Les dangers du n'importe quoi pour "essayer ce qui n'a pas été essayé" [Gilles Rotillon]
  • il y a 22 jours
L’élection de Javier Milei à la présidence de l’Argentine avec 55,7% des voies pose de la manière la plus tranchée une question : Pourquoi les pauvres votent-ils pour des candidats qui ont annoncé des politiques directement contre leurs intérêts immédiats. Pourquoi des populations qui vivent pour l’essentiel d’aides sociales, votent-elles pour un candidat qui annonce qu’il va les supprimer ? C’est la même logique curieuse qui a vu nombre d’américains pauvres voter pour Trump qui annonçait des baisses d’impôts pour les plus riches et la suppression de l’Obamacare qui permettait pourtant l’accès aux soins de près de 50 millions d’américains jusqu’alors privés de couverture sociale. [...]