La symbolique du tatouge  -  À Votre Écoute - Vidéo Dailymotion

Sud Radio

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Transcript

00:00 Ravie de finir cette semaine avec vous et de vous retrouver dans votre émission à votre écoute.

00:06 Aujourd'hui on va parler de la symbolique des tatouages sur notre corps.

00:13 Alors est-ce que vous avez vous-même un tatouage ?

00:19 A-t-il pour vous une signification particulière ?

00:23 Ou s'agit-il pour vous d'une protection ?

00:26 Eh bien c'est notre sujet du jour et bien sûr je réponds à toutes vos préoccupations comme tous les jours à l'antenne.

00:35 Et pour participer à l'émission un seul numéro le 0826 300 300

00:41 Mais vous pouvez aussi nous contacter depuis notre adresse email à votre écoute @sudradio.fr

00:48 Sud Radio à votre écoute Alexandre Delovane

00:53 Et au delà des phénomènes de société comme aujourd'hui, le tatouage soulève un questionnement existentiel pour toute personne qui fait le choix d'en avoir ou d'en avoir même plusieurs.

01:05 Un temps de réflexion est nécessaire avant de se faire tatouer afin d'être pleinement en accord avec soi-même et ne pas le regretter par la suite.

01:15 Le tatouage peut être simple et discret comme un riri ou une protection que l'on garde toujours sur soi ou encore être un véritable point de repère au travers des aléas de la vie.

01:29 Que ce soit pour des raisons rituelles ou pour une question de coquetterie, avec le tatouage le corps s'exprime dans une dimension plutôt artistique.

01:40 Le tatouage s'est répandu avec ses symboles dans un premier temps tribaux et aujourd'hui chacun apporte sa touche de créativité dans une tendance en plein essor.

01:51 Pour beaucoup le tatouage aide à vivre et permet de se sentir mieux dans sa peau.

01:57 Et justement on va parler de la symbolique du tatouage puisque j'ai en ligne avec nous notre première auditrice, Aude. Bonjour Aude.

02:07 Bonjour Alexandre.

02:08 Bienvenue sur Sud Radio Aude.

02:10 Merci.

02:12 Aude je rappelle que vous avez 25 ans, vous travaillez dans les médias, vous êtes de Paris et vous possédez sur vous plusieurs tatouages.

02:23 Déjà, combien de tatouages vous avez Aude ?

02:26 J'en ai trois. J'en ai deux qui se trouvent sur le bras gauche et un tatouage qui se trouve au niveau de la poitrine juste entre les deux fins.

02:37 D'accord. Et vous les avez depuis longtemps ?

02:41 Oui, ça fait pratiquement cinq ans je dirais. Je les ai faits à des écarts de tattoos qui sont quand même assez rapprochés.

02:51 Alors pourquoi le tatouage et quel genre de symboles vous avez choisi comme tatouage ?

02:59 Alors les deux premiers tatouages que j'ai faits sont les tatouages qui avaient une symbolique pour moi.

03:05 Le premier tatouage c'est une main, pour expliquer un peu ce que c'est.

03:12 C'est une main avec le majeur et l'annulaire qui sont fermés sur la paume de la main.

03:19 Et vous avez l'index et l'horiculaire qui sont pointés.

03:23 C'est une main qui est pointée vers le bas.

03:27 C'est symbolique en fait. Moi j'ai des origines italiennes et surtout en Suisse on est très sensible à cette symbolique là.

03:38 C'est en rapport surtout avec les mauvaises ondes, les énergies négatives, les mauvais ressentis.

03:43 Et en fait je cherchais depuis toujours un pendentif qui représente ce signe là.

03:49 Et quand je suis partie en voyage en Italie je l'ai cherché partout là-bas et je n'ai pas réussi à le trouver.

03:53 Donc en revenant en France je me suis dit, quoi de mieux que de me tatouer sur le corps pour l'avoir tout le temps avec moi.

03:59 Et c'est comme une protection pour moi, c'est vraiment une protection contre les mauvaises ondes, les mauvaises intentions qu'on peut ressentir vis-à-vis de certaines personnes.

04:10 C'est vraiment une symbolique pour moi c'est déjà.

04:12 D'accord. Alors c'est vrai que prendre la décision de se faire tatouer ce n'est pas évident.

04:17 Est-ce que vous-même vous avez eu pour habitude d'avoir sur vous des guéris ou des protections ?

04:25 Oui, alors quand j'étais petite je portais des médailles qui sont liées à la religion.

04:33 C'était des médailles de protection.

04:35 Et c'est vrai qu'avec l'âge j'en porte moins.

04:38 J'en ai toujours une dans mon sac mais sur mon corps je n'en porte plus non.

04:43 C'est vrai que je dirais même que ce tatouage là il a fait office de médaille si on peut dire.

04:49 D'accord. Et vous êtes sûre de ne pas regretter dans le temps d'avoir fait ce tatouage ?

04:54 Non parce que ce tatouage là quand je l'ai fait j'ai beaucoup réfléchi avant de le faire.

04:59 Et c'est vrai que j'ai beaucoup hésité, je me suis dit est-ce que je suis sûre ?

05:03 Même au niveau de l'emplacement là où je l'ai fait faire, je me suis dit est-ce que c'est une bonne idée, est-ce que je suis sûre de ne pas regretter ?

05:08 Et là ça fait à peu près 5 ans que je l'ai et je suis contente de l'avoir fait, je ne regrette pas du tout.

05:15 D'accord. Et vous avez donc un deuxième tatouage ?

05:17 Oui, un deuxième tatouage au niveau du bras gauche.

05:20 Il y a une symbolique aussi derrière, c'était par rapport à la vie, les aléas de la vie, les hauts les bas.

05:29 Et ça c'est une petite citation en fait sur le bras gauche.

