:49Il a fustigé
00:35:50dans le vestiaire
00:35:51le comportement
00:35:52de certains
00:35:53de ses coéquipiers.
00:35:54Mike Mignon,
00:35:55après cette lourde défaite
00:35:56des Bleus face à l'Italie,
00:35:57on l'a appris
00:35:58dans les colonnes de l'équipe,
00:35:59il a pris la parole
00:36:00de sa voix en plus grave
00:36:01qu'il en impose.
00:36:02Mike Mignon,
00:36:03il a expliqué
00:36:04qu'à peine deux joueurs italiens
00:36:05auraient actuellement
00:36:06leur place en équipe de France
00:36:07mais qu'eux, au moins,
00:36:08avaient montré de l'envie,
00:36:09de l'agressivité.
00:36:10Il a critiqué
00:36:11l'attitude collective.
00:36:12Il n'a pas forcément
00:36:13ciblé les joueurs
00:36:14même si on peut se douter
00:36:15qu'il y ait peut-être
00:36:16un petit message
00:36:17envoyé notamment
00:36:18à Kylian Mbappé
00:36:19après sa prestation.
00:36:20Derrière,
00:36:21il y a eu en tout cas
00:36:22un grand silence
00:36:23dans le vestiaire.
00:36:24Personne n'a osé
00:36:25prendre la parole.
00:36:26C'est assez révélateur,
00:36:27là encore,
00:36:28la dimension qu'il a prise
00:36:32Et c'est pareil,
00:36:33il est très rarement
00:36:34devant les médias
00:36:35et là,
00:36:36il s'est exprimé en zone mixte.
00:36:37Regardez ce qu'il a déclaré.
00:36:38C'est tout sauf anodin.
00:36:39On a tous un rôle à jouer.
00:36:41On sait qu'on doit faire mieux
00:36:42car l'équipe de France
00:36:43doit gagner.
00:36:44On ne va pas chercher d'excuses.
00:36:45On va se remettre en question.
00:36:47Et puis,
00:36:48petite dernière peut-être précision
00:36:49pour mieux cerner
00:36:50la personnalité de Mike Mignon.
00:36:52Lui,
00:36:53les statuts
00:36:54dans l'équipe de France,
00:36:55il s'en fiche
00:36:56quand il a quelque chose à dire.
00:36:57Il le dit.
00:36:58Et donc,
00:36:59tout le monde était concerné.
00:37:00Est-ce qu'on a monté ça en épingle ?
00:37:01C'est quand même pas neutre
00:37:02un joueur de son statut,
00:37:03un joueur de son niveau
00:37:04qui prend la parole
00:37:05alors qu'il n'est pas capitaine.
00:37:06Déromou,
00:37:07non.
00:37:08Ce que je sais,
00:37:09c'est que
00:37:10peu importe
00:37:11d'où ça vient
00:37:12dans les moments de tension,
00:37:13c'est quand même toujours agréable
00:37:14de savoir
00:37:15qu'il y a des cadres
00:37:16qui se réveillent,
00:37:17qu'il y a des personnes
00:37:18qui se révèlent,
00:37:19qui prennent la parole.
00:37:20Je sais que parfois,
00:37:21beaucoup ont douté
00:37:22par exemple
00:37:23de l'impact
00:37:24du Golioris
00:37:25ou de Raphaël Varane
00:37:26sur l'équipe de France.
00:37:27Je sais que
00:37:30Raphaël Varane,
00:37:31ce n'était pas
00:37:32les prises de parole
00:37:33les plus médiatisées
00:37:34comme celle de Paul Pogba
00:37:35par exemple,
00:37:36mais quand il y avait eu
00:37:37des remises en question
00:37:38et des coups de gueule à pousser,
00:37:39ils l'ont fait
00:37:40et ils l'ont dit.
00:37:41Donc c'est toujours important
00:37:42puisque je pense qu'au-delà
00:37:43du contenu,
00:37:44de l'état physique,
00:37:45de tout ce qu'on nous a vendu
00:37:46en conférences de presse
00:37:47et en temps de parole,
00:37:48il y a eu de la déception
00:37:49quand même
00:37:50de voir un si faible
00:37:51état d'esprit
00:37:52affiché au Parc des Princes,
00:37:53un manque d'impact
00:37:54dans les duels.
00:37:55Ce n'est pas qu'une question
00:37:57de force athlétique,
00:37:58il y a aussi
00:37:59le côté psychologique
00:38:00et donc je pense que
00:38:01ça a été plutôt apprécié
00:38:02d'avoir un cadre
00:38:03qui secoue un petit peu
00:38:04tout le monde,
00:38:05ça c'est une certitude.
00:38:06Mais alors,
00:38:07par la force des choses,
00:38:08Benoît Tréhoulinas,
00:38:09ça peut remettre
00:38:10un peu en question.
00:38:11En tout cas,
00:38:12nous ça nous questionne
00:38:13sur le rôle de Kylian Mbappé
00:38:14en se demandant
00:38:15si ce n'était pas lui de le faire
00:38:16et le problème c'est que
00:38:17que ce soit en conférence de presse
00:38:18ou sur le terrain,
00:38:19on ne retrouve pas
00:38:20celui à qui on a confié le brassard,
00:38:21celui qui était
00:38:22à la lutte pour le ballon d'or,
00:38:23celui qui était
00:38:24tout meilleur joueur du monde
00:38:25ou presque.
00:38:26Il n'y a pas ce discours
00:38:28de leader,
00:38:29il n'y a pas non plus
00:38:30ce mec irréprochable
00:38:32sur le terrain
00:38:33qui doit être un capitaine.
00:38:34Moi j'ai connu des capitaines
00:38:36dans mes divers clubs.
00:38:37Je peux vous dire
00:38:38que sur le terrain,
00:38:40eux montraient l'exemple.
00:38:41Et il fallait suivre derrière.
00:38:42Moi j'ai connu
00:38:43Gérardin de Bordeaux
00:38:44à Ludiara,
00:38:45ce n'était peut-être
00:38:46pas le meilleur techniquement
00:38:47mais je peux vous dire
00:38:48que sur le terrain,
00:38:49ce qu'ils montraient,
00:38:50on était obligé de suivre.
00:38:51Et si on ne le faisait pas,
00:38:52peu importe que ce soit
00:38:53Marouane Chama,
00:38:54Yoann Gourcuff
00:38:55ou d'autres,
00:38:56ils rentraient dans
00:38:57à tout le monde
00:38:58si personne ne se mettait
00:38:59pas le cul par terre
00:39:00lors des matchs.
00:39:01Donc moi je trouve
00:39:02que c'est intéressant
00:39:03que Mike Maignan le fasse.
00:39:04John Lennon a dit
00:39:05c'est un cadre.
00:39:06C'est devenu un cadre
00:39:07Mike Maignan.
00:39:08Parce que plusieurs fois,
00:39:09même à l'Euro,
00:39:10on peut lui dire merci.
00:39:11Merci à Mike Maignan
00:39:12parce que je ne pense pas
00:39:13qu'on aurait été
00:39:14jusqu'en demi-finale.
00:39:15Il a le cran de le faire.
00:39:16Alors forcément,
00:39:17il n'a peut-être pas
00:39:18le même palmarès
00:39:19qu'un Kylian Mbappé,
00:39:20qu'un Antoine Griezmann
00:39:21et tout.
00:39:22Mais on n'a pas besoin
00:39:23de ça pour aussi
00:39:24devenir un cadre
00:39:25et peut-être un deuxième
00:39:26ou un troisième capitaine.
00:39:27Nous ce qu'on attend aujourd'hui,
00:39:28c'est un Kylian Mbappé
00:39:29irréprochable
00:39:30avec surtout
00:39:31un bon état d'esprit.
00:39:32Il a le droit de rater des matchs.
00:39:33Mais moi j'ai envie
00:39:34de le voir courir,
00:39:35j'ai envie de le voir défendre,
00:39:36j'ai envie de le voir parler
00:39:37à ses coéquipiers
00:39:38pour essayer
00:39:39de changer les choses.
00:39:40Il devrait être capitaine
00:39:41ce soir Mike Maignan
00:39:42et ça lui est peu arrivé
00:39:43dans sa carrière,
00:39:44en tout cas pas en bleu,
00:39:45ça c'est sûr.
00:39:47Ça lui est arrivé
00:39:48avec Lille à l'époque,
00:39:49il avait porté quatre fois
00:39:50le brassard
00:39:51avec le LOSC.
00:39:52Et ça remonte d'ailleurs,
00:39:53la dernière fois
00:39:54c'était en Coupe de France
00:39:55le 17 mars 2021.
00:39:56Émilie,
00:39:57on va revoir la compo,
00:39:58même s'il n'y a pas
00:39:59beaucoup de capitaines
00:40:00comme c'est justement dit
00:40:01qu'on dise.
00:40:02Qui a parlé,
00:40:03cela dit,
00:40:04pour être capitaine ce soir ?
00:40:05Moi j'ai cherché
00:40:06éventuellement
00:40:07un Hoopa Mécano
00:40:08ou un Jeune Koundé
00:40:09possiblement.
00:40:10Mais là sinon
00:40:11il n'y a personne
00:40:12qui a suffisamment
00:40:13de capacités
00:40:14pour être capitaine
00:40:15et qui a suffisamment
00:40:16de passé
00:40:17et de références
00:40:18en Coupe de France
00:40:19pour être capitaine.
00:40:20En statut et en charisme.
00:40:21Quelqu'un qui est capable
00:40:22aussi effectivement
00:40:23de s'exprimer,
00:40:24d'arranger l'équipe,
00:40:25etc.
00:40:26Pour moi c'est maignant.
00:40:27Il l'a prouvé
00:40:28et je pense que
00:40:29de la même manière
00:40:30où il nous a rassuré
00:40:31dès qu'il est arrivé en bleu,
00:40:32ça nous a rassuré
00:40:33sur le poste de gardien,
00:40:34je trouve aussi
00:40:35qu'il a un comportement
00:40:36qui rassure sur le terrain
00:40:37et effectivement
00:40:38tu sens qu'il porte ses joueurs.
00:40:39Le souci c'est que
00:40:40effectivement
00:40:41je ne vois pas du tout
00:40:42un BAPE faire ça.
00:40:43La preuve en est
00:40:44que la conférence de presse
00:40:45je pense avant le match
00:40:46contre l'Italie,
00:40:47ça m'a tout cassé.
00:40:48Et pourtant moi j'y croyais
00:40:49en me disant
00:40:50ce mec-là il court tellement
00:40:51après les records,
00:40:52il veut tellement des titres,
00:40:53etc.
00:40:54qu'il va emmener tout le monde
00:40:55avec lui dans sa quête au record.
00:40:56En fait pas du tout.
00:40:57L'expression se passe mal
00:40:58et s'il faut écouter
00:40:59un Mike Mignon,
00:41:00oui on a certainement
00:41:01notre leader de vestiaire.
00:41:02On va lire ensemble
00:41:03ce qu'il a dit
00:41:04et ce qui a été écrit
00:41:05dans le journal de l'équipe
00:41:06par Bichente Lizarazu.
00:41:07Donc là on est quand même
00:41:08sur quelqu'un
00:41:09qui a marqué
00:41:10l'histoire de l'équipe de France.
00:41:11Les mots utilisés
00:41:12étaient inappropriés,
00:41:13pas ceux d'un leader
00:41:14et encore moins
00:41:15ceux d'un capitaine.
00:41:16Vous ne pouvez pas
00:41:17être insensible
00:41:18au ressenti des supporters
00:41:19de l'équipe de France,
00:41:20aux frustrations
00:41:21qu'ils peuvent nourrir,
00:41:22aux interrogations
00:41:23qu'ils peuvent avoir.
00:41:24Vous devez essayer
00:41:25d'y répondre,
00:41:26leur donner de l'espoir.
00:41:27Ça fait partie
00:41:28la suite
00:41:29un jour.
00:41:30Peut-être.
00:41:31On ne l'a pas.
00:41:32Ça fait partie
00:41:33de votre boulot.
00:41:34A vous de deviner la suite.
00:41:35Voilà, ça fait partie
00:41:36de votre boulot.
00:41:37La couise.
00:41:38Non mais c'est vrai
00:41:39Ludo et Karim,
00:41:40quand c'est Lizarazu
00:41:41qui le dit,
00:41:42c'est qu'évidemment
00:41:43c'est vrai moi.
00:41:44J'ai envie de vous dire tout ça.
00:41:45Il a connu
00:41:46l'équipe de France.
00:41:47Il est champion du monde.
00:41:48Il a connu plusieurs capitaines.
00:41:49Et notamment Deschamps,
00:41:50qui fut quand même
00:41:51le capitaine par excellence
00:41:52en équipe de France,
00:41:53capable de gueuler
00:41:54dans le vestiaire
00:41:55et de montrer
00:41:56l'exemple sur le terrain.
00:41:57Ce dont tu parlais
00:41:58à l'instant
00:41:59avec Aloudiara.
00:42:00Après,
00:42:01vous n'êtes pas obligé
00:42:02d'être capitaine
00:42:03pour avoir un rôle
00:42:04prédominant et très important
00:42:05dans un vestiaire.
00:42:06Et les profs
00:42:07comme Zidane
00:42:08qui est capitaine
00:42:09de l'équipe de France.
00:42:10Je pense que Macalelay
00:42:11parle plus que Zidane
00:42:12dans le vestiaire
00:42:13par exemple en 2006.
00:42:14Il faudra demander
00:42:15à Raymond Domenech.
00:42:16Hugo Loris
00:42:17versus Pogba.
