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  • 23/05/2024
Alors qu'il est prévu que le président reste 12 heures à Nouméa, ce dernier n'a pas exclu une prolongation: "je n'ai pas de limite" de temps, a-t-il confié.

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Transcription
00:00 Alors ce qui est très intéressant Adeline, c'est que le programme, en fait il se dessine, pour rien vous cacher, au fur et à mesure du déplacement.
00:06 On est arrivé, on avait à peu près les brides de ce qui allait se passer, mais on nous explique vraiment que même dans l'avion,
00:11 ces fameuses 25 heures de vol qu'on a fait ensemble avec Emmanuel Macron parce qu'on était dans l'avion présidentiel,
00:16 eh bien on permit de caler les rendez-vous avec notamment les élus locaux, avec les membres de la société civile qu'ils rencontrent.
00:22 Donc vraiment en fait tout se dessine au fur et à mesure. Là on vient d'apprendre par exemple qu'il y a quelques instants
00:26 qu'Emmanuel Macron se rendait dans le commissariat de Nouméa pour notamment échanger évidemment avec des forces de l'ordre,
00:31 avant une séquence qu'on nous présente comme plus politique, qui sera elle plutôt en fin de journée.
00:36 Et puis un élément de contexte aussi parce qu'Emmanuel Macron, quand on lui pose la question "Est-ce que vous allez vraiment rester seulement 12 heures ?
00:42 Est-ce que ça suffit 12 heures ?" Eh bien il nous répond "Nous verrons, je n'ai pas de limite."
00:48 Fin de citation, ça donne aussi un peu une idée de la détermination du chef de l'État et potentiellement de cette durée
00:52 qui pourrait être allongée pour son déplacement ici.
00:54 Mais pardon Léopold, le président a dit "Je viens quand même avec des choses, avec des décisions." C'est pour quand ? Et c'est quoi ?
01:02 Alors oui effectivement et c'est très attendu, on le ressent quand on parle avec les néo-calédoniens ici.
01:08 Quelques annonces que vous avez peut-être entendues déjà dans le reportage qui précédait.
01:12 D'abord il a annoncé que les 3000 forces de l'ordre qui sont présentes en ce moment en Nouvelle-Calédonie allaient rester au moins jusqu'aux Olympiques,
01:19 voire peut-être jusqu'en septembre. Et puis cette question de l'état d'urgence, vous l'avez entendu, il souhaite qu'il ne soit pas prolongé,
01:26 sauf si les appels au calme et à la fin des barrages ne sont pas prononcés par toutes les parties.
01:31 Et c'est un fait extrêmement important pour Emmanuel Macron.

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