05:33 Et là ce qui est un peu différent par rapport au premier tatouage c'est que lui je l'ai fait sur un coup de tête.

05:39 D'accord. Alors c'est vrai que souvent on prend la décision de faire un tatouage en fonction de nos événements de vie

05:49 ou pour se remémorer d'une histoire, d'un événement que nous avons vécu.

05:54 Et on a l'impression que ça reste une empreinte en nous.

05:59 Et peut-être que justement au travers de ce tatouage là c'est ce que vous avez comme ressenti et comme sentiment ?

06:05 Oui c'est ça. En fait maintenant à chaque fois que je le vois sur mon bras, ça me rappelle ce qu'il y a eu, les hauts, les bas.

06:13 C'est ce qui fait de moi la personne que je suis aujourd'hui. J'en suis très fière.

06:17 D'accord. Et est-ce que vous pensez que énergétiquement vous n'avez pas un peu meurtri votre corps,

06:23 que vous l'avez agressé lors de ce tatouage, lors du moment où vous l'avez fait.

06:30 Mais est-ce que vous n'avez pas changé ou modifié quelque chose chez vous énergétiquement ?

06:36 Je ne sais pas trop. Je pense que peut-être le fait d'avoir fait ça, déjà je me suis dit que j'ai passé le pas.

06:45 Beaucoup de personnes ont sûrement envie de faire un tatouage mais ils n'osent pas.

06:49 Peut-être en disant que l'aiguille ça fait mal sur la peau. Mais moi je me dis que j'ai passé ce cap là.

06:54 Je me suis fait un tatouage et je dirais que ça m'a rendu peut-être plus forte d'un certain côté.

06:59 D'accord. Est-ce que par hasard, vous avez pour intention, vous avez un tatouage avec une lettre C ou avec cette forme là ?

07:10 Peut-être le tatouage que j'ai, il a une forme assez circulaire.

07:17 C'est circulaire ?

07:19 Oui, un peu circulaire.

07:21 Est-ce que vous souhaitez soit le modifier, ou l'arranger, ou l'agrandir ?

07:26 Oui, je l'ai fait il y a trois ans. J'aurais dû faire des petits retours dessus deux mois après l'avoir fait.

07:36 Il y a eu des aléas de la vie qui ont fait que je n'ai pas pu le faire immédiatement.

07:39 Là, je dois justement faire des retours sur ce tatouage.

07:42 Il est situé où sur votre partie du corps ?

07:45 Il est sur le bras gauche.

07:49 Mon regard visionnaire n'a pas été trop loin et trop intimiste.

07:55 Pour moi, je pense que vous allez continuer et vous n'allez pas vous arrêter à seulement trois tatouages.

08:02 Vous allez améliorer sûrement celui-là, mais vous allez en faire d'autres dans l'avenir.

08:06 C'est important pour vous que chaque tatouage ait une symbolique, une signification, et qu'elle vous apporte un sentiment de mieux vivre ?

08:16 Oui, c'est vrai que les deux premiers tatouages étaient très symboliques pour moi.

08:21 Le troisième avait plutôt un aspect esthétique, c'est quelque chose que j'ai vu passer et que j'ai trouvé très joli.

08:26 Je pense me faire un prochain tatouage, je ne sais pas quand exactement, mais j'aimerais en faire un autre.

08:33 C'est vrai que celui-là serait plus symbolique.

08:38 Vous avez une idée du prochain ?

08:41 Pas du tout.

08:44 Peut-être des petites phrases, mais là c'est quelque chose de très symbolique aussi, qui est lié à la famille.

08:51 Merci vraiment Aude de votre témoignage.

08:55 N'hésitez pas, si vous avez envie de nous envoyer des photos de vos tatouages, faites-le.

09:01 Aude, au standard, saura accueillir ces photos-là.

09:05 Je vous souhaite une bonne continuation.

09:08 Merci à vous et prenez soin de vous Aude.

09:11 Merci Alexandre et merci pour votre écoute.

09:13 Merci.

09:15 Et nous, on se retrouve dans quelques minutes avec Pierre.

09:20 Pierre et sa compagne souhaitent déménager en Côte d'Ivoire.

09:24 Vont-ils aboutir à ce projet ? Comment se passera la vie là-bas ?

09:28 On en parle juste après. Le temps du pause sera avec nous.

09:32 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

09:38 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de votre émission.

09:43 C'est le moment de témoigner, de poser toutes vos questions.

09:47 0826 300 300, profitez-en, nous sommes en direct.

09:52 Et à présent aussi, c'est le moment du "Saviez-vous ?"

09:56 Le "Saviez-vous ?" après la tendance des tatouages brillants ou d'inspiration asiatique

10:01 que nous avons pu voir en 2023.

10:04 Et bien en 2024, le tatouage est majoritairement discret et minimaliste

10:09 avec des traits plutôt fins et colorés.

10:12 Et on retrouve beaucoup d'inspiration autour des animaux mignons.

10:17 Et vous, est-ce que vous avez un tatouage ?

10:20 Est-ce qu'il a une symbolique particulière ?

10:23 Est-ce que pour vous, ce tatouage signifie une protection ?

10:26 N'hésitez pas à venir témoigner à l'antenne ou tout simplement à poster votre expérience sur le groupe

10:33 à votre écoute sur Facebook.

10:35 Et à présent, j'accueille Pierre. Bonjour Pierre.

10:39 Bonjour Alexandre, ravi de vous avoir.

10:41 Merci, et bienvenue sur Sud Radio Pierre.

10:44 Alors Pierre, vous avez 46 ans ?

10:49 C'est ça, exactement. Je suis 47 début septembre.

10:52 Et vous vous appelez du Nord, à Douai exactement.

10:55 Exactement.

10:56 Ça va ? Vous avez eu trop de pluie là ?