00:42:18Exactement,
00:42:19Hugo Loris
00:42:20n'était pas
00:42:21le plus grand communicant
00:42:22dans le vestiaire.
00:42:23Il y avait d'autres René aussi.
00:42:24Bappé,
00:42:25jusqu'à preuve du contraire,
00:42:26est un très bon communicant
00:42:27quand il s'agit
00:42:28de parler de lui.
00:42:29Ce n'est pas péjoratif
00:42:30ce que je dis.
00:42:31Mais quand il s'agit
00:42:32de parler du collectif,
00:42:33je ne le trouve pas très bon.
00:42:34Franchement,
00:42:35on a senti
00:42:36ce que tu dis.
00:42:37Donc il y a un moment
00:42:38où il faut l'assumer.
00:42:39Moi, je trouve que le brassard
00:42:40ce petit tissu aujourd'hui
00:42:41est devenu ultra marketing.
00:42:42En fait,
00:42:43vous donnez le brassard
00:42:44aux meilleurs joueurs
00:42:45de l'équipe.
00:42:46En gros,
00:42:47quand vous regardez
00:42:48les différentes nations,
00:42:49Ronaldo à un moment donné
00:42:50était capitaine de son équipe.
00:42:51Modric,
00:42:52vous l'avez,
00:42:53capitaine de son équipe.
00:42:54Mais pourtant,
00:42:55ce n'est pas
00:42:56le plus grand gueulard
00:42:57à un moment donné.
00:42:58Benzema était capitaine
00:42:59de son équipe
00:43:00au Real Madrid.
00:43:01Le Real,
00:43:02c'est un peu différent
00:43:03parce que c'est l'ancienneté.
00:43:04Mais sinon,
00:43:05c'est l'ancienneté
00:43:06de ses coéquipiers
00:43:07à leur demander
00:43:08d'aller gagner un match
00:43:09avec lui.
00:43:10Mbappé,
00:43:11il n'avait pas été au PSG
00:43:12avec l'élection.
00:43:13Non,
00:43:14mais je pense
00:43:15que c'est du marketing.
00:43:16Vous avez le meilleur joueur,
00:43:17vous lui donnez le brassard
00:43:18parce que ça fait aussi joli
00:43:19sur le terrain
00:43:20d'avoir le meilleur joueur,
00:43:21le numéro 10
00:43:22avec le brassard de capitaine.
00:43:23Joe,
00:43:24vous voulez réagir
00:43:25à ce que disait Karim ?
00:43:26Oui,
00:43:27j'aimais bien
00:43:28la comparaison
00:43:29sur le côté
00:43:30quand on parle
00:43:31de Lionel Messi.
00:43:32Messi,
00:43:33dans un vestiaire,
00:43:34ça a parfois
00:43:35porté débat.
00:43:36Mais moi,
00:43:37je trouve que c'est quelqu'un
00:43:38qui, notamment
00:43:39sur la dernière Coupe du Monde
00:43:40et ça s'est vu,
00:43:41est capable
00:43:42d'emmener un groupe
00:43:43par sa qualité
00:43:44sur le terrain.
00:43:45Il a un côté
00:43:46très leader technique.
00:43:47Voilà,
00:43:48il fait jouer les autres.
00:43:49Ce qu'avait aussi
00:43:50Zinedine Zidane.
00:43:51Moi,
00:43:52ce qui me pose problème
00:43:53avec Kylian Mbappé,
00:43:54c'est qu'en fait,
00:43:55j'ai l'impression
00:43:56qu'il n'arrive pas
00:43:57à fédérer les autres
00:43:58parce que sa personnalité
00:43:59est parfois contestée
00:44:00et fait parfois polémique
00:44:01même en interne.
00:44:02C'est quelqu'un
00:44:03qui peut gagner énormément
00:44:04par la capacité
00:44:05de marquer des buts
00:44:06et faire gagner
00:44:07ton équipe.
00:44:08Mais,
00:44:09à partir du moment
00:44:10où il ne gagne pas,
00:44:11il perd parfois
00:44:12une forme d'utilité.
00:44:13Je trouve que c'est quelqu'un
00:44:14qui est très clivant
00:44:15et pour être capitaine,
00:44:16il faut être le moins possible
00:44:17clivant
00:44:18ou être à un niveau
00:44:19de performance
00:44:20et d'état d'esprit
00:44:21irréprochable.
00:44:22Ce qui est,
00:44:23sur la dernière séquence
00:44:24qu'on vient de vivre
00:44:25avec Mbappé,
00:44:26pas le cas
00:44:27ou loin même.
00:44:28Ludo,
00:44:29je voudrais qu'on termine
00:44:30avec vous parce que
00:44:31Messi est revenu
00:44:32et c'est quand même
00:44:33l'idole des autres joueurs.
00:44:34Messi,
00:44:35on n'arrêtait pas de dire
00:44:36les gars sont ses gardes du corps,
00:44:37Paredes est prêt à mourir
00:44:38sur un terrain
00:44:39pour que Lionel Messi
00:44:40puisse jouer.
00:44:41Même si on a entendu
00:44:42lors de la Coupe du Monde
00:44:43pas de l'Euro,
00:44:44ces dix soldats à Mbappé
00:44:45ce qui nous a peut-être
00:44:46matrixés
00:44:47par rapport au Capitana,
00:44:48ce n'est pas l'idole
00:44:49des autres joueurs,
00:44:50Mbappé,
00:44:51alors que Messi,
00:44:52si.
00:44:53Comme Maradona l'était.
00:44:54On n'est pas sur
00:44:55le même dévouement.
00:44:56Je pense qu'il y a
00:44:57un respect footballistique
00:44:59en termes de rapport humain.
00:45:00C'est quelqu'un
00:45:01qui donne très peu.
00:45:02On voit qu'il a
00:45:03très peu donné
00:45:04au public
00:45:05du Paris Saint-Germain.
00:45:06Ce qui lui coûte d'ailleurs
00:45:07et ce qui lui coûtera
00:45:08peut-être sa place
00:45:09dans le tableau final
00:45:10des légendes
00:45:11du Paris Saint-Germain.
00:45:12Mais,
00:45:13c'est très français
00:45:14ce qu'on est en train de faire
00:45:15et moi,
00:45:16je n'ai pas envie
00:45:17de partir dans ces choses-là
00:45:18tout de suite.
00:45:19C'est-à-dire qu'il y ait
00:45:20quelques aboyeurs
00:45:21de temps en temps
00:45:22qui aient un paratonnerre,
00:45:23un coup de 220
00:45:24qui viennent secouer
00:45:25tout le monde.
00:45:26Mac Ménihan,
00:45:27pourquoi pas ?
00:45:28Je suis très en colère
00:45:29contre Mbappé
00:45:30par ce qu'il a dit
00:45:31par sa fin de saison
00:45:32avec le Paris Saint-Germain,
00:45:33par le fait
00:45:34de ne pas mettre
00:45:35le football français
00:45:36sur la carte
00:45:37en étant un potentiel
00:45:38ballon d'or.
00:45:39J'en veux beaucoup.
00:45:40Néanmoins,
00:45:41c'est quelqu'un
00:45:42qui nous a porté
00:45:43pendant
00:45:44quelques années
00:45:45quand même.
00:45:46On lui a fait quand même...
00:45:47On lui a mis
00:45:48beaucoup de choses
00:45:49sur les épaules.
00:45:50Or là...
00:45:51Mais il l'a voulu.
00:45:52Oui,
00:45:53très bien.
00:45:54Mais il l'a répondu présent.
00:45:55Or là,
00:45:56on est dans une période
00:45:57de trouble.
00:45:58Ça se voit.
00:45:59C'est sur son visage.
00:46:00Il est en zone
00:46:01de turbulence.
00:46:02Je ne sais pas
00:46:03pour quelles raisons.
00:46:04Il y a quelque chose
00:46:05qui est en train de se passer
00:46:06qui n'est peut-être
00:46:07pas d'ordre sportif.
00:46:08Peut-être qu'il y a
00:46:09quelque chose
00:46:10qui ne va pas.
00:46:11Laissons un petit peu
00:46:12les choses se calmer.
00:46:13Mais on ne change pas
00:46:14comme ça.
00:46:15On ne passe pas
00:46:16du coq à l'âne
00:46:17en disant
00:46:18il a été
00:46:19notre meilleur joueur.
00:46:20On était tous
00:46:21à ses pieds.
00:46:22Et puis maintenant,
00:46:23ce n'est plus
00:46:24le bon capitaine.
00:46:25On est en train
00:46:26de remettre en cause
00:46:27son rôle de capitaine.
00:46:28On parle juste
00:46:29de Mbappé
00:46:30aujourd'hui
00:46:31ou sur quelques mois
00:46:32ou sur quelques semaines
00:46:33parce qu'il est moins mort.
00:46:34On n'oublie pas
00:46:35tout ce qu'il a fait.
00:46:36Aujourd'hui,
00:46:37tu lui enlèves
00:46:38le brassard ?
00:46:39Mais non.
00:46:40Ce n'est pas ça.
00:46:41On ne dit pas ça.
00:46:42On ne dit pas ça.
00:46:43On dit est-ce que
00:46:44Mike Ménihan
00:46:45possiblement...
00:46:46Il n'a pas besoin
00:46:47de brassard,
00:46:48Mike Ménihan.
00:46:49Mike Ménihan,
00:46:50c'est quelqu'un
00:46:51qui est de la région parisienne,
00:46:52qui a du charisme,
00:46:53qui en envoie physiquement
00:46:54et il le fait naturellement.
00:46:55Donc tu vas enlever
00:46:56le brassard à Mbappé
00:46:57là maintenant ?
00:46:58Je ne dis pas ça.
00:46:59Je dis juste qu'aujourd'hui,
00:47:00ce qu'a fait Mike Ménihan,
00:47:01c'est bien parce que
00:47:02personne ne l'a fait.
00:47:03Personne ne l'a fait.
00:47:04On ne met pas tout en cause
00:47:05mais on se pose des questions.
00:47:06Et ce n'est pas aux sélectionneurs
00:47:07de le faire ?
00:47:08Les gars,
00:47:09avant le pourquoi
00:47:10de Georges Quirino.
00:47:11Pourquoi c'était
00:47:12les plus grands jeux
00:47:13de l'histoire ?
00:47:14Toujours Faro
00:47:15depuis que Ménihan
00:47:16est devenu un 4,
00:47:17je ne peux plus l'encadrer
00:47:18évidemment.
00:47:19Bien joué Faro.
00:47:20Il est temps de jouer
00:47:22Aller, on se fait un survivant
00:47:23en mode express.
00:47:24Ça se joue à Lyon
00:47:25ce soir.
00:47:26Question de rapidité.
00:47:27On est prêt ?
00:47:28Contre qui jouons-nous ce soir ?
00:47:29Belgique.
00:47:30Bien joué.
00:47:31T'es un bon ami.
00:47:32Les 17 joueurs passés par Lyon
00:47:33puisque ça se joue à Lyon
00:47:34avec plus de 5 sélections
00:47:35sous Deschamps.
00:47:36Ils sont passés par Lyon
00:47:37à un moment de leur carrière
00:47:38et ils ont plus de 5 sélections
00:47:39sous Didier Deschamps.
00:47:40Je vous écoute Karim.
00:47:41Je n'ai pas envie
00:47:42de l'oublier cette fois-ci
00:47:43et je l'embrasse,
00:47:44le crémi.
00:47:45Le crémi.
00:47:46Le crémi.
00:47:47Le crémi.
00:47:48Le crémi.
00:47:49Je n'ai pas envie
00:47:50de l'oublier cette fois-ci
00:47:51et je l'embrasse,
00:47:52le crémi.
00:47:53Le crémi.
00:47:54C'est bon.
00:47:55Vous me le mettez tout de suite.
00:47:56C'est 13 sélections sous Deschamps.
00:47:57Il est passé par Lyon.
00:47:58Alicia.
00:47:59Nabil Fekir.
00:48:00Nabil Fekir.
00:48:0125 sélections sous Deschamps.
00:48:02Bien joué.
00:48:03Candice.
00:48:04Alexandre Lacazette.
00:48:05Lacazette.
00:48:0616 sélections sous Deschamps.
00:48:07Bien joué.
00:48:08Ludovic Aubragnac.
00:48:09J'ai un problème.
00:48:10Vous êtes sérieux ?
00:48:11Pour qu'on soit clair.
00:48:12Non.
00:48:13Non.
00:48:14J'allais vous en vouler.
00:48:15En fait,
00:48:16votre talent était dans votre barbe
00:48:17dans les Jeux.
00:48:18Emilie Ross.
00:48:19Karim Benzema.
00:48:20Ben oui.
00:48:2148 sélections sous Deschamps.
00:48:22Ben oui.
00:48:23Bien joué Emilie.
00:48:24Benoît.
00:48:25Igor Lloris.
00:48:26Igor Lloris.
00:48:27Bien sûr.
00:48:28108.
00:48:29Bien joué.
00:48:30Karim Benhani.
00:48:31Non.
00:48:32Je vous jure.
00:48:33Lyon.
00:48:34Lyon.
00:48:35Lyon.
00:48:36Vous allez être fous.
00:48:37Anthony Martial.
00:48:38Anthony Martial.
00:48:39C'est bon.
00:48:4030 sélections sous Deschamps.
00:48:41Alicia.
00:48:42Charles-André Pompili.
00:48:43Charles-André Pompili.
00:48:44Ferdinand Mendy.
00:48:45Ferdinand Mendy.
00:48:46Il les a ou pas ?
00:48:47Oui.
00:48:48Oui.
00:48:4910 sélections sous Deschamps.
00:48:50Candice.
00:48:51Valbuena.
