- 28/03/2024
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00:00 Voilà, on a une belle équipe.
00:08 On a une belle équipe, pourquoi ? Parce qu'on a un beau plateau sur le talk.
00:13 Merci encore Bernard, Wagen et Michel d'être avec nous pour cette émission.
00:18 On se met tous le feu.
00:21 Il y a le patron TFT qui nous dit « Balerdi buteur, c'est annoncé ici ».
00:25 Voilà, on commence à se mettre le feu.
00:33 Bernard, cette équipe depuis le début de la saison, elle manque de caractère.
00:38 On a perdu des guerriers à l'inter-saison et tu ne sens pas…
00:42 Ils mouillent le maillot, moi je ne suis pas…
00:45 Tu sens qu'il n'y a pas beaucoup de… Tu vois ce que je veux dire ?
00:48 Oui, Bernard, vois ce que tu veux dire.
00:52 Le danger, on en parle souvent, c'est de surjouer.
00:56 Imaginez que tu prennes en rouge à la dixième, etc.
00:59 Là, le curseur sur l'engagement et le surplus d'engagement,
01:06 là tu le mets où dans le discours d'avant-match ?
01:09 Moi, je dirais deux choses.
01:10 Je dirais que je donnerais rendez-vous à la mi-temps.
01:15 Voilà, que déjà on ne perde pas le match à la mi-temps.
01:17 Ce qui est pour moi une étape très importante, comme tu as dit tout à l'heure,
01:20 parce qu'on a des échéances, Paris aussi.
01:24 Je ne souhaite pas, mais si tu as un scénario, tu perds 3-0 à la mi-temps.
01:27 C'est très compliqué.
01:27 Donc déjà, je donnerais rendez-vous à la mi-temps.
01:29 Après, être à la hauteur de l'événement.
01:31 Voilà, sachant que tous les joueurs connaissent l'événement.
01:34 On est au Vélodrome, on est chez nous, c'est le Classico, c'est Paris.
01:36 OK, les absents, toujours tort.
01:38 Tu sais, quand tu es coach, il faut optimiser les gens qui sont là.
01:40 Donc, il faut optimiser les gens qui sont là.
01:42 Et puis voilà, on a rendez-vous à la mi-temps.
01:44 45 premières minutes.
01:45 Si on arrive, qu'on n'a pas pris deux buts,
01:47 il n'y a pas de règlement qui t'empêche d'en marquer.
01:51 En tout cas, à la mi-temps, on est dans le match, les enfants.
01:54 Voilà ce que je dirais.
01:55 Donc, obligatoirement, tu vas demander de l'engagement.
01:57 Après, il y a engagement.
01:59 C'est comme quand tu dis agressivité, agression.
02:02 Ce n'est pas pareil.
02:03 Donc, je pense qu'il va falloir mettre de l'agressivité,
02:05 parce que Paris, ce n'est pas une équipe très courageuse.
02:07 Ce n'est pas une équipe très courageuse, cette année.
02:09 On parle de Guerrier de l'OM, mais ils n'en ont pas beaucoup quand même.
02:12 Et dès que ça commence un peu à taper,
02:14 tu as qu'à voir contre Brest et Rennes, ça s'enlève du milieu.
02:17 Ils ont des échanges importantes aussi.
02:19 Donc, il va falloir trouver le bon créneau.
02:23 Mais je pense que moi, je ne fixerai qu'en première étape la mi-temps du match.
02:27 La première mi-temps.
02:28 Après, on n'a pas vraiment de méchants non plus dans notre équipe.
02:30 Tu n'as pas pour aller leur faire mal.
02:33 Non, mais attention, tu sais, on parle de...
02:36 Michel le connaît bien.
02:37 On parle, comme disait Aznavour,
02:39 que les moins de 20 ans ne peuvent pas te connaître.
02:41 Mais aujourd'hui, tu peux empêcher une équipe de jouer
02:46 en étant très proche les uns des autres et qu'ils n'aient pas le temps d'eux.
02:49 Tu n'es pas obligé d'être à l'époque, il y a 30 ans,
02:52 où tu savais que ça allait taper et que les Ansardons pourraient y aller.
02:55 Le match de l'année dernière contre Paris en Coupe de France.
02:58 Si on arrive à être très agressif,
03:00 à bien les presser, à les empêcher de développer le genre de passe,
03:02 tu vas les embêter.
03:03 Combien de temps ça va durer ?
03:05 Tu ne sais pas.
03:06 C'est pour ça que moi, je pense que le premier rendez-vous de la mi-temps,
03:10 pour moi, est très important.
03:11 Si à la mi-temps, tu es dans le match...
03:13 Moi, je te réponds que le dernier OMPG, quand il parle Romain,
03:19 à la troisième minute, Eric Bailly doit mettre un tampon à Mbappé,
03:23 il va mettre un coup d'épaule, il va mettre un peu le pied
03:26 et puis mettre le pied à la figure.
03:27 C'est différent.
03:28 Le problème d'Eric Bailly, c'est qu'il l'avait fait quelques semaines avant.