10:58 Ben non, on a quelques averses. On a eu un bel orage hier, mais on s'y fait.

11:04 Alors Pierre, vous, vous avez des tatouages. Et qu'est-ce que le tatouage pour vous symbolise ?

11:12 Alors en fait, je vais faire le tatouage. Il n'est pas encore fait.

11:16 Vous ne l'avez pas encore fait. Il est temps de le faire.

11:19 Voilà, là je n'ai pas encore eu l'occasion de le faire.

11:22 J'ai déjà le schéma, je sais déjà ce que je veux faire.

11:25 C'est juste que je n'ai pas encore pris le temps de le faire, mais ça va être fait dans les mois qui arrivent.

11:30 D'accord. C'est quoi comme tatouage ?

11:33 Alors c'est un phénix.

11:35 C'est un phénix.

11:36 Donc assez minimaliste, et qui regarde les étoiles du Nord.

11:39 D'accord. Alors pourquoi l'envie de vous faire tatouer, même si c'est après un choix personnel j'imagine ?

11:45 Et pourquoi ce choix et cette symbolique-là aussi ?

11:51 Alors la décision, je vais dire, c'est ma femme qui m'a un petit peu influencé, parce qu'elle en a plusieurs.

11:58 Et donc au départ j'étais assez contre, parce que je ne voulais rien avoir sur moi.

12:02 Et puis en fait, je trouve ça plutôt beau. Plus j'avance, plus j'évolue en fait.

12:06 Et je trouve ça plutôt mignon.

12:08 Et alors la symbolique, c'est plus lié à toute ma vie.

12:12 J'irais avec les hauts, les bas, les différentes épreuves, les moments difficiles et tout ça.

12:15 Alors le phénix, parce qu'il renaît toujours de cette fendre, et quelles que soient les épreuves, en fait, on se relève.

12:21 Et donc voilà, je voulais qu'il regarde les étoiles du Nord,

12:24 parce que les étoiles du Nord, c'est ce qu'il y a toujours permis aux grands navigateurs, aux grands...

12:29 tous les gens de voyager.

12:31 Et ça reste un point fixe vers lequel on peut se diriger.

12:34 C'est notre objectif.

12:36 Alors peut-être la réticence que vous avez eue au départ, peut-être parce que...

12:41 et pardonnez-moi, comme vous êtes des générations des années...

12:44 des fins 70, débuts 80,

12:47 c'est des générations où le tatouage était marqué plutôt pour des mauvais garçons,

12:51 pour ceux qui étaient associés un peu au rock, au punk, vous voyez, des choses comme ça.

12:56 Et aujourd'hui, les tendances ont changé, et puis les tatouages aussi ont changé.

13:00 On n'est plus du tout sur le même état d'esprit et sur les mêmes croyances.

13:05 Alors peut-être que, voilà, les choses se sont libérées à ce niveau-là, non ?

13:09 Tout à fait. Non, non, tout à fait.

13:11 Je pense que c'est vraiment dans le vrai.

13:13 Vous savez que moi, je suis en plus issu d'une famille relativement pratiquante,

13:17 et donc les tatouages étaient un peu prohibés.

13:19 Enfin, un peu beaucoup même.

13:21 Et bon, maintenant, c'est vrai que moi, je suis toujours croyant, mais plus pratiquant de la même manière.

13:26 Donc voilà, j'ai pris beaucoup de recul sur beaucoup de choses, et notamment sur les tatouages.

13:30 Exactement. Parce que je rappelle que la religion a une période de l'interdiser.

13:34 Et aujourd'hui, vous, vous avez choisi le phénix,

13:40 et donc le phénix permet de renaître des cendres,

13:45 mais vous savez que sur le plan de la spiritualité,

13:48 le phénix est le gardien du feu, c'est le gardien de la création aussi,

13:53 parce qu'il représente autant la mort que la renaissance.

13:58 C'est une question peut-être de transformation et de régénération.

14:02 Et je vais rebondir peut-être par rapport à votre question du jour,

14:06 sur l'idée de vouloir partir, vivre ailleurs et changer de vie.

14:12 Peut-être que vous avez décidé de faire ce tatouage à un moment bien précis aussi, non ?

14:18 Je pense que c'est tout à fait lié.

14:21 Moi, je ne l'avais pas vu comme ça, mais c'est tout à fait possible.

14:24 Parce qu'en fait, la décision s'est un petit peu faite quand on a commencé à voyager de ce qu'on pariait.

14:30 Quand vous avez décidé ?

14:32 Décidé de nous expatrier.

14:34 D'accord.

14:35 Parce qu'en fait, ma femme, c'est pour ça qu'on va repartir là-bas.

14:40 Ne bougez pas, parce qu'on a du mal à vous capter un petit peu.

14:44 Ne bougez pas, restez où vous êtes.

14:46 Et donc, vous souhaitez partir et vous expatrier où dans le monde ?

14:52 Alors, en Côte d'Ivoire.

14:54 C'est la Côte d'Ivoire.

14:55 Voilà.

14:56 À quelle échéance ?

14:58 Si tout va bien, j'espère d'ici deux ans, maximum.

15:02 D'accord.

15:03 Donc, c'est réfléchi.

15:05 Votre femme est originaire de la Côte d'Ivoire ?

15:10 Oui, tout à fait.

15:11 Oui, elle est ivoirienne.

15:13 Elle est ivoirienne, d'accord.

15:14 Donc, c'est réfléchi.

15:15 Et quel est votre questionnement ?

15:18 Ben, voir un petit peu comment ça peut se présenter.

15:22 Parce qu'en fait, l'objectif, c'est de monter une association pour permettre,

15:28 comment dire, différentes activités, que ce soit du tourisme, de la production,

15:33 vraiment faire un petit centre pour favoriser la réinsertion.

15:37 D'accord.