00:48:52Mathieu Valbuena.
00:48:5340 sélections sous Deschamps.
00:48:54Bien joué.
00:48:55Emilie Ross.
00:48:56Tolisso.
00:48:57Corentin Tolisso.
00:48:58Ben oui.
00:48:5928 sélections sous Deschamps.
00:49:00Allez bisous.
00:49:01Donatres Molinas.
00:49:025.
00:49:03Clément Grenier.
00:49:04Clément Grenier.
00:49:05Non.
00:49:06Clément Grenier.
00:49:07Non.
00:49:08Clément Grenier.
00:49:09Non.
00:49:10Clément Grenier.
00:49:11Non.
00:49:12Clément Grenier.
00:49:13Clément Grenier.
00:49:14Non.
00:49:15Je pensais pas les 5.
00:49:16J'ai dit plus de 5 sélections.
00:49:17Il n'y en a que 5.
00:49:18Karim Benhani.
00:49:19C'est pas simple.
00:49:20Hein ?
00:49:21C'est pas simple.
00:49:22Vite, vite, vite.
00:49:233.
00:49:24Il me faut un mec.
00:49:25Il me faut un gars.
00:49:265.
00:49:274.
00:49:28Voilà.
00:49:293.
00:49:30J'ai plus rien.
00:49:312.
00:49:321.
00:49:33Vous ne serez pas le survivant.
00:49:34Alicia Devi.
00:49:35Umtiti.
00:49:36Samuel Umtiti.
00:49:3731 sélections.
00:49:38Bien joué Candice Roland.
00:49:39Bien joué.
00:49:40Il y aura une reine ce soir en survivante.
00:49:415.
00:49:42C'est bien ça.
00:49:433.
00:49:442.
00:49:451.
00:49:46Désolé Candice.
00:49:47C'est bon.
00:49:48C'est bon.
00:49:49J'ai laissé passer avant le 1.
00:49:50Bien joué.
00:49:5116 sélections.
00:49:52Emily Ross.
00:49:53Elle l'aurait braquée.
00:49:54C'est sûr Emily.
00:49:55Allez-y.
00:49:56Non parce que là j'ai Barcola.
00:49:57Il n'y en a pas 5.
00:49:58Barcola.
00:49:59Bah si, il en a 6.
00:50:00Allez.
00:50:01C'est pas vrai.
00:50:02Bien joué.
00:50:03Mais oui.
00:50:04Il a 6 sélections.
00:50:05Bien joué.
00:50:06Bravo.
00:50:07Comme ça je gagne.
00:50:08Alicia.
00:50:09Ah non Alicia encore.
00:50:10Là je vais aller vite.
00:50:11Ben Arfa.
00:50:12Ben Arfa.
00:50:13Il n'a que 2 sélections.
00:50:14C'est un duel.
00:50:15Candice.
00:50:16Emily.
00:50:17Candice.
00:50:18J'en ai plus là.
00:50:19Là je vais faire 3, 2, 1.
00:50:203.
00:50:212.
00:50:221.
00:50:23Banne de match pour Emily Ross.
00:50:24Pour être la survivante.
00:50:25Tu chies ça trop vite.
00:50:263.
00:50:272.
00:50:281.
00:50:29J'ai pas de survivante et de survivant ce soir.
00:50:30Mais j'étais pas loin.
00:50:31Il y avait Léo Dubois.
00:50:32Il y avait Tanguy Ndombele.
00:50:33Il y avait Abidal.
00:50:34Eric Abidal.
00:50:35Et il y avait Julie.
00:50:36Non il n'y avait pas Julie.
00:50:37Non.
00:50:38Pas du tout.
00:50:39Pas sous Deschamps.
00:50:40Ben non.
00:50:41Il y avait Maxime Gonallon.
00:50:42Et oui.
00:50:43Il en avait 6 sous Deschamps.
00:50:44Et Bafé Gomis.
00:50:45Voici le pourquoi.
00:50:46De Georges Quirineau.
00:50:47On parle des JO.
00:50:48Pourquoi c'est le télé plus grand de l'histoire maintenant.
00:50:49J'ai été géniale.
00:50:50Et vous parlez sur les Jingles.
00:50:51Écoutez ça.
00:50:52Coutz.
00:50:53Non.
00:50:54C'est un mec.
00:50:55C'est un mec.
00:50:56C'est un mec.
00:50:57C'est un mec.
00:50:58C'est un mec.
00:50:59C'est un mec.
00:51:00C'est un mec.
00:51:01C'est un mec.
00:51:02C'est un mec.
00:51:03C'est un mec.
00:51:04C'est un mec.
00:51:05C'est un mec.
00:51:06C'est un mec.
00:51:07C'est un mec.
00:51:08C'est un mec.
00:51:09C'est un mec.
00:51:10C'est un mec.
00:51:11C'est un mec.
00:51:12C'est un mec.
00:51:13C'est un mec.
00:51:14C'est un mec.
00:51:15C'est un mec.
00:51:16Est-ce que vous avez fait la fête ?
00:51:17Oui.
00:51:18C'est un mec.
00:51:19J'ai un peu fait la fête et un peu pleuré.
00:51:20Georges Quirineau.
00:51:21Bonsoir.
00:51:22C'était hier soir évidemment l'une des bancons de la cérémonie de clôture des
00:51:23JO paralympiques au Stade de France.
00:51:24La flamme définitivement éteinte par Aurélie Aubert, notre iconique championne de Boccia
00:51:25et notre vasqueux ballon plongé dans l'obscurité des tuileries.
00:51:28Et puis derrière c'était ambiance festival électro, Jean-Michel Jarre et surtout Martin
00:51:33Solveig, les athlètes paralympiques sur scène, un feu d'artifice, 7,7 millions de téléspectateurs
00:51:37devant France Télé hier soir.
00:51:39Ce n'est pas que la fin des paralympiques, c'est la fin de Paris 2024 disait Tony Estanguet
00:51:45sur scène.
00:51:46Oui avec une frige assez particulière.
00:51:48Génial.
00:51:49Frige de rêve.
00:51:50Il est donc l'heure les amis de se poser cette question, ce bilan, notre pourquoi du
00:51:54soir.
00:51:56C'est un bilan français, assez humble.
00:51:57Pas du tout dans la romance.
00:51:58Pourquoi les Jeux de Paris sont les plus grands de l'histoire ?
00:52:01Alors ce que je vous propose, c'est de vous donner tout de suite plein de bonnes raisons
00:52:05et de bons souvenirs et vous allez choisir votre auto préférée.
00:52:07Les plus grands jeux de l'histoire parce que… Regardez.
00:52:11Parce que la cérémonie d'ouverture avec Marie-Jo, TV Riner, une vasqueux ballon,
00:52:15le pont d'Austerlitz bleu blanc rouge, l'hymne à l'amour de Céline Dion.
00:52:18Parce que les seats hors des stades, les scrims au Grand Palais, un million de spectateurs
00:52:22au bord des routes pour le cyclisme à Montmartre, le triathlon dans la Seine et oui on l'a
00:52:25fait, l'équitation à Versailles.
00:52:26Il faut me coller des frissons là.
00:52:28Parce qu'Antoine Dupont a réussi son pari et en plus il danse très bien.
00:52:30Parce qu'un marchand d'or et des ultras qui crient à chaque coulé.
00:52:33Parce qu'on a retrouvé une reine, Simone Biles.
00:52:34Parce que Teddy, Léon et le BMX doré dans un même soir.
00:52:36Parce que le sacré chœur des judokas, parce que Mondo toujours plus haut, parce que le
00:52:40showtime du basket et encore les voleilleurs d'Engapette.
00:52:43Parce que la flamme ne s'est pas vraiment éteinte après les JO, car Para était une
00:52:47fête.
00:52:48Parce que la Concorde plus forte que la discorde pour s'élever au paradis, parce que la natation
00:52:51s'écrit avec Victoire-Hugo, en quinquant le meilleur porte-drapeau, parce que les paracyclistes
00:52:56sont des cannibales, parce que c'est si bon le c'est si foot et Léon la silencieuse
00:52:59parce que ça s'est fini hier soir et ce matin.
00:53:01Cette une nous fait un petit peu mal au cœur.
00:53:04C'est quoi votre souvenir en un nom peut-être en lieu ?
00:53:10Franchement, honnêtement, Léon Marchand m'a ébloui.
00:53:16Moi je dirais l'escrime au Grand Palais et Léon Marchand effectivement.
00:53:19La médaille d'or au c'est si foot.
00:53:22Bisse.
00:53:23Bisse, pareil.
00:53:24Et puis surtout, personnellement, je voudrais remercier également les parisiens qui n'aiment
00:53:28pas le sport et qui sont partis, qui ont permis que ces jeux soient magnifiques.
00:53:31Ils sont partis à Tahiti.
00:53:34Je suis allé voir les JO de surf et j'ai évidemment une raison familiale, j'ai une
00:53:39bonne tête là-dessus.
00:53:40Alors dites-moi, virez-moi cette horreur.
00:53:42Le plus grand jeu de l'histoire, on ne dit pas ça.
00:53:45C'est vrai que je l'ai posté.
00:53:48On est chauvin, mais en fait ça se traduit en chiffres, les plus grands jeux.
00:53:55Exactement, c'est factuel quand même, on ne sort pas ça parce qu'on est des Français.
00:53:58Regardez la billetterie, record, 12 millions de billets vendus.
00:54:02C'est plus que Londres et qu'Atlanta, notamment sur les JO, 9,5 millions pour les Français.
00:54:08Il y a eu des records TV également partout dans le monde.
00:54:13Je vous rappelle qu'on est 68 millions en France.
00:54:1560 millions ont regardé les jeux sur France Télévisions.
00:54:17Les paralympiques, c'est environ 45 millions.
00:54:19On attend les chiffres officiels.
00:54:21Et puis un petit regard également sur ce qui s'est passé aux Etats-Unis.
00:54:24C'était NBC qui transmettait.
00:54:2530,6 millions de téléspectateurs en moyenne par jour quand même.
00:54:28Je le dis, c'est 82% de plus par rapport à Tokyo en 2021.
00:54:31C'est la plus forte audience depuis Londres.
00:54:33On parle même d'un record possible de 4 milliards de spectateurs dans le monde.
00:54:37C'était 3 milliards pour Tokyo.
00:54:38Tokyo, ça veut dire que potentiellement la moitié de la planète a regardé par 2024.
00:54:42Et les instances, elles en disent quoi ?
00:54:44Les organisateurs sont plutôt contents.
00:54:46Thomas Barre, le président du CIO, parle des jeux les plus suivis de l'histoire.
00:54:49Les plus égalitaires aussi avec une parité hommes-femmes parfaitement respectée.
00:54:52Andrew Parson, le président du comité paralympique, évoque les jeux les plus spectaculaires de tous les temps.
00:54:57Au-delà des chiffres, ce qui a été salué par les instances, selon Marie-Amélie Le Fur,
00:55:02la présidente du comité paralympique et sportif français, c'est ça.
00:55:06C'est la ferveur du public qui a été extraordinaire.
00:55:09C'est ce qu'ont donné les spectateurs.
00:55:11C'est cette communion entre le public français et les athlètes internationaux.
00:55:16Ce n'est pas allé uniquement vers les athlètes français.
00:55:19C'est vraiment la performance de tous les athlètes qui ont été accompagnés, salués par le public français.
00:55:25Et de ce qu'on nous a dit, de ce que nous ont dit finalement les représentants de l'IPC hier,
00:55:31désormais les jeux de référence seront les jeux de Paris 2024.
00:55:35Il y aura bien un avant et un après Paris 2024.
00:55:39Et les athlètes, ce que là, les évoque Marie-Amélie Le Fur ?
00:55:42Alors, il y a eu quelques problèmes au début, je ne sais pas si vous vous souvenez,
00:55:44parce qu'à la cantine, il n'y avait visiblement pas tout ce qu'il faut.
00:55:47Mais ensuite, tout le monde est tombé amoureux, heureusement, des muffins au village olympique
00:55:52grâce à ce nageur norvégien, Henrik Kristiansen.
00:55:55Si vous n'êtes pas allé sur son TikTok, c'est la musique de GTA.
00:55:58Avec des muffins, tout est normal.
00:56:00Les muffins du Kroos qui sont devenus des stars à part entière.
00:56:03Plus sérieusement, les retours sont globalement positifs.
00:56:06Il y a une image qui nous a marqué, qui m'a marqué personnellement,
00:56:08que je voulais vous montrer d'hier.
00:56:09C'est Romane Dicot, la médaillée de bronze en judo avec les athlètes paralympiques sur scène.
00:56:14Il y avait également Florent Manoudou, des joueurs du rugby A7.
00:56:17C'est finalement assez inédit de voir ça, un pont entre les paralympiques et olympiques.
00:56:21C'est un peu ça aussi le grand succès de Paris 2024.
00:56:24Pourquoi c'était mieux que les autres jeux ?
00:56:26Alors lui, il a fait Sydney 2000 et il a depuis commenté toutes les Olympiades.
00:56:30On est allé voir tout à l'heure notre nouveau consultant, membre de l'équipe de choc,
00:56:33Brian Maslow. Il en a pensé quoi ?
00:56:35Je m'amusais beaucoup pendant cette Olympiade à poser des questions comme ça par hasard.
00:56:38Alors, on commençait à la France et voilà, c'était assez unanime.
00:56:41Vraiment, ceux qui avaient une mauvaise image de notre pays, on arrivait à leur faire changer d'avis.
00:56:48Donc, on était devant 17 000 personnes à Roland-Garros,
00:56:50ce qui est pour nous aussi un site assez incroyable.