03:32 Du coup, il avait pris une mâche de suspension.
03:34 On a eu des OMPG où on prend le but à la deuxième, troisième, quatrième
03:37 et tu tues le match.
03:38 Je veux dire, il y a un minimum.
03:41 Pourquoi je dis ça, Michel ?
03:42 Parce que tu as un aspect confiance aussi.
03:44 Il y a des blessés, il y a des absents, etc.
03:46 Mais imagine, dans la mi-temps, tu n'as pas pris de but, quelque part.
03:49 Sur le plan psychologique, tu comprends, tu prends de l'énergie,
03:52 tu prends des vitamines, il y a le public, ça va péter.
03:54 Et puis, le PSG, il y a deux ou trois joueurs qui ont mal.
03:57 Tu joues 23 jours, une demi-finale de coupe.
03:59 Tu sais que tu es champion, le PSG, peut-être qu'il va sortir un ou deux.
04:03 Je me fais mon film, alors que je n'y crois pas.
04:05 Mais le scénario optimal...
04:08 Comment ça, tu ne crois pas ?
04:09 Tu as vu la compo d'équipe qu'on a fait ?
04:11 Comment ça, tu ne crois pas ?
04:12 Il est fou, il est fou.
04:13 Les incertés, en tout cas, ça peut être de l'entox aussi.
04:16 Et bien sûr, en fait, ils sont à Ponce, et les rosses piquent là, ils sont là !
04:20 Je te dis, moi, je suis convaincu, par expérience quand même,
04:24 ça m'est arrivé, tu imagines bien d'avoir des équipes démunies,
04:27 et tu ne fais pas forfait.
04:29 Donc, tu optimises les gens qui sont là,
04:30 et puis tu dis, voilà, les gars, on a rendez-vous à la mi-temps.
04:33 A la mi-temps, si tu es dans le mat,
04:34 ça veut dire que tes joueurs, quelque part, sur le plan psychologique,
04:38 ils vont être plus forts qu'avant que ça démarre.
04:39 A la mi-temps, tu perds 3-0, c'est différent.
04:42 Ce n'est pas le plus grand PSG de l'ère Qatari non plus qu'on est en train de jouer,
04:45 voire peut-être même l'un des plus faibles.
04:48 Je regarderai le match, mais je suis convaincu que,
04:51 je ne sais pas du tout quelle équipe va faire Jean-Louis ni quelle organisation,
04:55 mais je suis convaincu que tu peux être dans le match à la mi-temps.
05:00 Maintenant, comme dit Michel, c'est sûr que si au bout de trois minutes,
05:02 tu perds 2-0, c'est compliqué.
05:04 Il y a Fafio83 qui nous dit, question à Bernard Rodriguez,
05:07 avez-vous joué à Toulon ?
05:09 Oui.
05:10 Deux saisons, c'est ça ?
05:12 90-92.
05:15 Oui.
05:15 Une période sympa, c'était en division 1 ?
05:18 Oui, c'était en division 1 à l'époque.
05:20 Première division, c'était une autre époque.
05:23 Voilà.
05:24 C'était une autre époque.
05:25 Mais bon, c'était une belle époque.
05:26 Tu as joué avec mon ami Luc ?
05:28 Oui, le pauvre.
05:30 Pauvre Luc, j'ai joué avec lui.
05:32 Le boy, gardien.
05:33 Et son frère.
05:34 Bien sûr et son frère.
05:35 Et l'ami aussi qui vient de nous reprendre l'équipe des Femmes Féminines.
05:37 Peter Boz, avec Franck Passy, avec Antoine Cambouaré, avec beaucoup de gens.
05:44 Là, tu ne cites que des poètes.
05:45 Tu as fait exprès.
05:48 Ce n'était pas évident de venir jouer à Mayol à l'époque.
05:50 C'était un peu compliqué.
05:51 Même pour l'OM.
05:53 Comment s'appelait ce joueur de Toulon qui n'a fait que Toulon,
05:55 qui avait une gueule de joueur de Toulon ?
06:00 Louji ?
06:00 Oui.
06:01 Alfano.
06:01 Ça, c'est des légendes.
06:03 Oui, c'est des légendes.
06:04 C'est des légendes toulonnaises.
06:05 Alfano, Berreguet.
06:08 Oui, c'est des légendes toulonnaises.
06:10 Allez voir une compil sur YouTube ou quoi.
06:12 Des légendes.
06:13 Par contre, Alfano fait une bise d'image.
06:16 La VAR, elle a du travail.
06:18 Oui, alors effectivement, il se pourrait que…
06:22 Tu pouvais prendre un rouge de la vestiaire.
06:23 Voilà.
06:26 C'était de sacrés matchs.
06:27 Mais je me souviens, vous étiez venu gagner au Stade de l'Automne ?
06:31 En deux ans, on a perdu une fois.
06:33 Écoute-moi, la première année, on vient ici,
06:35 à l'époque de tapis, on gagne 3-1 à la mi-temps.
06:42 Big Mac, Big Mac, on dit Mac 3-3.
06:44 C'est quoi Big Mac ?