15:38 Parce qu'en fait, il y a beaucoup de gens qui se retrouvent un peu sur le pavé,

15:41 comme des orphelins, des choses comme ça.

15:43 Et on voulait pouvoir permettre à ces personnes d'avoir une vie.

15:49 Et nous, aussi bien ma femme que moi, les orphelins, c'est quelque chose qui nous touche beaucoup.

15:54 Et donc, une fois qu'ils sont sortis d'orphelinat, en fait, ils sont un peu livrés à eux-mêmes.

16:00 Et ils n'ont rien derrière.

16:02 Et donc, on dit, nous, on va tout créer un centre pour les accueillir,

16:05 leur apprendre un métier et les lancer dans la vie.

16:07 Magnifique projet.

16:08 Et en fait, c'est un peu notre but.

16:11 C'est un magnifique projet, mais comment vous allez vous appuyer ?

16:13 Parce que j'imagine qu'il faut quand même des fonds, des investissements.

16:16 Est-ce que vous allez vous faire aider par l'État ?

16:19 Ou est-ce que vous-même, vous portez ce projet seul, en privé ?

16:24 Non, en fait, moi, je n'ai pas du tout les finances pour ça.

16:27 Donc, en fait, je suis en train de monter le dossier qui va être assez conséquent,

16:33 qui va être qu'il y a chaque activité, les finances dont on a besoin.

16:36 Et après, je vais envoyer ça à Bruxelles,

16:38 ou vraiment tous les gros organismes qui financent énormément tous les projets en Afrique.

16:42 D'accord. Allez, vous pensez à ce projet,

16:45 parce que j'imagine que c'est votre question,

16:47 de savoir si vous allez pouvoir réaliser ce projet et bien vivre là-bas.

16:51 Vous allez penser à ce projet ?

16:52 Vous allez me donner une couleur, s'il vous plaît ?

16:54 Orangé.

16:57 Orangé. Eh bien, écoutez, c'est une belle couleur.

17:00 Pour moi, il y a la possibilité de créer ce projet.

17:05 Il y a la possibilité aussi de mettre en place de nouvelles idées

17:09 qui sont déjà peut-être construites dans votre esprit,

17:12 mais aussi qui sont à venir avec des changements,

17:16 peut-être dans ce que vous pensez aujourd'hui,

17:19 et qui vont évoluer avec le temps.

17:21 Mais pour moi, oui, vous allez arriver à l'aboutissement de ce projet.

17:26 Et ça fonctionnera bien. Vous serez appuyé, vous serez aidé.

17:29 Et vous aurez des aides peut-être là-bas administratives,

17:32 des aides aussi peut-être un peu politiques ou associatives.

17:36 Mais ça vous permettra en tous les cas d'aller jusqu'au bout de ce projet

17:41 et d'être fier de pouvoir porter ce projet

17:44 et surtout de pouvoir transmettre quelque chose et rendre les gens heureux.

17:48 Merci beaucoup. C'est encourageant.

17:52 Merci Pierre. Et puis dès que votre tatouage a été fait,

17:57 n'hésitez pas à nous envoyer une petite photo.

17:59 Aude, au standard, sera heureuse de la recevoir.

18:01 Ça marche, avec plaisir.

18:03 Merci à vous. Prenez soin de vous.

18:05 Merci. Merci beaucoup. Au revoir.

18:07 Et à présent, c'est à vous peut-être.

18:09 Vous avez un doute, une question, ou peut-être tout simplement des confidences à nous transmettre.

18:15 Un seul numéro, c'est le 0800 26 300 300.

18:19 Nous, on se retrouve dans quelques minutes avec Caroline.

18:23 Alors, Caroline a commencé sa carrière à l'hôpital.

18:26 Et puis, il y a 15 ans, elle est passée, elle a changé de statut en tant qu'infirmière libérale.

18:32 Et aujourd'hui, il y a des hauts et des bas.

18:34 Alors, comment va évoluer son cabinet ? Va-t-elle poursuivre ou tout arrêter ?

18:39 Je vous le dirai juste après le temps d'une pause.

18:42 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

18:48 Et de retour sur Sud Radio, alors bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent.

18:53 Et si vous, comme notre précédent auditeur Pierre, vous avez des projets futurs sur votre avenir professionnel,

19:02 n'hésitez pas à appeler le 0800 26 300 300.

19:06 Et aussi pour d'autres sujets, je suis là et je vous accompagne tous les jours.

19:11 Et avant de retrouver Caroline, je vais vous donner quelques petits conseils sur la notion du tatouage,

19:19 et notamment sur son origine.

19:21 Alors, vous savez que l'origine du mot tatouage vient de Polynésie.

19:24 Il se nomme tato.

19:26 Le tato est une pratique ancestrale très importante qui remonte à moins 1300 ans avant Jésus-Christ.

19:33 Et un rite se faisait durant cette période en coloriant la peau des maoris lors des étapes importantes de leur vie,

19:41 en utilisant des dents de requins et des os taillés.

19:45 Le tatouage est un marqueur social pratiqué par les classes supérieures.

19:50 Et en Europe, une pratique qui a été réappropriée par les marins.

19:55 Le tatouage a été interdit en Europe en 787 par l'église, car jugé comme un symbole païen.

20:03 Et il va réapparaître au 18ème siècle, après que des marins européens de retour de Polynésie s'approprient la pratique.

20:12 Et à présent, la parole est à Caroline. Bonjour Caroline.

20:17 - Bonjour Alexandre. Merci beaucoup. - Bienvenue sur Sud Radio Caroline.

20:21 - Merci, merci.

20:23 - Caroline, vous avez 44 ans, vous vous appelez de Revelle dans Haute-Garonne, et vous êtes infirmière libérale.

20:33 Alors, est-ce que déjà, puisque notre sujet du jour c'est le tatouage, est-ce que pour vous le tatouage est important ?