00:56:54Le ring était magnifique, les couleurs étaient magnifiques.
00:56:57Bien évidemment que j'aurais aimé boxer, mais bon.
00:56:59J'étais avec eux au micro, mais il y avait déjà d'autres athlètes performants qui brillaient à ce moment-là.
00:57:04Donc, j'ai pu compenser.
00:57:07Brian Maslow m'en parlait, mais ces jeux ont impacté le monde entier.
00:57:10Exactement. Regardez, on a compilé un peu toutes les unes ou la presse depuis hier.
00:57:16Oh là là, la une de A, je ne veux pas de traduction. A priori, ça va aller.
00:57:19Le soir, Paris est magique.
00:57:21Le Guardian avec cette photo qu'on a montrée tout à l'heure.
00:57:23Let the game begin.
00:57:24Ça, c'était le premier jour.
00:57:25Ensuite, regardez, le Guardian après les jeux.
00:57:27Ces jeux ont été les plus beaux, les plus sereins de tous.
00:57:29Un coup de poing émotionnel.
00:57:30El Pais, adieu à Paris 2024.
00:57:31Les jeux de lumière après le silence froid de Tokyo.
00:57:34Le temps, les critiques peuvent se taire.
00:57:35Paris était magique.
00:57:36New York Times, le célèbre cynisme français a laissé place à un optimisme inhabituel.
00:57:40Ils nous connaissent bien.
00:57:41Los Angeles Times.
00:57:42Comment Los Angeles pourrait faire mieux ?
00:57:45On va en parler dans quelques instants.
00:57:46C'était tellement bien que certains, et nous peut-être, on va avoir du mal à s'en remettre.
00:57:50C'était pas facile pour tout le monde ce matin.
00:57:52Mais regardez, hier soir, les images au Club France à la Porte de la Villette.
00:57:55Il était une heure, une heure et demie du matin, même si certains bossaient aujourd'hui.
00:57:59C'est incroyable ces images quand même.
00:58:01L'envie de poursuivre la fête jusque tard était plus forte pour tout le monde dans ce lieu emblématique.
00:58:07Franchement, c'était génial.
00:58:09Magnifique ça.
00:58:10Ils ne reviendront peut-être jamais à des moments comme ça.
00:58:12Tout le monde, hier soir et ce matin, tout le monde parlait et parle déjà du blues post-jeu.
00:58:18Jeux olympiques et paralympiques.
00:58:20Ça va être horrible demain à l'école, au collège, au lycée et au boulot.
00:58:24Ça va être affreux.
00:58:26Extrêmement triste.
00:58:27Ce qui me fait le plus pleurer, c'est de me dire qu'il n'y aura plus la Vasque,
00:58:31qu'il n'y aura plus cette ambiance de fou qu'il y avait à Paris.
00:58:34C'était extraordinaire.
00:58:36J'aime Paris de nouveau.
00:58:38Ça m'a redonné l'amour pour Paris.
00:58:42Et de voir tout le monde heureux, on peut dire, en quelque sorte, malgré les problèmes qu'on a à côté.
00:58:46Donc c'est vrai que ça va manquer forcément.
00:58:48Ça nous a rappelé qu'on est tous français et qu'on est heureux de l'être.
00:58:52La France a vraiment été géniale et on restera vraiment dans les mémoires de tout le monde.
00:58:58Évidemment, c'était les meilleurs Jeux de l'Histoire.
00:59:00C'est bien, il nous a répondu au pourquoi.
00:59:02Ça, on aime bien.
00:59:03Il faut s'en remettre des derniers Jeux de l'Histoire, évidemment.
00:59:06D'ailleurs, c'est une thématique qui peut être importante dans les prochains Jeux.
00:59:08Les meilleurs de l'Histoire.
00:59:09Il y a quelques jours, Romane Dicot, qu'on a vu faire la fête,
00:59:12elle parlait justement de la dépression après les Jeux.
00:59:14Elle qui a eu une médaille de bronze.
00:59:16Il faut se remettre aussi, redescendre de tout ça, de ces lendemains difficiles.
00:59:20Encore plus peut-être pour les athlètes paralympiques,
00:59:22qui sont encore moins habitués à cette exposition.
00:59:24Lucas Didier, médaillé d'argent en paralympique tennis de table, en parlant.
00:59:28La bouse, il va arriver mardi matin quand je vais reprendre les cours.
00:59:31Parce que ça fait déjà une semaine que ça a repris.
00:59:33Il va falloir vite s'y remettre.
00:59:35Mais là, on est toujours dans l'euphorie.
00:59:37Et pendant quelques jours, voire semaines à venir, on va être encore dans l'euphorie, je pense.
00:59:41Et bonne chance à nos copains de Los Angeles pour faire mieux dans quatre ans.
00:59:45Et en quatre ans, ce sera plutôt ça, a priori.
00:59:48Bien sûr.
00:59:49C'est bien aussi.
00:59:50C'est autre chose.
00:59:51Il faut dire que c'est autre chose, effectivement.
00:59:53Les Jeux.
00:59:54En Californie, vous avez reconnu Snoop Dogg et Dr. Dre.
00:59:56Alors ce sera LA pour la troisième fois de l'histoire, après 1934 et 1984.
00:59:59La Seine et la Tour Eiffel vont être remplacées par ça.
01:00:01Le Hollywood Sign, Santa Monica, Venice Beach,
01:00:03où il y aura le beach volley, le skate, le surf, le basket 3-3.
01:00:06Los Angeles, où 100% des sites sont déjà existants.
01:00:08C'est pas mal.
01:00:09C'est pas mal.
01:00:10C'est pas mal.
01:00:11C'est pas pareil.
01:00:12Moi, je veux bien aller les couvrir.
01:00:15Ça ira, ça ira.
01:00:16On préfère baigner à Venice Beach plutôt que dans la Seine.
01:00:18Ouais, pas faux.
01:00:19Est-ce que les Angelinos ont pas quand même un peu la pression
01:00:22par rapport à ce qu'on a rendu comme copie ?
01:00:24On a posé la question à notre correspondant là-bas.
01:00:26C'est Romain Delbello.
01:00:28Le patron des JO de Los Angeles 2028,
01:00:32Reynold Hoover, a dit que Paris avait mis la barre très haut pour Los Angeles.
01:00:37Mais là, on va voir quand même tout l'esprit américain.
01:00:39Il a dit, et nous, on mettra la barre très haut pour Brisbane en 2032.
01:00:44Nous, on n'a pas la Tour Eiffel, mais on a Hollywood.
01:00:46On a le storytelling, on a le star power.
01:00:48Donc, on peut raconter des histoires, on peut jouer sur le divertissement,
01:00:51on peut montrer des stars.
01:00:53La maire de Los Angeles, Karen Bass, avait dit,
01:00:55il faut qu'on s'inspire de ce qui a été fait en dehors des activités.
01:00:58C'est-à-dire comment Paris a fait participer les gens aux JO,
01:01:01même sans avoir un billet.
01:01:04Sachez que la ville de Los Angeles a parlé de jeux sans voiture,
01:01:09ce qui est quand même un défi complètement dingue.
01:01:11Très bonne vanne.
01:01:12C'est peut-être encore plus dur que de se baigner dans la Seine, je ne sais pas.
01:01:15Nous, on a réussi.
01:01:17Bravo, Georges, pour ce pourquoi.
01:01:19Il faut quand même rappeler que pour aller d'une ville à l'autre,
01:01:21c'est des autoroutes.
01:01:23Vous faites Los Angeles-Virail East, vous prenez de toute façon...
01:01:25Apparemment, ils vont mobiliser 3 000 personnes.
01:01:27Oui, prenez-en 30 000.
01:01:29On va avoir le débat sur les meilleurs jeux de l'histoire dans un instant.
01:01:32Mais avant cela, une info concernant le Capitana.
01:01:34Giovanni Castaldi est avec nous à Lyon.
01:01:36Je me tournais par réflexe vers vous, Candice.
01:01:38Mais Jo est avec nous.
01:01:39Jo, on vous écoute pour le match de ce soir.
01:01:43La personne qui portera le brassard ce soir n'est pas Mike Maignan,
01:01:47mais N'Golo Kanté, qui était annoncé dans la rotation,
01:01:49qui sera finalement titulaire, le milieu de terrain qui évolue en Arabie Saoudite,
01:01:54et portera le brassard de capitaine.
01:01:56Je n'ai pas encore le reste de la compo,
01:01:58mais voilà ce qu'on est en mesure de vous dire à cet instant.
01:02:01On va en parler de ça, de Kanté capitaine.
01:02:03J'entendais en plateau, pendant ce temps-là, aucune logique.
01:02:06Je ne comprends pas et toutes ces choses-là.
01:02:08Et on va revenir sur les meilleurs jeux de l'histoire à Paris.
01:02:10Pourquoi ? Vous allez vous exprimer.
01:02:12Et vous aussi, à tout de suite.
01:02:18De retour, de retour dans l'équipe de Greg.
01:02:20On vous rappelle cette info, c'est N'Golo Kanté,
01:02:22qui sera capitaine ce soir de l'équipe de France.
01:02:25Il sera titulaire aux côtés de Coney, de Game Doozy, au milieu de terrain.
01:02:29On vous donnera toute la compo dans un instant.
01:02:31Mais là, on est avec Georges Tireno,
01:02:32qui nous parle de ces Jeux Olympiques de Paris.
01:02:34À moins qu'on ait retrouvé Jo.
01:02:36Jo est peut-être déjà de retour à Lyon.
01:02:37Ça tombe bien.
01:02:38On va retourner.
01:02:39Giovanni Castaldi, vous êtes de retour devant la cam'.
01:02:41Je vous ai vu, tel un zébulon, ressortir.
01:02:44Milieu de terrain, j'ai bon, là ?
01:02:46Si j'ai bien lu votre WhatsApp ?
01:02:48On est sur un Coney, Game Doozy, Kanté capitaine.
01:02:54Oui, exactement.
01:02:55Dans les cages, pas de surprise, Mike Mignon,
01:02:57mais qui ne porte pas le brassard.
01:02:59À droite, Koundé.
01:03:00À gauche, on est sur Lucas Dinshala, central ou pas mécano, Saliba.
01:03:03Milieu de terrain, donc.
01:03:04Là, il y a un petit peu de surprise.
01:03:06Vous parlez de l'hypothèse.
01:03:07Matteo Game Doozy, ça s'est confirmé.
01:03:09Avec N'Golo Kanté, donc capitaine ce soir.
01:03:11Et Manu Coney.
01:03:12Et puis devant, c'est ce qui était attendu,
01:03:14à savoir Marcus Thuram, Randal Colomoigny
01:03:16et Ousmane Dembélé.
01:03:18Giovanni, on va parler de cette compo.
01:03:20Dans toute la fin de l'émission,
01:03:21on est là jusqu'à 20h30 ce soir.
01:03:23Et ça fait débat.
01:03:24Je peux vous dire que cette compo,
01:03:25elle ne plaît pas à grand, grand monde.
01:03:27Mais avant cela, on va revenir sur ces Jeux Olympiques de Paris,
01:03:29qui seraient les plus grandes d'histoire
01:03:31pour Georges Thierry de Chavez et pour moi.
01:03:33Je suis complètement d'accord avec vous.
01:03:35Vous avez pensé quoi, Emilie ?
01:03:36Vous avez regardé de A à Z,
01:03:37les Jeux Olympiques, les Jeux Paralympiques.
01:03:39Vous n'avez pas loupé une miette.
01:03:40Tout regarder les JO à la télé.
01:03:42Vraiment tout.
01:03:43Et je me suis régalée.
01:03:44C'est un peu ma période où j'aime bien.
01:03:46Moi, je ne bosse pas sur les JO.
01:03:47Et du coup, je peux consommer de manière très basique.
01:03:50Et bouffer du sport à non-stop.
01:03:52Et découvrir des athlètes dans des disciplines
01:03:54que je ne suis pas d'habitude.
01:03:55Les paras, du coup, je m'étais organisée.
01:03:57J'ai pris des billets,
01:03:58donc je me suis rendue sur les sites.
01:04:00Et moi, ce qui m'a vraiment marquée,
01:04:02c'est l'engouement du public.
01:04:04Les volontaires.
01:04:05Il faut vraiment parler des volontaires, des bénévoles.
01:04:07Parce que sans eux, les JO n'existent pas.
01:04:08Et il faut voir l'accueil qui est réservé à tout le monde.
01:04:11Partout, sur tous les sites.
01:04:12Et ça m'a juste rappelé, petit détail,
01:04:14que le sport n'existe pas sans le sport amateur.
01:04:16Et tous les bénévoles qui les font vivre.
01:04:18Donc vraiment, c'était un travail remarquable.
01:04:21Et on a des sites de qualité.
01:04:22On a de la chance d'avoir pu...
01:04:23La qualité unique au monde.
01:04:25Vous y allez, vous...
01:04:26Waouh !
01:04:27Vous vous rappelez du scepticisme.
01:04:29Et nous, possiblement les premiers.
01:04:30On était dans une période post-élection.
01:04:33On était dans un trouble absolu de toutes et tous.
01:04:36Et tout le monde se disait,
01:04:38ça va être horrible.
01:04:40Qu'est-ce qui va se passer en termes de sécurité ?
01:04:42Et puis, on a tous pris une énorme baffe dans la gueule.
01:04:45De bonheur, de bonne humeur, de fraîcheur.
01:04:47Les sourires des gens.
01:04:48Les sourires, vraiment.
01:04:49Les gens étaient heureux, enfin.
01:04:51Bien sûr.
01:04:52Surtout dans ce sens-là.
01:04:53Moi, je n'ai pas souvenir d'avoir été sceptique.
