Beaucoup d'émotions pour Faustine Bollaert avec sa famille - Vivement Dimanche 12 mai 2024

  • il y a 4 mois
Vous pouvez revivre les moments forts de l'émission "Vivement Dimanche" du 12 mai 2024 où Faustine Bollaert a reçu sa famille sur le plateau. Cette émission a été riche en émotions, avec notamment des larmes de joie et de tendresse.
Transcript
00:00 -Faustine Faragi-Bollard, c'est le nom de ta maman.
00:05 -Et le nom de mon père, c'est Faragi.
00:07 -Tout à fait mon caractère.
00:10 -Cette photo est très précieuse pour moi.
00:13 Mes parents se sont séparés quand j'étais très jeune.
00:17 J'ai une photo d'eux ensemble depuis...
00:21 Ils ont divorcé, j'avais 5 ans.
00:24 Je dois avoir une photo d'eux depuis 40 ans.
00:28 Je l'ai dans ma loge. Elle est importante pour moi.
00:30 -Tu as toujours rêvé télévision.
00:33 -Oui, mais je vous regardais à la télé, je voulais être vous.
00:37 C'était vraiment un média qui me coulait dans les veines.
00:41 J'étais passionnée par le plateau, les lumières, l'ambiance.
00:46 Du plus loin que je puisse m'en souvenir,
00:50 je voulais faire ce métier.
00:52 A 13-14 ans, on me demandait ce que je voulais faire.
00:56 Je ne savais pas ce que j'allais pouvoir apporter à la télé.
01:00 -Quand je t'ai connu dans une autre vie européenne,
01:03 tu écrivais déjà très bien.
01:06 Tu étais journaliste de passe écrite.
01:09 -Je voulais faire de la télé, mais je ne connaissais personne.
01:14 J'avais contacté le patron de la rédaction de Télé 7 jours
01:18 en me disant que si je rentrais dans un grand canard télé,
01:21 je pourrais avoir accès aux animateurs.
01:25 -Il y a un plan pour y arriver.
01:27 -On va en parler tout à l'heure.
01:29 Il y a quelqu'un qui compte beaucoup dans ta vie.
01:33 C'est Charles, ton frère.
01:35 Tu étais lié avec lui. Il était gravement malade.
01:38 Il a eu une erreur d'anesthésie.
01:41 Il a fait une dépression. Il vit aux Etats-Unis.
01:45 On va l'écouter.
01:47 -Le premier homme de ma vie.
01:49 -Et puis, le papa, Jean-Marie Faradji.
01:53 -Il a préparé beaucoup d'attentions.
01:55 Ecoute ça.
01:56 -Coucou, Tino. Bonjour, Michel.
01:59 Ca me fait plaisir d'être avec vous ce matin
02:02 pour vous parler de Faustine. Je l'ai vue évoluer.
02:06 Je l'ai vue grandir devant la caméra de nos parents
02:09 et la voir devenir l'animatrice préférée des Français.
02:13 Elle a commencé sur une petite émission à 4h du matin
02:17 et elle est devenue l'animatrice en prime time.
02:20 J'ai vu tout son parcours. J'ai tout vécu.
02:23 Je suis hyper fier d'elle.
02:25 Je l'aime à la folie, mais tout le monde le sait.
02:29 C'est ma petite soeur que je considère comme ma grande soeur.
02:33 Faustine, je t'aime. Continue. Tu es sur la bonne voie.
02:37 Je suis hyper fier de toi. Je vous embrasse tous très fort.
02:41 -Tino, avoir été dans une même émission,
02:44 engagé chroniqueuse, puis être accueilli invité d'honneur,
02:49 je dois dire qu'il fallait le faire.
02:51 Petite déjà, tu communiquais facilement et tu adorais distraire.
02:56 L'amitié est toute naturelle chez toi
02:59 et tu cherches à apporter du bien aux autres,
03:02 souvent par le rire.
03:04 Aujourd'hui, si toujours plus nombreux et fidèles
03:07 sont ceux qui aiment ce que tu as créé,
03:10 peu savent comment tu l'as conçu et réalisé.
03:13 Mais il y eut des choix longuement mûris,
03:17 une exigence constante du travail bien fait,
03:19 des obstacles habilement surmontés, un style vraiment à toi.
03:24 Une nouvelle fois, c'est devenu une habitude pour moi.
03:29 Avec ma fierté et mon bonheur d'être là,
03:32 je te félicite pour ta carrière
03:34 et ta présence auprès de Michel Drucker.
03:37 Papa t'embrasse fort.
03:40 -Merci. C'est un beau cadeau.
03:43 -Oui.
03:45 -Merci. Ils sont très pudiques, ça me touche beaucoup.
03:49 -C'est important, ce message.
03:51 Tu t'appelles Bollard.
03:53 T'es l'arrière-petite-niece de Félix Bollard.
03:57 -Vous aimez cette histoire.