20:41 Est-ce que vous avez sur vous des tatouages ou pas ?

20:46 - Oui, j'ai du coup des tatouages en effet, ouais.

20:50 - D'accord. - Voilà.

20:53 - Quels sont vos... - Vous en voulez plus ?

20:55 - Ben pourquoi pas, hein ?

20:57 Quels sont les tatouages que vous avez ?

21:01 - Alors, du coup, j'ai sur une main, j'ai sur chaque doigt du coup les initiales de mes filles.

21:09 - Bien. - Et qui donc sont associées avec, sur le dessus de la main, le symbole de l'amour inconditionnel.

21:16 - D'accord. - Donc ça c'est vrai que celui-là, je l'ai fait il y a quelques années.

21:22 Déjà parce que voilà, par rapport bien sûr à l'amour que je porte à mes filles tout simplement.

21:28 Mais c'était aussi une manière pour moi de... J'ai toujours la sensation d'une protection, voilà.

21:34 Pour moi ça représente la protection pour mes filles aussi, voilà.

21:39 - D'accord. - Donc j'ai celui-là.

21:41 Et après, de l'autre côté, sur l'intérieur du bras, j'ai un mantra tibétain.

21:48 C'est le mantra "Thayata Omé Khamse". - D'accord.

21:52 - Qui du coup est un mantra qui est utilisé dans les rituels de guérison. - Oui.

21:57 - Et en fait, ce tatouage je l'ai fait à la fois pour représenter ma profession d'infirmière, évidemment.

22:06 Et aussi pour, en quelque sorte, j'avais l'impression que ça allait porter à mes patients du soulagement dans leur souffrance,

22:14 de la protection pour moi aussi dans mon métier parce que c'est vrai que je suis exposée à beaucoup d'émotions chez les patients.

22:21 Donc voilà, c'est des tatouages plutôt symboliques. - D'accord.

22:25 Alors c'est vrai que souvent, il y a des personnes qui font des tatouages avec des mantras ou des mandalas

22:31 ou avec des symboles comme le lotus ou des tribales ou des choses comme ça

22:37 et qui sont vraiment et purement symboliques à une protection.

22:41 Est-ce que vous, en ayant fait ce genre de tatouage, est-ce que vous avez le sentiment que ça vous protège réellement ?

22:50 Ou est-ce que vous l'avez fait et c'est juste une croyance comme ça ?

22:55 Alors c'est vrai que par rapport à mes tatouages, plutôt celui par rapport à mes filles,

23:00 où j'ai l'impression qu'on est réunis et que ça nous protège en quelque sorte,

23:04 le fait que j'ai les initiales avec ce symbole sur moi.

23:07 Après, concernant le tatouage du mantra, c'est vrai que c'était plus protection.

23:15 C'était plutôt vraiment comme un honneur que je portais à ma profession et à ce que j'apporte aux gens

23:22 et à l'importance que ça a dans ma vie de soulager les souffrances.

23:26 Mais plutôt au niveau de la protection, ce serait plutôt celui avec les initiales de mes filles.

23:32 D'accord. Alors justement, ce tatouage, où justement c'est porter un honneur à votre activité et aussi aux patients,

23:41 aujourd'hui vous vous posez des questions sur votre devenir professionnel, puisque vous êtes indépendante,

23:48 vous avez votre propre cabinet, c'est ça ?

23:50 Oui, tout à fait. Ça fait quand même 15 ans que je suis libérale.

23:56 Après, c'est un métier que j'aime, je pense, plus que tout.

24:00 Après, c'est vrai que les questions que je me pose, c'est comment on est deux,

24:06 c'est par rapport à mon associé, parce qu'il y a eu quand même des petites difficultés entre nous.

24:11 Donc c'est vrai que je me demandais si elle allait rester dans le cabinet, comment ça allait évoluer.

24:15 Et après, c'est vrai que pour ma suite, pour mon futur, je me pose souvent la question de savoir

24:21 est-ce que j'ai un autre avenir professionnel, ou est-ce que c'est vraiment mon karma d'être infirmière toute ma vie.

24:27 Parce que les contraintes, en fait c'est un peu ambigu, mais j'ai l'impression que j'aime tellement ce que je fais au quotidien,

24:35 mais j'ai des contraintes qui me pèsent, en fait, sur ma vie quotidienne.

24:40 - Et vous avez du mal à vous voir, ou à vous projeter sur l'avenir dans ce métier ?

24:47 - Non, pas vraiment. Mais c'est vrai que je me suis toujours demandé,

24:53 parce que physiquement c'est quand même un métier qui est fatigant, les horaires, les contraintes, etc. des week-ends.

25:01 Donc c'est vrai que c'est plus par rapport aux contraintes, où c'est vrai que je me demande

25:06 si un jour j'aurais peut-être une autre opportunité, une autre voie qui s'ouvrira, moi je crois.

25:11 - Bien. Alors pour moi, Caroline, je ne sens pas qu'il y ait un véritable changement.

25:17 Il y aura du changement dans l'avenir, mais ce n'est vraiment pas tout de suite.

25:20 Et je crois que s'il y a du changement, ce n'est pas avant 3-4 ans minimum.

25:26 Ensuite, ce changement que je vois, ce n'est pas un changement de métier, parce que vous l'avez si bien dit,

25:31 vous êtes investie dans votre métier, vous aimez votre métier, et ensuite vous l'avez même inscrit sur votre corps.

25:38 Donc ce n'est pas pour rien que vous avez fait cet acte-là.

25:43 Énergétiquement, vous avez créé cette empreinte. Mais pour moi, il y aura peut-être l'envie de changer le rythme.

25:51 Le rythme de travail, peut-être les soins pour lesquels vous faites jusqu'à présent.