01:04:55Mais je ne me disais pas que ça serait une telle réussite.
01:04:57Et puis, moi qui fais de la radio,
01:04:58il y a aussi cette dent de son.
01:04:59Je veux dire, oser...
01:05:00Je voudrais saluer Thomas Joly et tous ceux qui ont bossé dessus.
01:05:03Parce que nous mettre du Que je t'aime,
01:05:04oser Joe Dassin,
01:05:06oser tous ces trucs un peu populaires,
01:05:08ces trucs comme ça, cette variété.
01:05:10Voilà, qui sont ce qu'on chante.
01:05:12Mais c'est génial.
01:05:13Et puis leur hymne, Ailleurs,
01:05:14qu'on espère pouvoir télécharger à un moment,
01:05:16qui, dès qu'on l'entend, nous colle les frissons.
01:05:18Tout ça fait partie de la réussite, carrément aussi.
01:05:20Ça a été bien de A à Z.
01:05:22Oui, mais vous l'avez dit,
01:05:24c'est aussi parce que c'est Paris.
01:05:25C'est-à-dire que, sur le plan architectural,
01:05:27on ne peut pas faire mieux.
01:05:28C'est considéré comme la plus belle ville du monde.
01:05:30Donc, quand vous faites des jeux à l'extérieur,
01:05:32fatalement, vous vous retrouvez face à la Tour Eiffel.
01:05:34Le C6 meet, la finale, elle est magique aussi,
01:05:36parce qu'on n'est pas dans un gymnase...
01:05:37Vive l'Argentine ! C'est l'Argentine !
01:05:39Ça aurait pu être le Zaire ou les États-Unis.
01:05:43On s'en fout.
01:05:44Non, mais honnêtement, en fait, c'est devant la Tour Eiffel.
01:05:46Donc, c'était devant la Tour Eiffel,
01:05:48avec ce public, cette dramaturgie.
01:05:50En fait, je pense qu'esthétiquement,
01:05:53on ne peut pas faire mieux.
01:05:54Et même Los Angeles,
01:05:55si Los Angeles met des millions, des milliards,
01:05:56ça ne pourra pas être mieux.
01:05:57Déjà, ils sont restables à part la plage.
01:05:59Quand vous voyez ces images là-derrière,
01:06:00ça ne peut que rester dans l'histoire,
01:06:01parce qu'ils ont osé faire ce pari-là.
01:06:03Et franchement, il faudra rendre un hommage appuyé
01:06:05à Anne Hidalgo, à Tony Stanguet,
01:06:07à Emmanuel Macron, à François Hollande avant lui,
01:06:09qui avait aussi milité pour avoir ces jeux à Paris,
01:06:11de faire ça dans la ville.
01:06:13Et franchement, c'est un exploit magistral.
01:06:17Et quelle leçon d'a donner, effectivement, aux autres villes.
01:06:20Georges parlait un peu plus tôt du blues post-JO.
01:06:23Il y en a un qui est sans doute plein dedans,
01:06:25puisqu'il a tweeté ce matin.
01:06:26C'est Tony Stanguet avec ce petit émoji circonspect.
01:06:30Quand on voit sur l'appli,
01:06:31il n'y a plus aucune session à venir.
01:06:32Ça y est, c'est complètement terminé, les JO.
01:06:35Et on peut dire que le patron de Paris 2024,
01:06:38il a contribué à cet immense succès,
01:06:40preuve de cette réussite.
01:06:41Il a été ovationné au Stade de France
01:06:43pour la cérémonie de clôture des Jeux paralympiques.
01:06:45Son nom a été scandé par la foule,
01:06:47contrairement à celui d'Emmanuel Macron,
01:06:49qui a été hué.
01:06:50Alors la suite, maintenant,
01:06:51pour l'ancien triple champion olympique de canoë,
01:06:53il a annoncé qu'il ne sera pas le prochain président
01:06:55du CIO pour succéder à Thomas Bach,
01:06:58puisqu'il a rendu sa carte de membre,
01:07:00mais a affirmé qu'il sera toujours disponible.
01:07:02Des ambitions politiques, peut-être ?
01:07:04On est habitué, en France,
01:07:05on a plusieurs exemples d'anciens athlètes de haut niveau
01:07:08qui sont devenus ministres,
01:07:09pour ne citer par exemple que David Douillet.
01:07:11Alors ce n'est pas dans les tuyaux pour Tony Stanguet,
01:07:13du moins dans l'immédiat.
01:07:14Et d'ailleurs, l'équipe avait posé la question
01:07:16au président de la République il y a quelques jours,
01:07:19c'était début août,
01:07:20pour éventuellement succéder à Melioudé Akasera,
01:07:23ministre des missionnaires des sports.
01:07:24La réponse du président de la République,
01:07:26je sais tout ce que la France doit à Tony
01:07:29pour le succès de ses Jeux 2024.
01:07:31Il y a d'abord une très bonne ministre des sports
01:07:33et des Jeux,
01:07:34et puis Tony n'a pas fini le boulot.
01:07:36Après, je pense qu'il a un très grand avenir,
01:07:38j'en parlerai avec lui,
01:07:39et je ferai tout pour l'aider pour la suite.
01:07:42Moi, je pense qu'à la fin de l'année,
01:07:44dans le sondage JDD,
01:07:45il va caracoler en tête Tony Stanguet
01:07:47parmi les personnalités préférées des Français.
01:07:51Et puis, il y a même Greg Acher qui est un grand fan,
01:07:53c'est son modèle,
01:07:54puisque ce matin,
01:07:55il a tweeté tout plaqué
01:07:56et devenir Tony Stanguet.
01:07:58Je n'espère pas Greg Acher.
01:08:00Je réponds juste à Alicia,
01:08:01parce que là, c'est vrai que j'ai tweeté ça,
01:08:03parce que c'est mon petit blouse à moi post-JO.
01:08:05Quelqu'un qui est aussi légitime,
01:08:07parce qu'il a été champion olympique,
01:08:09fédérateur, bon orateur et chic,
01:08:12je suis désolé,
01:08:13il n'a pas les masses.
01:08:15Et aussi, empli de modestie.
01:08:17C'est un garçon qui n'a jamais tiré la couverture à lui,
01:08:21je trouve, sur ces Jeux olympiques.
01:08:22Honnêtement, même si tu fais les gros yeux, Ludo,
01:08:24mais vous savez ce qu'il dit,
01:08:26Tony Stanguet,
01:08:27quand on lui pose la question,
01:08:28mais pourquoi es-tu devenu le patron de Paris 2024 ?
01:08:30Il y a quelques années, il dit,
01:08:31parce que je parle anglais,
01:08:32je connais quelques athlètes.
01:08:33Il dit juste ça.
01:08:34Moi, j'ai entendu des gens dire,
01:08:35ah oui, mais enfin, vous savez le kayak.
01:08:37Oui, mais il tripe champion olympique,
01:08:39ça prend sa modestie.
01:08:40Et honnêtement,
01:08:41moi, j'ai aimé l'attitude de Tony Stanguet
01:08:43et c'est vrai que Paris 2024,
01:08:44il n'aurait pas été le même sans lui.
01:08:47Vous avez kiffé, mon Ludo ?
01:08:48J'ai ultra kiffé.
01:08:51J'avais prévu de bonnes vacances
01:08:53parce que j'en avais besoin pour me reposer
01:08:55et je dois admettre que j'ai sacrifié
01:08:58quelques journées transat, piscine, plage
01:09:00pour rester devant la télé et regarder.
01:09:03Parce qu'on parle de l'organisation,
01:09:04on parle des bénévoles
01:09:05et bien sûr, surtout nos athlètes.
01:09:07Parce qu'il fallait être au rendez-vous.
01:09:09Parce que s'il y a eu l'engouement,
01:09:10c'est parce qu'on a eu des médailles,
01:09:11parce que les athlètes ont été au rendez-vous.
01:09:13Et Dieu sait que préparer un événement un jour,
01:09:15quatre ans pour un jour,
01:09:17mentalement, il faut être une machine de guerre.
01:09:20Et nos athlètes, ils ont été extraordinaires
01:09:22sur toute la durée.
01:09:23Paralympiques, Olympiques,
01:09:24ils ont été à la hauteur des hautes ambitions
01:09:27qu'on avait prévues pour eux.
01:09:29Donc bravo déjà à eux,
01:09:30parce que c'est eux qui nous ont portés.
01:09:32Et puis bravo au peuple français
01:09:33qui s'est aussi réapproprié des choses.
01:09:35Vous parliez de la musique française.
01:09:37Je suis content qu'on n'ait pas mis
01:09:38Free From Desire et qu'on s'est approprié
01:09:42nos chansons, notre patrimoine, notre culture.
01:09:45Qu'on a lancé des choses comme ça.
01:09:47C'est parti comme ça.
01:09:49Le que je t'aime.
01:09:50Il n'y a pas eu assez de Moulins de Sargent
01:09:51pour prendre dix, mais c'était bien.
01:09:52Oui, bien sûr, on aurait pu le mettre
01:09:53désenchanté.
01:09:55Mais j'ai trouvé ça chouette.
01:09:57Benoît, elle est pour vous la question rigolote.
01:10:00Par rapport à France 98,
01:10:02est-ce qu'on peut comparer les deux ?
01:10:04Parce que c'était un pur moment de bonheur.
01:10:06Tout le monde croyait à une France blanc-black-beur,
01:10:08on s'était dit,
01:10:09puis derrière, c'est retombé très vite.
01:10:11Qu'est-ce qui fait que,
01:10:12un, est-ce que vous voulez comparer les deux ?
01:10:13Et puis deux,
01:10:14je sais bien que la question est un petit peu difficile,
01:10:16mais est-ce qu'on est capable de maintenir le soufflé ?
01:10:20C'est difficile de comparer ces deux événements
01:10:23qui sont complètement différents.
01:10:24Mais par contre,
01:10:27l'ambiance qu'a eue France 98
01:10:29et les JO sont quasi la même.
01:10:32Ce qui était exceptionnel sur ces JO,
01:10:35et là où ils ont bluffé tout le monde,
01:10:36c'est la cérémonie d'ouverture.
01:10:37Là, ils ont frappé très fort,
01:10:38et on a tous été surpris.
01:10:40Et on s'est dit,
01:10:41ah, c'est comme ça ?
01:10:43Ça a commencé avec le rugby tout de suite.
01:10:44Ça veut dire qu'il y a beaucoup de personnes
01:10:46qui, grâce à cette cérémonie d'ouverture,
01:10:50qui a été exceptionnelle,
01:10:51forcément, inconsciemment,
01:10:53se sont intéressées dès le début aux JO.
01:10:55Et il y a eu le rugby A7
01:10:56avec l'histoire d'Antoine Dupont,
01:10:58qui joue au début,
01:10:59qui ensuite devient remplaçant,
01:11:00qui rentre en finale
01:11:01et qui marque le dernier essai.
01:11:03De suite, il y a eu une histoire.
01:11:04Avec les sports mineurs,
01:11:05le BMX,
01:11:06les archers.
01:11:07Mais surtout,
01:11:08ce rugby A7,
01:11:10ça a été vraiment le début de ces JO
01:11:12avec l'histoire d'Antoine Dupont,
01:11:14qui a été exceptionnelle
01:11:15avec tous les...
01:11:16Des grands gagnants.
01:11:17Rimeur qui gagne.
01:11:18Exactement.
01:11:19Avec tous ses autres coéquipiers.
01:11:20Le Stade de France était plein.
01:11:22Le Stade de France était plein.
01:11:23Il y a eu cette histoire aussi.
01:11:24Il y a une légende qui est née,
01:11:25une légende française,
01:11:26Léon Marchand.
01:11:27On a beau dire ce qu'on veut,
01:11:28mais il a créé complètement le buzz.
01:11:29Moi, je me suis vu,
01:11:31une heure avant,
01:11:32regarder l'heure,
01:11:33vite aux enfants.
01:11:34Franchement, je vous pose la question à tous.
01:11:35Pardon, je vous coupe.
01:11:36Mais quand il remonte sur le Hongrois,
01:11:38dans le 200 mètres,
01:11:39il est derrière pendant 3 fois 50 mètres.
01:11:41On est debout.
01:11:42Et que toute la piscine hurle.
01:11:43Bien sûr.
01:11:44J'en parle,
01:11:45je suis en train de mettre un caisson à la colonne.
01:11:47Mais oui.
01:11:48Complètement.
01:11:49Oui.
01:11:50Mais on a chialé.
01:11:51On a chialé pendant tous les JO et les paras.
01:11:53C'est l'un des plus grands moments de l'histoire du sport.
01:11:55Il remonte, c'est sa première médaille d'or.
01:11:56Il remonte pour aller...
01:11:57C'est la deuxième.
01:11:58C'est la deuxième.
01:11:59Sur le papillon.
01:12:00C'est fabuleux.
01:12:01Oui, c'est fabuleux.
01:12:02Et on garde cette image.
01:12:03Et dès ses premiers JO olympiques,
01:12:06il aura déjà marqué l'histoire
01:12:08des JO olympiques.
01:12:09Mais pas que pour la France.
01:12:10Des JO olympiques de manière générale.
01:12:12Et les frères Lebrun.
01:12:13Il y a tout.
01:12:14Et les frères Lebrun qui y vont.
01:12:15Bon, c'était extraordinaire.
01:12:17Merci Georges.
01:12:18Je vous remercie de m'avoir fait revivre ça.
01:12:20Bravo Georges.
01:12:21Et bravo pour votre tirade
01:12:22qu'on va poster sur les réseaux sociaux.
01:12:24Il faut être liké.
