Olivier Janson, procureur de la République de Mont-de-Marsan, a expliqué que «l'hypothèse de l'accident était impossible», dans l'affaire liée à Kendji Girac.
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00:00 Donc, seul, je reviens sur son fonctionnement,
00:02 seul l'action sur la queue de détente permet la percussion de la cartouche
00:06 qui est chambrée dans le canon.
00:09 L'expert précise également que la pression sur la queue de détente
00:12 présente une sensibilité qui est tout à fait normale,
00:15 donc toutes les sécurités, toutes les sûretés sont opérationnelles.
00:19 Il a été effectué, comme d'habitude, un tir d'essai
00:23 au fin de reconnaissance et de comparaison
00:25 dans le fichier national d'identification balistique,
00:28 afin de vérifier si cette arme était susceptible
00:31 d'avoir été utilisée dans des affaires antérieures.
00:34 Le retour est clair, ce n'est pas le cas.
00:36 Elle n'a jamais été utilisée dans des affaires antérieures.
00:40 Le chargeur vide, donc, a été remis et examiné.
00:46 Le chargeur en question correspond à l'arme,
00:50 en tout cas est compatible avec l'arme.
00:52 Il est d'une capacité possible de 7 cartouches, de type 11-43,
00:57 et il est lui aussi en état de fonctionnement apparent,
01:00 tout à fait normal.
01:01 L'étui percuté qui a été remis
01:04 a fait l'objet de comparaisons au macroscope.
01:07 Il a bien été percuté dans ce même pistolet
01:11 semi-automatique en question.
01:14 Conclusion, un accident, un tir intempestif,
01:20 qui est de manière générale extrêmement peu probable,
01:22 s'agissant d'armes de poing de cette nature,
01:24 en l'occurrence, est jugé impossible dans le cas d'espèces.
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