25:57 Peut-être qu'il y a certains soins que vous allez vouloir sélectionner et ne plus faire.

26:01 Et peut-être de travailler de manière moins intensive, d'une autre forme et d'une autre manière,

26:09 pour justement alléger et ne pas sentir cette pénibilité qui est en vous.

26:15 Et puis ensuite, dans votre cabinet, vous êtes seulement deux, parce que pour moi, il y a trois personnes.

26:20 Alors on est deux et on a une infirmière qui intervient très ponctuellement pour faire des remplacements.

26:27 D'accord, parce que je vois trois, donc cette infirmière qui est là,

26:32 et je crois que plus ça ira, que ce soit elle ou quelqu'un d'autre,

26:36 mais elle prendra de plus en plus de place, peut-être pour aussi vous décharger,

26:41 vous libérer de cette contrainte qui, pour vous, ne sera pas une contrainte,

26:48 puisque vous allez gérer autrement, et pour justement éviter que ça devienne un métier trop difficile

26:55 et que ça vous amène à ne plus aimer ce métier.

26:59 Donc vous allez modifier les choses avant et vous allez pouvoir les corriger, bien sûr.

27:03 D'accord, et sinon avec ma collègue, mon associé, vous nous voyez toutes les deux continuer ensemble.

27:10 Oui, il y a une bonne entente, toutes les deux.

27:13 Il y a maintenant, mais il y a eu des moments très difficiles, donc c'est pour ça que je me posais la question

27:19 de savoir si elle continuerait, parce que c'est vrai que maintenant ça va mieux,

27:24 mais il y a eu des moments plus difficiles.

27:26 Non, pour moi je pense réellement qu'il y a une amélioration,

27:31 peut-être que vous avez eu besoin de vous dire les choses, d'apprendre à vous connaître aussi.

27:35 Oui, on est très différentes.

27:38 Voilà, très différentes de vous, mais à la fois ça vous a permis de pouvoir peut-être dépasser les obstacles,

27:47 dépasser ce cap et d'avancer.

27:50 Pour moi il y a une continuité, il y aura même au sein de votre cabinet un petit aménagement différent,

27:56 vous allez peut-être avoir une opportunité avec un voisinage,

28:00 qui vous donnera la possibilité de, je dirais, soit peut-être d'agrandir

28:04 ou d'avoir accès à un lieu, à un endroit,

28:08 qui donnera plus de commodités, plus de possibilités.

28:12 Oui, ça me parle.

28:14 Ça vous parle ?

28:15 Oui, parce que le cabinet qu'on a actuellement est dans un état qui n'est pas très bien, pas très bon,

28:23 et en fait du coup il y a des travaux qui sont envisagés pour améliorer,

28:29 pour qu'il soit plus accueillant,

28:31 parce qu'actuellement on n'accueille pas de patients au cabinet à cause de ça justement.

28:35 Donc c'est vrai que ça traîne en longueur,

28:37 mais je pense que oui, en effet, il y a un projet de travaux, d'aménagements.

28:41 Exactement.

28:43 Et peut-être que cette possibilité d'aménagement différent ou d'extension

28:48 est peut-être liée à une petite salle d'attente,

28:50 ou à un lieu qui permettra en tous les cas de pouvoir recevoir de la patientelle.

28:57 D'accord ?

28:58 D'accord, merci beaucoup pour vos réponses, c'est très gentil.

29:02 Merci à vous.

29:03 Je vous écoute tous les jours, donc c'est un plaisir.

29:05 Continuez, continuez, et je vous remercie de votre fidélité à l'antenne de Sud Radio aussi.

29:10 Merci Alexandre, au revoir.

29:12 Merci, prenez soin de vous.

29:14 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane.

29:20 Et la parole est à Jean. Bonjour Jean.

29:23 Bonjour Alexandre.

29:25 Bienvenue sur Sud Radio Jean.

29:28 Bonjour.

29:29 Oui, bienvenue.

29:31 Allez Jean, vous avez... Est-ce qu'on parle aujourd'hui des tatouages ?

29:38 Est-ce que c'est un sujet qui vous parle ? Est-ce que vous-même vous avez un tatouage Jean ?

29:44 J'en ai plusieurs.

29:46 Ah, vous en avez plusieurs. Vous avez combien de tatouages ?

29:49 En tout, j'en ai une vingtaine.

29:52 Ah oui, c'est pas mal.

29:55 Vous avez commencé à vous faire tatouer depuis combien de temps Jean ?

30:00 Bon, disons que c'était il y a une dizaine d'années.

30:03 J'ai arrêté, j'avais arrêté un petit peu parce que j'avais des intentions plus grandes on va dire,

30:10 parce que je voulais me faire tatouer quasiment tout l'ensemble du corps.

30:13 D'accord.

30:14 Voilà, mais bon là j'ai que les bras de tatouer.

30:17 D'accord.

30:18 Et donc j'aurais bien aimé reprendre mais bon, les aléas de la vie font que...

30:24 Ben, pas forcément le temps.

30:26 Oui, et puis je pense que ça a un coût aussi.

30:29 Si vous faites des tatouages sur tout le corps, c'est vraiment je pense très onéreux et ça a un coût.

30:36 Qu'est-ce qui... Alors, excusez-moi de poser cette question,

30:40 mais qu'est-ce qui vous anime à vouloir vous faire autant de tatouages,

30:45 et sans porter de jugement bien sûr,

30:48 mais pourquoi, est-ce qu'à un moment donné il y a une addiction,

30:52 est-ce qu'il y a un besoin de faire plus, plus, plus,

30:56 ou est-ce que ça à chaque fois ça raconte une histoire pour vous ?

31:00 Moi ça représente une histoire, mais c'est en particulier c'est personnel en fait.