01:12:25Sur quoi ?
01:12:26Sur les réseaux sociaux.
01:12:27Sur les réseaux sociaux.
01:12:28Sur les réseaux sociaux.
01:12:29Avec modération.
01:12:30Évidemment, c'est faux.
01:12:31Je suis...
01:12:32Allo, faites voir.
01:12:33Je confirme.
01:12:34Complètement.
01:12:35Il y a un sondage, Alicia.
01:12:36Oui, un sondage.
01:12:37J'ai posé la question à vous aussi.
01:12:38Il y a eu plus de 1000 votes.
01:12:40Et là encore, il y a l'unanimité.
01:12:41Est-ce que ce sont les meilleurs jeux de l'histoire,
01:12:43ces JO Paris 2024 ?
01:12:45C'est un oui à 68%.
01:12:47Donc, c'est une immense réussite
01:12:48pour vous aussi qui nous suivez au quotidien.
01:12:50Pour qui est quand même derrière ?
01:12:52Pour avoir moins le blues.
01:12:54On va peut-être mettre plus de sport
01:12:55dans la vie des Français.
01:12:56Et dans nos vies aussi.
01:12:57Totalement.
01:12:58C'est la Ligue 1 qui a reçu.
01:12:59C'est comme la...
01:13:00Attendez, la Ligue 1 arrive à 19 euros.
01:13:01Regardez, on arrive.
01:13:02On va en parler.
01:13:03Ceux qui ont payé 39 euros.
01:13:05Giovanni Lacompo, France-Belgique ce soir à Lyon
01:13:10avec une surprise sur le Capitana.
01:13:14Oui, comme on vous le disait tout à l'heure,
01:13:16c'est N'Golo Kanté qui portera le brassard de capitaine.
01:13:19Surprise quand même dans le 11 de départ.
01:13:21C'est la présence de Matteo Ghendouzi
01:13:23dans le cœur du jeu.
01:13:24Je vais vous la redonner dans l'ordre.
01:13:25Dans les cages, Mike Maignan.
01:13:27De gauche à droite, la défense digne.
01:13:29Saliba Upamecano et Jules Koundé.
01:13:32Kanté, Ghendouzi et Manu Koné au milieu de terrain.
01:13:35Puis les trois de devant, c'était ceux qui étaient attendus.
01:13:37À savoir Ousmane Dembélé sur le côté droit.
01:13:39Randall Kolomoigny à gauche.
01:13:41Et en pointe, Marcus Thuram.
01:13:42Pas d'Mbappé.
01:13:43Pas de Griezmann.
01:13:45Ça fait parler autour de la table.
01:13:47Et qu'il n'y a pas que des euros.
01:13:48On va en parler dans un instant.
01:13:49Il y aura aussi le foutoir de Candice Roland
01:13:51et le petit filet d'Antoine Pinot.
01:13:53A tout de suite.
01:14:03Ce soir, Israël-Italie sur la chaîne équipe.
01:14:05Vous voyez Buffon, évidemment, dans le staff italien.
01:14:08Puis Gianluigi Donnarumma et tous les Italiens
01:14:10qui nous ont mis un joli 3 au Parc des Princes
01:14:13en tête de ce groupe contre Israël ce soir.
01:14:15Et l'autre match, c'est bien évidemment ce France-Belgique
01:14:19qu'on va vivre avec une équipe particulièrement remaniée.
01:14:23On va vous parler de cette compo.
01:14:24On va la remontrer.
01:14:26Candice, vous nous remontrez la compo de l'équipe de France ce soir.
01:14:29Une compo, on va dire, originale.
01:14:31Oui, ce 4-3-3 avec ce Capitana pour N'Golo Kanté
01:14:35au milieu de terrain, accompagné de Manu Koné et Matteo Ghendouzi.
01:14:39Derrière Meignan, il sera là, bien là,
01:14:41tout comme Digne, Lacharnière, Upamecano, Saliba
01:14:44et Jules Koundé, titulaire à nouveau.
01:14:45Et puis devant, c'était les trois annoncés.
01:14:48Colomboigny à gauche, à droite, Ousmane Dembele
01:14:51pour épauler Marcus Thuram.
01:14:53Étonnante, vous avez vu cette compo.
01:14:56Sans préjugés de quoi que ce soit,
01:14:58on a déjà fait le débat des champs BAPE tout à l'heure.
01:15:01Elle est conceptuelle.
01:15:03À l'heure où beaucoup de Français
01:15:08quand même réclament autre chose
01:15:12que le simple pur résultat
01:15:14et donc on entend un petit peu les critiques
01:15:17sur le fait, sur le jeu de l'équipe de France,
01:15:18sur les émotions procurées.
01:15:20Quand je regarde ce 11, je me dis mais qui un...
01:15:23Alors, il y a des joueurs qui ont des qualités
01:15:25mais ils ont tous quasiment les mêmes qualités.
01:15:27Au milieu de terrain, je me dis mais
01:15:29qui à un moment donné prend le ballon ?
01:15:31Qui trouve la passe qui tue ?
01:15:33Je me dis mais qui nous...
01:15:36À qui ? Vous pouvez répondre ?
01:15:38Vous répondez quoi ?
01:15:39Vous répondez personne quand vous me posez la question.
01:15:41Non, j'ai personne qui peut.
01:15:42Si, peut-être Gendouzi avec sa folie va nous faire...
01:15:44Mais comme ces milieux de terrain là
01:15:46sont toujours muselés en équipe de France
01:15:48puisqu'on voit Kamavinga, on ne le voit jamais.
01:15:50Rabiot, on ne voit jamais faire des choses offensives.
01:15:52Chouameni, très rarement.
01:15:54Qu'est-ce qui va être proposé ?
01:15:56Après, il y a beaucoup de blessés.
01:15:59Il y a quand même des circonstances atténuantes.
01:16:01Si vous enlevez Griezmann de ce milieu de terrain,
01:16:03il reste quoi sur la qualité ?
01:16:05Il a dit qu'il voulait faire jouer tout le monde.
01:16:06Zeyer Emery est blessé.
01:16:07En vrai, il n'a pas 36 000 solutions.
01:16:09Ok, mais il faut qu'à un moment donné,
01:16:11peut-être on s'interpelle sur quels sont nos profits.
01:16:14Vous voulez faire quoi alors ?
01:16:16Je vais mettre une petite réserve sur la compo.
01:16:18À mon avis,
01:16:20Thuram sera à gauche et Koulouani devant.
01:16:22Ca ne change rien.
01:16:24Non, mais juste quand même pour la pression.
01:16:26On aime N'Golo Kanté.
01:16:28On adore ce joueur.
01:16:30On adore l'homme.
01:16:32Mais quel est l'intérêt de le remettre ?
01:16:34La titulaire.
01:16:36Il est revenu.
01:16:38Capitaine, pas que titulaire.
01:16:40C'est un signal.
01:16:42Donc, on va aller à la Coupe du Monde avec N'Golo Kanté ?
01:16:44Deux ans de plus en Arabie Saoudite ?
01:16:46Non.
01:16:48Pourquoi vous ne mettez pas Amelian Capitaine ?
01:16:50Parce que c'est celui qui est le plus ancien dans l'équipe.
01:16:52Et Kanté avait déjà le brassard avant.
01:16:54Pourquoi on ne prépare pas l'avenir ?
01:16:56Je suis d'accord avec toi.
01:16:58Il n'y a aucune logique.
01:17:00Pour moi, il n'y a pas de logique d'appeler un joueur comme N'Golo Kanté.
01:17:02Qui d'ailleurs, sur la fin de compétition à l'Euro,
01:17:04n'a pas été très bon.
01:17:06Il a fait un très bon premier match, on s'en souvient.
01:17:08Deuxième match, un peu en demi-teinte.
01:17:10Après, il a un peu disparu.
01:17:12Mais il n'y a personne qui vous intéresse dans cette compo ?
01:17:14Au moins, ça fait une religion effective.
01:17:16Pour moi, la seule déception
01:17:18pour qu'il y ait
01:17:20une composition cohérente,
01:17:22c'est l'absence d'Olizé.
01:17:24Parce que le mec, il a 20 ans.
01:17:26Il peut enchaîner deux matchs,
01:17:28ce week-end,
01:17:30cinq ou six matchs par mois, voire plus.
01:17:32Pour moi, c'est la vraie déception.
01:17:34Parce que là, vraiment, il manque ce lien,
01:17:36comme l'a dit Ludo.
01:17:38Avec, à la limite, on met Koné-Kanté
01:17:40et on met Olizé un peu plus haut.
01:17:42Tu as besoin de recoller les morceaux avec Griezmann.
01:17:44Il ne devait pas jouer le premier match,
01:17:46il devait jouer celui-là.
01:17:48Je suis persuadé que Thuram passera côté gauche,
01:17:50ça aurait été un peu plus cohérent.
01:17:52Là, ça manque de liens.
01:17:54– Giovanni, ça manque de liens.
01:17:56Ludo dit qu'il n'y a personne
01:17:58pour faire la passe qui tue.
01:18:00Karim nous explique également que
01:18:02ce n'est pas la compo du siècle.
01:18:04Il y en a même un doute sur la place de Thuram-Colomogny.
01:18:06Votre sentiment à vous ?
01:18:08C'est comme il a fait la promesse
01:18:10de faire tourner, qu'il y a plein de blessés,
01:18:12plein d'absents ?
01:18:14Est-ce qu'il n'y a pas de choix ?
01:18:16Ou est-ce qu'on verra bien ce qui se passe ?
01:18:18– Je pense, Greg,
01:18:20on peut être d'accord ou non,
01:18:22mais il va au bout de sa logique.
01:18:24Il nous l'a expliqué toute la semaine.
01:18:26Il me l'a redit hier quand je l'ai vu
01:18:28avant la conférence de presse.
01:18:30Il nous l'a annoncé vendredi au Parc des Princes.
01:18:32Donc, il va au bout de sa logique.
01:18:34Moi, je déplore jusque dans cette compo-là.
01:18:36Plutôt que de mettre
01:18:38Matteo Ghendouzi, puisqu'il n'était pas
01:18:40de l'aventure précédente.
01:18:42Il y a une lecture que je pouvais comprendre,
01:18:44par exemple, sur quelqu'un comme Konaté
01:18:46qui n'avait pas joué.
01:18:48Il y avait une forme de frustration
01:18:50et de faire jouer ces garçons-là
01:18:52qui n'avaient pas eu le rôle qu'ils espéraient avoir
01:18:54pour réoxygéner le groupe, je peux l'entendre.
01:18:56Mais là, Matteo Ghendouzi,
01:18:58moi, je n'arrive pas à m'imaginer
01:19:00avec le retour des titulaires,
01:19:02sa place dans le groupe.
01:19:04Je ne vois pas bien l'intérêt de le mettre
01:19:06plutôt que de mettre un garçon
01:19:08comme Michael Olizé
01:19:10qui peut faire du lien et créer.
01:19:12Ça, honnêtement, c'est une déception personnelle.
01:19:14J'essaie toujours d'être positive.
01:19:16Là, je n'arrive pas à comprendre.
01:19:18Même pour les joueurs,
01:19:20quand on voit ce qu'ils nous ont servi
01:19:22la vendredi, on ne s'attend à rien.
01:19:24Par contre, c'est tout bénef pour la Belgique.
01:19:26On oublie l'adversaire.
01:19:28La Belgique, eux, ont fait un très bon démarrage.
01:19:30Ils ont un coach qui sait ce qu'il veut
01:19:32et qui sait où il va.
01:19:34Les jeunes ont bien retenu ce qui s'était passé à Lourdes.
01:19:36Là, franchement, amis belges,
01:19:38si vous n'y allez pas là, vous n'y irez jamais.
01:19:40Excusez-moi.
01:19:42Il ne fait pas assez tourner.
01:19:44Entre ça et le manque de choix...
01:19:46Vous prenez la prime, là, franchement.
01:19:48Mélangez les deux équipes.
01:19:50Troisième équipe, alors ?
01:19:52Mélangez les deux équipes.
01:19:54Une équipe avec Griezmann,
01:19:56une équipe avec Mbappé,
01:19:58une équipe avec Oliver.
01:20:00Tu mélanges les deux équipes.
01:20:02T'as eu le 11 stars sur le premier match
01:20:04et là, t'envoies tous les autres
01:20:06qui n'ont aucune connivence entre eux,
01:20:08qui, pour la plupart,
01:20:10rejouent ou n'ont pas joué depuis longtemps.
01:20:12Et se tapent la pression de vendredi
01:20:14et du 3-1.
01:20:16Donc là, vous êtes tous très inquiets.
01:20:18Non, après Grème, attention.
01:20:20Pour moi, le seul point positif dans cette composition,
01:20:22c'est la défense.
01:20:24Parce que, clairement, défensivement,
01:20:26Digne, même si ça fait très longtemps qu'il n'a pas joué en équipe de France...
01:20:28Mais Grègue, attention !
01:20:30Je suis d'accord, Grègue.
01:20:32Mais défensivement, ça tient la route.
01:20:34Digne, qui a Aston Villa,
01:20:36on n'en parle pas trop,
01:20:38c'est un joueur de saison incroyable.
01:20:40Saliba, Upamecano, Koundé, c'est solide quand même.
01:20:42Vous ne pouvez pas me dire que ce n'est pas une défense d'équipe à prime.
01:20:44Pourquoi tu ne fais pas Hernandez avec Koundé ?
01:20:46Hernandez, regarde ce qu'il a fait vendredi.
01:20:48Et Digne avec Klaus.
01:20:50Il s'est fait aspirer.
01:20:52Avec le match qu'il a fait,
01:20:54Hernandez...