03:59 -T'étais son arrière-grand-oncle
04:01 qui a donné son nom au stade Bollard.
04:04 -Exactement.
04:05 -Une grande équipe de foot.
04:07 -Fondateur des mines de Lens.
04:09 C'était un homme extrêmement apprécié, aimé dans le Nord.
04:14 Je suis extrêmement fière de porter le nom de Félix.
04:18 Aujourd'hui, j'habite à Chantilly.
04:20 Récemment, j'ai découvert que...
04:23 Mon mari m'a fait remarquer que Félix Bollard était enterré
04:27 à Chantilly, où j'habite, alors qu'il a terminé sa vie là-bas.
04:32 C'est improbable.
04:33 J'ai eu l'occasion d'aller sur sa tombe.
04:36 -Pour l'ancien reporter sportif que je suis,
04:39 tu n'imagines pas ce que c'est que Bollard.
04:43 -J'ai hâte d'emmener mes enfants assister à un lancement de match
04:47 et qu'ils entendent les corons.
04:49 C'est une fois dans sa vie.
04:51 -Je ne savais pas ça.
04:53 Côté paternel, tu es la petite-fille d'un aviateur.
04:56 -Exactement.
04:58 Je n'ai pas eu la chance de le connaître.
05:01 Je n'ai pas tellement connu cette famille du côté de mon papa.
05:05 Mais elle est chère à mon coeur.
05:07 -Félix Bollard, pour être complet,
05:10 c'est un des artisans de l'industrialisation du Nord.
05:14 Il a donné son nom au stade de Lens.
05:16 Il a instauré la distribution gratuite de lait
05:20 aux enfants et aux familles démunies.
05:22 -L'empathie.
05:24 -Il n'y a pas de secret.
05:26 -Je ne connaissais pas.
05:27 -La télé.
05:29 On va voir quelques images.
05:31 1 000 émissions, c'est considérable.
05:34 -On a 4 ou 5 invités par émission.
05:36 J'ai dû écouter 4 000 histoires, 5 000 émissions.
05:40 5 000 histoires de vie. C'est incroyable.
05:43 -Des images. Ca commence.
05:45 -En 2017, on doit faire confiance aux femmes.
05:48 On n'est pas faibles. On est des putains de guerrières.
05:52 On a juste besoin d'un peu plus d'aide.
05:55 -Merci pour tout ça.
05:57 Applaudissements
05:59 -J'ai eu la chance, quand même, dans ma vieillesse,
06:03 d'accueillir des réfugiés.
06:05 -Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous.
06:10 C'est votre pays. Et donc, pour l'humanité.
06:12 -Le jour de Noël, j'ai appris que mon copain,
06:15 qui était censé être décédé, ne l'était pas.
06:19 -Je peux vous faire un petit câlin ?
06:21 -Oui.
06:23 -On s'embrassait comme des fous.
06:25 Pour la première fois de notre vie.
06:28 Il m'a dit "Arrête, arrête, tu m'étouffes, tu m'étouffes."
06:32 -Ce que j'ai ressenti en perdant mes deux parents,
06:35 coup sur coup, c'est qu'en effet, il n'y a pas d'âge.
06:39 Il faut que je dise tout l'amour que j'ai eu de mes parents
06:43 pour qu'on comprenne qu'aujourd'hui,
06:46 je sois si triste de leur départ.
06:49 Ils ont été avec moi incroyables.
06:52 Ils m'ont toujours beaucoup soutenu.
06:54 Ca m'a profondément changé.
06:57 -C'est une amie hôtesse qui m'a inscrit à un concours d'humoristes.
07:01 J'ai fini finaliste.
07:03 Laurent Ruquier m'appelle.
07:06 Il a fallu convaincre RTL.
07:08 Il me dit que quelqu'un qui était ch'ti, qui était gay,
07:12 a des choses à raconter.
07:14 -Bienvenue, Maéna.
07:16 -Je dois la rendre, votre fille.
07:19 -C'est très dur.
07:22 -C'est quoi, ta passion ? -J'aime les insectes.
07:25 Une si petite bestiole est capable de faire tant de choses.
07:29 Ca me rend dingue.
07:32 -Merci, Doudou. Vraiment. Ca me touche beaucoup.
07:36 -Oui.
07:38 Applaudissements
07:40 ...
07:42 -Quel public.
07:44 -Alors...
07:46 Il y a le public, 80 %, mais il y a des "people".
07:49 -Vous êtes venu.
07:51 -J'étais enchanté. C'était avec Chantal Goya.
07:54 -J'ai reçu Céline Vartan.
07:57 J'ai de la chance que des plus grands viennent nous faire confiance.
08:01 Quand je regarde ces extraits, je réalise à quel point je suis privilégiée.
08:06 J'ai de la chance de voir défiler ces personnes qui attendent.
08:10 Je sais qu'on leur fait du bien.

Recommandée