31:06 C'est pas... Je fais mes tatouages, bon ils sont un peu appareils,

31:12 mais je ne les montre pas, c'est pas pour faire une exposition pour les autres personnes,

31:18 c'est personnel. Ça représente des choses pour moi, des moments de la vie,

31:23 des moments difficiles, des choses dont je fais partie, voilà quoi.

31:30 Il y a des protections ?

31:33 Je suis sur le thème indien.

31:36 Ah, ok. Et donc, est-ce que vous avez un tatouage avec un oeil ?

31:41 Un quoi ?

31:42 Vous avez un tatouage avec un oeil ?

31:45 Non.

31:46 Non ? D'accord.

31:47 Non, c'est plus des autres appareils, des plumes, des loups,

31:54 tout ce qui est Indien, Amérique, naigle, des choses comme ça.

31:58 D'accord. Bon, très bien. Donc, pour vous, aujourd'hui,

32:02 tous les tatouages que vous avez pu faire, vous ne vous renoncez pas,

32:06 vous n'avez pas décidé à vous faire détatouer, au contraire,

32:10 vous êtes en phase avec vos tatouages, c'est bien ça ?

32:14 C'est bien ça.

32:16 Alors, est-ce que vous avez une question, Jean ?

32:22 Oui, alors, moi, je m'interroge, il m'arrive de m'interroger sur mon avenir sentimental,

32:30 qu'on va dire que j'ai laissé dans un coin il y a quelques années,

32:34 puisque je suis bien tout seul, on va dire,

32:40 après quelques relations plutôt désolées, il y en a eu des peines,

32:46 qui se sont très bien terminées, mais bon, des relations qui se sont très très mal terminées,

32:54 et donc je voulais savoir si, de ce côté-là, s'il y avait encore un avenir, voilà.

33:03 D'accord, vous êtes célibataire depuis combien de temps ?

33:07 Ça fait trois ans.

33:09 Pardon ?

33:11 Trois ans.

33:13 Trois ans. Alors, vous allez penser à votre devenir sentimental,

33:18 et vous allez me donner une couleur, s'il vous plaît.

33:22 Le vert.

33:23 Le vert, un vert plutôt clair foncé ?

33:25 Un vert plutôt clair.

33:27 D'accord. Alors, effectivement, pour moi, vous êtes dans cette période où il y a un peu de solitude qui ressort,

33:38 et volontairement aussi, peut-être qu'à un moment donné, vous avez voulu être seul,

33:44 pour pouvoir vous retrouver, peut-être qu'il y a eu des relations qui vous ont fait perdre dans vos repères,

33:50 et qui ont été difficiles pour vous.

33:53 Et aujourd'hui, il y a ce désir de faire une rencontre.

33:58 On dirait que... Est-ce que vous êtes inscrit à un site de rencontre,

34:03 ou est-ce que vous avez fait une démarche pour aller vers ce genre de choses ?

34:09 Absolument pas. Et je ne retournerai pas sur ce genre de site.

34:13 Vous l'avez fait auparavant ?

34:15 Je l'ai fait auparavant, mais je ne suis pas tombé sur de bonnes personnes, on va dire.

34:20 C'est parce que c'était des personnes qui, eux-mêmes, enchaînaient des relations.

34:24 Et en fait, ce n'était pas franc, ce n'était pas naturel.

34:30 D'accord.

34:31 Moi, dans ces relations, je me donnais à fond.

34:35 Je donnais toujours le meilleur de moi-même.

34:37 Et en face de moi, j'avais des gens qui n'étaient pas forcément...

34:42 qui n'avaient pas de retour.

34:45 Bon, en tous les cas...

34:47 Je ne me rends pas compte...

34:50 Comment ça va ?

34:52 Une potentielle inscription sur des sites ?

34:55 Non.

34:56 D'accord, ok.

34:57 Non, bon, il n'y a pas de souci.

34:58 Mais quand je parle de site, ce n'est pas forcément uniquement de site de rencontre.

35:01 Parfois, on peut, sur des applications ou autres, rencontrer une personne,

35:06 et pas dans la démarche, à tout prix, des sites connus,

35:11 que je ne citerai pas à l'antenne les noms.

35:13 Mais voilà, pour moi, on dirait que votre rencontre se fera par le biais d'un intermédiaire.

35:20 Et surtout, n'ayez pas seulement des préjugés.

35:23 Laissez faire les choses.

35:25 Laissez accueillir, justement, la possibilité de rencontrer quelqu'un, de vivre l'amour.

35:31 Et vous verrez qu'à partir de cet automne 2000...

35:35 2000, j'allais dire 2080, c'est peut-être pas ça.

35:39 On se rappellera cette période-là, mais on ne sera pas sur les mêmes identités, à mon avis.

35:45 Sur l'automne 2024, vous êtes amené à rencontrer quelqu'un

35:53 et à vivre une belle réalisation sentimentale.

35:57 Oui, pourquoi pas.

35:59 Et puis d'un autre côté, je me présente à une ancienne relation.

36:04 Il y a une femme que je ne connais pas.

36:08 D'accord.

36:10 Je voulais savoir si j'arriverais peut-être un jour à me rapprocher de cet enfant

36:18 et lui dire que je suis son père.

36:23 D'accord. Et lui a connaissance ? Enfin, cet enfant, c'est un garçon ?

36:27 C'est un garçon.

36:29 Oui. Il a connaissance de votre existence ?

36:31 Je pense qu'il est trop petit encore. Il a moins de 50 ans.

36:35 Ah, ok. D'accord. Je ne veux pas vous donner de faux espoirs,

36:39 parce que c'est un sujet très délicat,

36:41 mais pour moi, je pense qu'à un moment donné, il y aura une démarche faite dans ce sens-là.

36:47 Et ça semble être possible, mais il faut encore laisser un petit peu de temps.

36:51 D'accord ?