01:20:56Quand vous avez des grands noms
01:20:58qui ratent leur match,
01:21:00parce que, Giovanni, ça a été quand même beaucoup dit dans la presse,
01:21:02les cadres n'ont pas été bons.
01:21:04Donc, il y a un moment, c'est pas mal de voir aussi les petits jeunes.
01:21:06Comprendre aussi ce que dit Deschamps.
01:21:08Les leaders ne sont pas bons.
01:21:10Les gars, je vous ai dit que vous ne jouez pas.
01:21:12Vous ne jouez pas.
01:21:14Il aurait fait l'inverse.
01:21:16Il donne toujours sa chance au même.
01:21:18Au moins, là, il y a à vous de trouver.
01:21:20Et en attaque, il y en a qui jouent gros quand même.
01:21:22J'adorerais, Greg, vous répondre oui.
01:21:24Ce soir, on pourra tirer des enseignements.
01:21:26Il y a une hiérarchie
01:21:28qui peut être débattue.
01:21:30Mais je n'y crois pas un seul instant.
01:21:32Parce que dit Deschamps,
01:21:34comme ça, autant parfois, on peut dire
01:21:36que peut-être qu'il nous endort.
01:21:38Qu'il répond un peu à côté.
01:21:40Mais là, quand il explique que c'est un plan
01:21:42sur 6 matchs,
01:21:44que le but, c'est que ces 6 matchs-là
01:21:46de Ligue des Nations, avant que la campagne de calife
01:21:48pour la Coupe du Monde 2026,
01:21:50il y a une forme de préparation, de gestion des minutes,
01:21:52de fraîcheur psychologique et physique
01:21:54à avoir dans une année qui est exclusivement dédiée
01:21:56au club. Parce que cette année,
01:21:58c'est pour les clubs, avec la réforme de la Ligue des Champions,
01:22:00la Coupe du Monde des clubs cet été.
01:22:02Donc, il y a une gestion particulière à avoir.
01:22:04Moi, même si Randal Colomoigny,
01:22:06ce soir, il est très bon,
01:22:08il ne prendra pas la place de Barcola,
01:22:10de Kylian Mbappé.
01:22:12Les quartiers sont totalement rebattus
01:22:14pour la campagne de calife de Coupe du Monde.
01:22:16En fait, il est dans une gestion de minutes.
01:22:18Il veut voir tout le monde et il essaye de répartir.
01:22:20Je sais que c'est difficilement audible
01:22:22et qu'il y en a qui ne comprennent pas.
01:22:24Mais il est vraiment dans cette logique-là.
01:22:26Pas du tout dans des logiques de conclusion,
01:22:28pas conclusion, etc. Il est dans autre chose.
01:22:30Merci de vous rester avec nous.
01:22:32On en reparlera après parce qu'il y a aussi cette compète
01:22:34qui semble avoir presque été mise de côté.
01:22:36Il y a des adversaires en face.
01:22:38Emilie disait que c'est l'occasion pour les Belges
01:22:40de faire un coup ce soir.
01:22:42C'est la composition attendue, donnée par Domenico Telesco.
01:22:44Koen Kastel, on le sait, dans les cages,
01:22:46en l'absence de cours droits qui boudent,
01:22:48sont sélectionneurs.
01:22:50Faez, de base, Théatre et Castaigne,
01:22:52dans cette défense. On retrouve Uriel Thiemans
01:22:54et Onana au milieu de terrain.
01:22:56Doku, évidemment, sera là à porter sa vitesse sur un côté.
01:22:58Kevin De Bruyne, 107ème sélection
01:23:00avec les Diables Rouges.
01:23:02Et puis Openda, devant, puisque Lukaku n'a pas été retenu,
01:23:04laissé au repos pour se rassembler.
01:23:06J'ai déjà vu des France-Belgique avec plus de stars.
01:23:08On en parle juste après.
01:23:10Là, il y a la musique, ça veut dire qu'on marque
01:23:12une toute petite pause. On continue de parler
01:23:14de cette équipe de France, de cette revue
01:23:16d'effectifs, d'idées des champions, puis le foutoir
01:23:18de Candice qui va vous dire que vous allez payer pendant au moins deux mois
01:23:20le foot moins cher. A tout de suite.
01:23:22...
01:23:2620h14, on est là jusqu'à 20h30.
01:23:28Ce soir, c'est Israël-Italie.
01:23:30À suivre sur la chaîne L'Équipe,
01:23:32voici le foutoir de Candice Roland.
01:23:34...
01:23:42Et avis pour les amateurs de foot.
01:23:44Promo TV arrive.
01:23:46Je me suis entraînée toute la journée, je ne vais pas réussir à faire
01:23:48à la Pierre Belmar. Alors je vais vous dire, promotion
01:23:50Amazon, tout simplement, l'abonnement de 12 mois
01:23:52est abaissé au prix exceptionnel.
01:23:54De 19,99€, soit une remise
01:23:56de 10€ sur le prix initial.
01:23:58Remise également de 50%
01:24:00sur les deux premiers mois sur l'offre, sans
01:24:02engagement, à 39,99€. Mais attention,
01:24:04ces promotions ne sont valables que du 10
01:24:06au 22 septembre, ce qui pourrait,
01:24:08devrait, en tout cas, faire décoller
01:24:10le nombre d'abonnés qui est estimé entre 100 et
01:24:12150 000 par West France.
01:24:14Ce qu'il faut préciser, c'est que c'est peu.
01:24:16Entre 100 et 150 000. Et là, ils ont besoin d'un coup de boost.
01:24:18Émilie, je vous ai vu râler sur les réseaux.
01:24:20Parce que je suis abonnée, moi. Je suis abonnée
01:24:22à 29,99€. Du coup, ça veut dire que
01:24:24je me suis engagée pendant 8 ans, là.
01:24:28Alors, il va y avoir des... Non, il y aura des
01:24:30négociations au cas par cas. Voilà, c'est comme
01:24:32pour le choix du premier. On va négocier au cas par cas.
01:24:34J'espère être un cas.
01:24:36Mais franchement, je crois que je suis
01:24:38la première abonnée, parce que je l'ai fait direct comme un pigeon.
01:24:40Donc franchement, j'espère que je serai un cas.
01:24:42Si, si, ils vont faire cas particulier par cas particulier.
01:24:44Non, mais là, tous ceux comme
01:24:46Émilie...
01:24:48Je ne me permettrai pas, mais qui avaient
01:24:50très envie de voir la Ligue 1 de la première journée,
01:24:52vont être lésés totalement.
01:24:54Je suis d'accord avec vous, mais ça va être comme ça.
01:24:56En tout cas, l'offre, c'est
01:24:5819,99€ pendant
01:25:002 mois avant de passer à
01:25:0239,99€ si vous ne vous engagez pas.
01:25:04Et sinon, sur 12 mois, c'est
01:25:0619,99€. Mais je précise que
01:25:0812 mois, en juin,
01:25:10juillet, il n'y a pas de foot. Et ça
01:25:12commence que mi-août. Mais vous faites une vraie
01:25:14erreur, ils se tournent par rapport au prix actuel.
01:25:16Et la com' pendant la trame internationale, pas très malin.
01:25:18Parce que les gens sont un peu loin de la Ligue 1.
01:25:20Donc il va falloir refaire de la com'
01:25:22en fin de semaine.
01:25:24Oui, mais il y a les élections demain. En tout cas, ils font un effort.
01:25:26Notons quand même ce qu'ils ont entendu.
01:25:28Oui, voilà, c'est ce qu'il faut.
01:25:30On parlait d'élections, Alicia.
01:25:32Il y a eu des réactions, notamment de Cyril Linette.
01:25:34Exactement, la réaction de Cyril Linette, tôt ce matin
01:25:36sur son compte X, anciennement
01:25:38Twitter. Il suffit
01:25:40parfois d'un mot mince.
01:25:42C'est un A satisfait.
01:25:44On voulait tellement voir la réaction.
01:25:46Elle est là, elle est là.
01:25:48J'ai Cyril Linette en réaction.
01:25:50Il n'y a plus de connexion.
01:25:52Comme demain à la Ligue, sur le vote Cyril Linette, il n'y aura plus de connexion.
01:25:54C'est un A satisfait.
01:25:56Je vous rappelle que
01:25:58c'était ce qu'il avait...
01:26:00Ce n'est pas tout à fait le A de Denis Brogniart.
01:26:02C'est un A satisfait.
01:26:04C'est le A.
01:26:06Yoann Riu et
01:26:08Yoann Dobby.
01:26:10C'est lui qui avait soumis, évidemment, cette idée-là
01:26:12d'abaisser les tarifs et les abonnements.
01:26:14On est très long sur ce A. On est très très long.
01:26:16C'est complètement ma faute.
01:26:18C'est une bonne nouvelle. On paiera moins cher.
01:26:20Pour ceux qui le veulent.
01:26:22Là, on parle de Wissam Ben Yedder.
01:26:24On apprend des nouvelles concernant dans un dossier judiciaire.
01:26:26Oui, qui a été placé en garde à vue
01:26:28ce week-end. On apprend désormais
01:26:30qu'il sera jugé le 15 octobre prochain
01:26:32pour agression sexuelle en état d'ivresse.
01:26:34On notera aussi que le parquet,
01:26:36lui, a fait appel du non-placement
01:26:38en détention provisoire
01:26:40du jeu de l'ancien joueur monaco.
01:26:42Et puis, un mot des espoirs
01:26:44également à vivre demain sur la chaîne L'Equipe.
01:26:46Raphaël Séboune, Sébastien Tarrago,
01:26:48Timothée Mément en commentaire.
01:26:50Les Bleus qui nous doivent une revanche.
01:26:52Deuxième match de qualification
01:26:54à l'Euro 2025. Ce sera donc
01:26:56ce mardi face à la Bosnie.
01:26:58À suivre sur notre antenne à partir de 18h30.
01:27:00Et oui, il y a eu ce match nul face aux Slovènes
01:27:02aujourd'hui et demain.
01:27:04Réaction souhaitée pour les garçons de Gérald Batik.
01:27:06Timothée Mément.
01:27:08Bonjour Candice, bonjour à tous.
01:27:10Effectivement, cette équipe de France Espoir a grillé
01:27:12un joker face à la Slovénie.
01:27:14C'était face à Angers vendredi dernier.
01:27:16Conséquence, cette équipe reste
01:27:18maître de son destin. Mais pour se qualifier directement
01:27:20à l'Euro 2025,
01:27:22il faudra remporter les trois dernières rencontres
01:27:24en octobre face à Chypre
01:27:26et à domicile contre l'Autriche.
01:27:28Ce sera à Nancy.
01:27:30Mais cela commence par le match de demain.
01:27:32Ici même, au Mans, contre la Bosnie-Herzégovine.
01:27:34Résultat, le capitaine
01:27:36de cette équipe Espoir, Enzo Mio,
01:27:38s'estime en mission, même son de cloche,
01:27:40pour Gérald Batik.
01:27:42C'est ça, on est en mission, j'aime bien ce mot.
01:27:44Là, on a tout d'abord
01:27:46demain un gros match à faire
01:27:48pour ramener les trois points.
01:27:50C'est vraiment l'objectif.
01:27:52Il nous restera encore deux matchs
01:27:54en octobre.
01:27:56Si on fait trois victoires,
01:27:58on se qualifiera.
01:28:00Après ce contre-résultat,
01:28:02on doit aller chercher les trois points,
01:28:04aller chercher la victoire, être plus solide
01:28:06défensivement et beaucoup plus efficace offensivement.
01:28:10Pour la rencontre de demain, l'équipe de France
01:28:12va tenter de s'appuyer sur la deuxième période
01:28:14effectuée contre la Slovénie,
01:28:16où le fond de jeu avait été nettement meilleur.
01:28:18Sur le front de l'attaque, on pourrait voir, pourquoi pas,
01:28:20Hugo Ekitike, avoir quelques minutes
01:28:22et pourquoi pas débuter dans cette rencontre.
01:28:24Il avait été appelé de dernière minute,
01:28:26mais son début de saison et ses bons entraînements
01:28:28avec les Espoirs laissent,
01:28:30pourquoi pas entrevoir une titularisation demain.
01:28:32Merci Timothée.
01:28:34Ce sera demain en lieu et place de l'EDG.
01:28:36Les Bleus jouent ce soir
01:28:38et c'est un match important
01:28:40contre la Belgique.
01:28:42On revoit la compo Candice, parce que celle-là,
01:28:44celui qui l'avait pronostiquée il y a dix jours,
01:28:46c'est un champion.
01:28:48Avec pas mal de changements, surtout au milieu de terrain,
01:28:50c'est bien N'Golo Kanté qui sera capitaine pour cette rencontre
01:28:52aux côtés de Manukone et Matteo Gendouzi.
01:28:54La défense attendue,
01:28:56Digne, La Charnière, Saliba,
01:28:58Upamecano et Jules Koundé à droite.
01:29:00Evidemment, devant Mike Maignan.
01:29:02Ce trio devant, alors dans quel sens ?
01:29:04Est-ce que Colomoni sera bien dans le couloir gauche
01:29:06ou dans l'axe, comme pour l'instant a annoncé
01:29:08Marcus Thuram, et puis Ousmane Dembele
01:29:10retrouve son couloir droit.
01:29:12En deux minutes sur cette compo,
01:29:14car derrière on a le petit filet, puis on aura Italie-Israël ce soir sur la chaîne d'équipe.
01:29:16Karim Benhani, en vraiment tous 20 secondes,
01:29:18elle vous plaît ou elle vous déplaît cette compo ?
01:29:20Elle me laisse complètement indifférent.