36:52 Il ne faut pas précipiter le destin.

36:54 Voilà. Il ne faut surtout pas précipiter le destin.

36:56 Il faut laisser faire les choses.

36:58 Exactement.

36:59 D'accord ?

37:00 Merci à vous, Jean. N'hésitez pas à nous tenir au courant.

37:04 Et puis, surtout, rappelez-nous dès que vous avez fait la rencontre de cette charmante femme.

37:10 Merci, Alexandre. Et sachez que je vous écoute quand je peux, dans mon camion.

37:16 Merci de votre fidélité. À très bientôt.

37:20 Et maintenant, c'est peut-être à vous de passer à l'antenne de Sud Radio.

37:25 N'hésitez pas à le faire au 0826 300 300.

37:29 On se retrouve dans quelques minutes avec Julie. Alors, ça fait quatre ans qu'elle est célibataire.

37:34 Aujourd'hui, elle aimerait rencontrer la personne qui lui corresponde.

37:38 Et pas seulement une simple rencontre d'un soir.

37:41 A-t-elle un présage favorable à la rencontre ? On en parle juste après.

37:45 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

37:50 De retour sur Sud Radio pour cette dernière partie.

37:53 Avant de retrouver les vrais voix, présentées avec Jean-Marie Bordry et Cécile Dominibus.

37:59 Il vous reste quelques minutes pour passer à l'antenne.

38:02 Je vous rappelle le numéro, c'est le 0826 300 300.

38:06 On accueille à présent Julie. Bonjour Julie.

38:09 Bonjour. Bonjour Alexandre.

38:11 Bienvenue sur Sud Radio, Julie.

38:13 Bonjour.

38:15 Julie, vous avez 53 ans. Vous vous appelez de Hondaï et vous êtes dans le métier médical.

38:22 En tant que déléguée.

38:24 C'est ça. Exactement.

38:26 Notre sujet du jour, c'est sur les tatouages. Est-ce que vous-même, vous avez des tatouages ?

38:32 Est-ce que pour vous, ça a une symbolique forte, le tatouage ?

38:36 Alors j'en ai un, qui était mûrement réfléchi.

38:41 Et qui représente en fait, je suis maman d'un...

38:44 Enfin j'ai un fils et j'ai mis son prénom.

38:48 J'ai représenté son prénom avec une fleur.

38:56 Cette fleur-là correspond...

39:01 C'était mon papa qui est décédé, qui adorait les roses.

39:04 Et ça a été une relation un peu compliquée, donc j'ai fait une rose un peu piquante.

39:10 Donc j'avais besoin de... On peut dire que c'est affectif.

39:17 J'avais besoin de faire ce tatouage, je n'oublierai jamais.

39:24 Donc inscrit sur ma peau.

39:27 Alors, Julie, aujourd'hui c'est une émission un peu particulière, on est un peu pris par le temps.

39:33 Donc moi ce que je vous propose, c'est de rester à l'antenne.

39:36 Le Standard va vous recaler et on va vous repasser pour une autre émission.

39:40 Parce qu'il va falloir rendre l'antenne pour les vrais voix.

39:43 Merci en tous les cas d'avoir témoigné et de porter votre message concernant votre tatouage.

39:49 Merci à vous.

39:51 Et pour conclure, je dirais, oser ce n'est pas défier les interdits, c'est aller au bout de soi-même.

39:57 Nous on se retrouve lundi, je vous souhaite un bon week-end.

40:01 Et la place est aux vrais voix avec Jean-Marie Bandri, bonsoir.

40:03 Bonjour mon cher Alexandre. Vous savez pourquoi vous êtes plus pressé qu'hier ?

40:06 Parce qu'hier on était la journée mondiale de la tortue.

40:09 Alors il fallait accélérer aujourd'hui, c'est simplement pour ça.

40:11 On est ravis de vous retrouver avec Cécile de Ménibus jusqu'à 19h ce soir pour débattre,

40:16 parler vrai comme toujours sur Sud Radio avec vous tous, au 0826 300 300.

40:21 On va parler de la délinquance des mineurs et notamment des propositions faites aujourd'hui par le Premier ministre Gabriel Attal.

40:27 Proposition notamment d'instaurer des comparutions immédiates pour des délinquants violents, récidivistes de plus de 16 ans.

40:36 Alors les syndicats de magistrats n'étaient pas très chauds, en revanche le Premier ministre pense que c'est une bonne idée.

40:40 Il est même soutenu dans ce projet par le Rassemblement National.

40:43 On l'a appris il y a quelques minutes justement le Rassemblement National qui propose de l'aider à faire passer ce projet de réforme.

40:48 Alors est-ce que c'est une bonne chose ? Est-ce que l'exécutif a compris le problème de la délinquance des mineurs ?

40:53 C'est une des questions qu'on va vous poser.

40:55 On va parler aussi des élections européennes.

40:57 Notre dernier rolling ifop fiducial pour Sud Radio qu'on va dévoiler en exclusivité dans 4 minutes.

41:02 Le Rassemblement National caracole-t-il toujours en tête ?

41:05 On verra. Est-ce que la participation est toujours aussi basse ?

41:07 Est-ce que les écologistes auront pour la première fois depuis 30 ans une absence de groupe parlementaire et de députés au Parlement européen ?

41:14 C'est ce qu'on verra dans quelques instants.

41:16 Voilà pour le programme des vraies voix. On vous dit à tout à l'heure Alexandre ?

41:18 Et oui, je vous souhaite une bonne émission.

41:20 Et puis on vous retrouve lundi avec plaisir.

41:22 Sud Radio à votre écoute, 16h-17h.

41:26 Alexandre Delovane.

41:28 Avec Idealvoyance.fr.

41:30 Coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email.

41:34 e-mail sud radio

La symbolique du tatouge - À Votre Écoute

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