01:29:22C'est pire que déplaire.
01:29:24Comme avant le match contre l'Italie,
01:29:26est-ce que vous avez vraiment envie de voir ce match-là ?
01:29:28J'avais plus envie de voir le match pour voir
01:29:30si l'Italie allait réagir après
01:29:32les déboires des dernières années
01:29:34que parce que l'équipe de France jouait.
01:29:36Donc là, c'est encore pire. Cette équipe de France-là ne me fait pas rêver
01:29:38aujourd'hui, malheureusement. Mais peut-être que j'aurai
01:29:40une autre lecture à l'issue du résultat
01:29:42et peut-être du jeu pratiqué ce soir contre
01:29:44le Belgique. Benoît, il faut laisser sa chance
01:29:46à ses joueurs. Certains démarrent,
01:29:48d'autres ont besoin de confirmer, d'autres reviennent,
01:29:50même comme dit Nguyen Duzi.
01:29:52Oui, il faut laisser la chance à certains joueurs
01:29:54mais pas tous en même temps. C'est ça qui me déplaît un petit peu.
01:29:56Et je reviens un peu
01:29:58encore sur le cas au lycée, même si j'insiste
01:30:00beaucoup. Mais vous avez raison.
01:30:02Mais c'est pas grave,
01:30:04je le redis encore.
01:30:06Parce que c'est un joueur qui est pétri de talent,
01:30:08qui a 20 ans, qui peut enchaîner les matchs.
01:30:10C'est lui que vous vouliez voir ce soir ? Bien sûr, surtout qu'il a été...
01:30:12Je pense qu'il a été intéressant face à l'Italie
01:30:14et je pense que ça aurait été bien de lui redonner
01:30:16sa chance pour qu'il s'imprègne un petit peu
01:30:18du groupe France. Des bleus sur Bappé et Griezmann
01:30:20quand même ? Parce que Michael au lycée, oui,
01:30:22c'est Bappé, pas Griezmann, Emilie.
01:30:24Griezmann, on savait parce qu'on se disait...
01:30:26En tout cas, on nous avait dit qu'au premier match, il ne devait pas jouer.
01:30:28Donc finalement, il a joué. On savait que Bappé devait être au repos.
01:30:30Moi, ce qui m'inquiète le plus, c'est que cette compo,
01:30:32elle ne me rassure pas. Et je me dis surtout qu'on met tous ces joueurs-là,
01:30:34on ne les met pas dans des chaussons.
01:30:36Ils ne sont pas du tout dans une situation confortable.
01:30:38Ils doivent se relever après l'Italie
01:30:40où on s'est mangé 3-1.
01:30:42Pour moi, ce n'est pas confortable, ni pour les joueurs, ni pour nous,
01:30:44les supporters. Ludo avant Antoine, en 30 secondes,
01:30:46ce match-là,
01:30:48vous voyez les Bleus réagir ou vous avez un énorme doute ?
01:30:50Je souhaite
01:30:52que ces garçons-là arrivent à s'exprimer
01:30:54malgré le fait que ça va être très difficile pour eux.
01:30:56Ça manque de créateurs pour vous ?
01:30:58Ça manque de créateurs et ça manque de connivence.
01:31:00Ces garçons-là n'ont jamais quasiment joué
01:31:02ensemble, ne serait-ce qu'un match.
01:31:04Cette compo n'a jamais été mise.
01:31:06Même les doublons, ils n'existent pas.
01:31:08Ils sont neufs, ils sont nouveaux. C'est très difficile d'exister.
01:31:10Je trouve que c'est un énième
01:31:12pied de nez du sélectionneur.
01:31:14Il est dans sa logique ?
01:31:16Non, mais tu peux être dans une logique
01:31:18d'avoir des temps de jeu équilibrés
01:31:20en mettant deux équipes où tu donnes la chance
01:31:22à des joueurs que tu veux voir émerger
01:31:24de pouvoir s'accomplir dans une haussature
01:31:26qui tient un peu la route.
01:31:28Là, il y a eu le tout contre l'Italie,
01:31:30on est passé à côté et là, on n'est quasiment rien.
01:31:32Je leur souhaite néanmoins
01:31:34de réussir à s'extirper
01:31:36de ce mauvais pas.
01:31:38Allez, Antoine Pinault, il n'est pas dans le bourbier.
01:31:40Il est dans le petit filet.
01:31:44Allez, Antoine, c'est ça mon lapin.
01:31:46Ils sont enthousiastes pour ce match.
01:31:48On a des doutes et on les exprime.
01:31:50On souhaite se tromper.
01:31:52Après l'épreuve, on va rendre hommage
01:31:54aux sports amateurs.
01:31:56C'est la district zone.
01:31:58C'est ce qu'il y a à dire.
01:32:00Et l'image du week-end.
01:32:02Sixième division italienne.
01:32:04Pontassievi et Subiano
01:32:06passent en profondeur.
01:32:08Et là, c'est le drame.
01:32:10On se dit, il ne va pas y arriver.
01:32:12Et là, c'est le drame.
01:32:14On se dit, il va aller au but.
01:32:16Et qui intervient ? Le coach.
01:32:18Il lève les mains.
01:32:20Carton rouge.
01:32:22C'est terminé pour lui.
01:32:24Dans le même registre, j'ai eu
01:32:26les fils qui se touchent en Angleterre.
01:32:28Ce week-end, il y a un joueur blessé.
01:32:30Le gardien s'amuse, il ne veut pas rendre le ballon.
01:32:32Qu'est-ce qu'il fait le 4 ?
01:32:34Il se dit, je vais faire pareil.
01:32:36Et là, l'attaquant, ça l'énerve.
01:32:38Petite cartouche.
01:32:40Une grosse cartouche.
01:32:42La violence ne résout rien.
01:32:44On remange au club de Saint-Philbert
01:32:46en Normandie, dans le Calvados.
01:32:48C'est la meilleure préparation du monde.
01:32:50Lundi, séance course.
01:32:54Mardi, un peu de natation
01:32:56pour renforcer le haut du corps.
01:33:00Mercredi, récupération active.
01:33:02On repose bien les jambes.
01:33:06L'alcool, ce n'est pas cool.
01:33:08En Inde, on est tombé sur le pénalty
01:33:10le plus bizarre du monde.
01:33:20On trouve le club de Saint-Philbert le vendredi.
01:33:24Bien sûr, l'abus d'alcool est dangereux pour la santé.
01:33:28L'alcool, ce n'est pas cool.
01:33:30Il y a eu également des beaux loupés ce week-end.
01:33:32Ça s'est passé en France.
01:33:34Là, il va au but.
01:33:36Normalement, c'est assez simple.
01:33:40Comment c'est possible, on ne sait pas.
01:33:42Mais il y a eu quand même des beaux buts,
01:33:44en Angleterre notamment.
01:33:46Petit coup franc, Ludo, tu vas apprécier.
01:33:48Qu'est-ce que tu en penses ?
01:33:50C'est propre.
01:33:54On termine avec Saint-Philbert.
01:33:56Week-end plus compliqué.
01:33:58Balade en France.
01:34:00Dimanche, le grand jour.
01:34:02Azard de dingue.
01:34:08Je rappelle, l'alcool avec modération.
01:34:10Ou pas du tout.
01:34:12Ce n'est pas cool.
01:34:14Ce n'est pas vous qui répondez.
01:34:20On a un nouveau Premier ministre,
01:34:22Michel Barnier, depuis la semaine dernière.
01:34:24C'est le moment de trouver un nouveau ministre des Sports.
01:34:26Il y a des réunions pour le trouver.
01:34:28J'y étais.
01:34:30Je connais du beau monde.
01:34:32Regardez ce que ça donne.
01:34:34Allez, suivant.
01:34:40Pour l'équipe de France de foot,
01:34:42on garde tout le monde.
01:34:52Je vous vois.
01:34:54Ah, salut.
01:34:56J'avais l'impression que vous m'évitiez.
01:34:58Le message est clair.
01:35:00D'accord ?
01:35:02On ramène la rigueur.
01:35:04Rigueur.
01:35:06Tout le monde professionnel.
01:35:08Il y a un truc là.
01:35:12Pas de problème.
01:35:14Égalisation du cannabis.
01:35:16Je me disais qu'éventuellement,
01:35:18à mon ministère,
01:35:20je t'appelais.
01:35:22Tu n'as pas répondu.
01:35:24Ce n'est pas moi, c'est toi.
01:35:26C'est pas moi.
01:35:28Tu me rassures.
01:35:30Griezmann.
01:35:32J'ai vérifié.
01:35:34Venant du tennis français,
01:35:36on a toujours eu ce message.
01:35:38On vise l'excellence.
01:35:44Je suis con.
01:35:46Mais si je vous suis,
01:35:48on vire Teddy Riner.
01:35:50Non.
01:35:52Parce que là,
01:35:54c'est un bon chasseur.
01:35:56Voilà.
01:35:58Destitution du capitalisme.
01:36:00Libération des polos.
01:36:02J'en fais trop peut-être.
01:36:04Et serveur.
01:36:06Je lave les chiottes.
01:36:08Gratos.
01:36:10Je te laisse les pieds.
01:36:12Au Modem, on propose...
01:36:14De toute façon, ce sera estangué.
01:36:16Il a compris tout seul.
01:36:18C'est assez fort.
01:36:20Bravo.
01:36:22La boumoute va très bien.
01:36:24Je me fais plaisir.
01:36:26J'ai pas de cheveux.
01:36:28Un très joli beaucoup.
01:36:30Vous le savez,
01:36:32Joe Castaldi est désormais
01:36:34le correspondant des bleus.
01:36:36Je récupère les off.
01:36:38C'est Inside la chaîne d'équipe.
01:36:40Jingle.
01:36:44Joe, qui est déjà dans l'équipe
01:36:46du soir et hier, s'est transformé
01:36:48en policier.
01:36:50Il n'a pas eu de minute.
01:36:52Et ça a grondé.
01:36:54Bonne soirée.
01:36:56Non, c'est interdit.
01:36:58Non, c'est illégal.
01:37:00C'est pas mal comme concept.
01:37:02Non, c'est illégal.
01:37:04Non, c'est illégal.
01:37:06Non, c'est illégal.
01:37:08Non, c'est illégal.
01:37:10Non, c'est pas gentil.
01:37:12Joe, qui est un sportif.
01:37:14Il court beaucoup, mais il n'aime pas en parler.
01:37:16S'il voit quelqu'un courir,
01:37:18c'est pour lancer le sujet.
01:37:20Jerem, c'est ce que tu ne fais pas.
01:37:22Regarde, il y a quelqu'un qui court.
01:37:26Joe, en forme, et visiblement,
01:37:28ça aide dans le privé.
01:37:30Je ne vais pas te mentir.
01:37:32Dans certains domaines que les femmes apprécient,
01:37:34ça peut rendre des services.
01:37:36Pour être en forme.
01:37:38Alors, mon Joe, il court beaucoup,
01:37:40mais il ne se la ramène pas.
01:37:42Tu vas courir, toi, en général ?
01:37:44Comment ?
01:37:46Ah, t'es con !
01:37:50Joe a dit que tu as sa montre pour ses scores.
01:37:52Les anecdotes.
01:37:54Ce qui me rend fou, c'est ça.
01:37:56Parfois, je passe vraiment 20 minutes
01:37:58à regarder les trucs et je me dis,
01:38:00là, ça y est.
01:38:04Ou comme tout à l'heure,
01:38:06quand je suis au supermarché
01:38:08et que j'achète des fruits.
01:38:10Là, j'ai...
01:38:12C'est dingue !
01:38:14Joe qui a essayé de motiver Jérémy.
01:38:18J'ai au moins espoir
01:38:20qu'à Salzbourg, à Stuttgart,
01:38:22où il n'y a rien à faire,
01:38:24tu viennes courir une fois.
01:38:26J'ai une bonne base, mais je ne cours pas.
01:38:28Moi, je m'adapte.
01:38:30Au pire, tu vois, à 10, tu lâches
01:38:32et moi, je fais 3 de plus.
01:38:36Et puis alors, le meilleur,
01:38:38c'est Noirmoutier.
01:38:40J'ai le mari d'une pote que j'ai croisé à Noirmoutier.
01:38:42Il m'a dit, on court ensemble et tout.
01:38:44Il me dit, j'ai un bon niveau, etc.
01:38:46On court. Et à la fin, il me dit,
01:38:48alors, ça va, j'avais quasiment pas de transport.
01:38:50Je dis, je m'en fous, mais juste,
01:38:52tu m'as niqué mon Strava.
01:38:54Je suis vraiment devenu un connard.
01:38:58Bah alors, Joe.
01:39:00Non, non.
01:39:02Il aime courir.
01:39:04Tu m'as ruiné mon Strava.
01:39:06On termine avec la nouvelle pub
01:39:08de prévention de la chaîne L'Equipe
01:39:10après France-Italie.
01:39:12Wow.
01:39:14Antoine, t'as été énorme.
01:39:16T'as fait une barcola.
01:39:1813 secondes de bonheur.
01:39:20Mais après, c'était nul.
01:39:22Les préservatifs
01:39:24et Didier Deschamps.
01:39:2613 secondes de bonheur.
01:39:28Nul, nul, nul.
01:39:30Merci Antoine, reste là dans un instant.
01:39:32Il serait l'Italie sur la chaîne L'Equipe.
01:39:34On revient mercredi demain.
01:39:36C'est l'équipe de France Espoir.
01:39:38On débriefera l'équipe de France tout court
01:39:40dans la folie de ce match-là
01:39:42avec l'équipe du soir.
01:39:44Ciao, bonne soirée de foot sur la chaîne L'Equipe.

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