06:45 C'est-à-dire ?
06:45 Ça veut dire quoi ?
06:46 Ça veut dire quoi ?
06:47 Tu me dis un mot ?
06:48 Écoute-moi, Bercruz qui part 20 mètres hors-jeu.
06:50 L'été, Michel, je pense au match.
06:52 20 mètres hors-jeu, bon, 3-3.
06:54 C'est bizarre.
06:55 L'année d'après…
06:56 Il n'y avait pas la VAR ?
06:57 Au match retour, Basile Boli marquait la 88ème sur le corner.
07:02 À Mayol.
07:03 Et l'année d'après, on les bat deux fois.
07:05 On gagne au Vélodrome, but de Dédé Blanc de la tête.
07:07 Et on gagne à Toulon, but de Fred Mérieux, je pense.
07:10 En fait, en deux ans, on a perdu une fois.
07:13 Ah, tu as pris plus de points que l'OM.
07:16 Ah oui ?
07:17 Mais bon, attention, c'était une sacrée armée.
07:23 Mosey, Arcazo, Basile, Manuel Moros, Dimeco, Bernard Pardo,
07:31 Shanty Ghana, Waddle Papé, Abed Dipele.
07:35 Oui, c'est là où tu vas…
07:36 Quand tu jouais contre ça, je peux te le dire,
07:38 j'avais mal à la tête.
07:39 Tu fais une demi-finale contre Benfica, c'est 81, c'est long.
07:42 90.
07:43 On aurait fait d'autres coachs Cenau à l'époque.
07:45 Il y avait autre chose en…
07:49 Le beau Marseille nous dit qu'il n'était pas hors-jeu vers Cruyff.
07:51 Non.
07:52 Ça n'a pas été sifflé, c'est comme ça.
07:54 Allez, on enchaîne, on prend des questions.
07:56 Il y a Marco1334 qui nous dit…
07:59 « Bonjour, le talk Fonseca et Galtier sont vraiment des pistes sérieuses
08:03 pour remplacer Gasset ? »
08:04 Alors oui, pour se répondre à Marco,
08:07 mais pour faire participer aussi le plateau,
08:09 je vais vous demander qu'est-ce que vous préférez, vous ?
08:11 Fonseca ou Galtier ?
08:13 Ou aucun des deux, ou les deux ?
08:15 Moi, perso, Galtier.
08:18 Mais bon, c'est ce que ça accompagne quand on dit Galtier,
08:24 qui entraîne le PSG, tout ce qui s'est passé, etc.
08:27 Fonseca, je trouve qu'il fait bien jouer ses équipes,
08:30 mais il prend beaucoup de buts.
08:34 Fonseca, tu vois, je pense qu'il est surcoté,
08:36 mais je peux me tromper, l'année prochaine, il peut briller avec l'OM.
08:39 Entre les deux, là, Christophe.
08:44 Moi, aucun des deux.
08:45 Enfin, si j'ai…
08:47 Ouais, tu peux me dire aucun des deux, c'est vraiment…
08:49 Je dirais plus Fonseca, tu vois, parce que je trouve quand même qu'avec les effectifs
08:54 qu'il a ces dernières années, il fait quand même de beaux classements.
08:57 Il est quatrième, là, ils sont quatrièmes, si je dis pas de bêtises.
09:01 Donc, moi, je dirais Fonseca.
09:03 Et puis, Galtier, le vieil d'âge qui dit nul n'est tempereur.
09:08 Prophète.
09:08 Prophète dans son propre pays.
09:11 Donc, non, plutôt Fonseca, ouais.
09:14 Bernard ?
09:15 Moi, je dirais Galette pour le challenge.
09:17 Même si je partage l'avis, c'est très compliqué en tant que Marseillais
09:20 de réussir à Marseille.
09:22 Mais je pense que quelque part au fond de lui, ça fait quelques années
09:26 que ça doit un peu le démanger.
09:27 Alors, même s'il y a eu la parenthèse de Paris, mais bon, je pense qu'il y a
09:30 un moment donné qu'il faut passer au-dessus de ça.
09:32 Ouais, moi, c'est même pas tant pour ça, ça me dérange pas.
09:35 Ça me dérange pas.
09:37 C'est pas tant le fait qu'il ait entraîné Paris, c'est vraiment pour le côté
09:43 Marseillais à Marseille.
09:44 Voilà, je le…
09:45 Non, c'est pas évident.
09:46 Je pense pas que ce soit…
09:47 C'est pas évident, mais bon…
09:48 Mais c'est évident pour personne.
09:50 Ouais, ouais, ouais.
09:51 Ouais, l'avantage c'est qu'il connaît bien le contexte.
09:54 Ça peut aider.
09:56 Il y a Pledge Guinaud qui nous dit « une mauvaise préparation physique d'avant-saison
10:00 ne serait-elle pas la cause de toutes ces blessures ? »
10:03 Je venais parler à le début de l'émission.
10:04 Blessure ?
10:04 Je venais parler à le début de l'émission.
10:05 C'est une des causes.
10:06 Parce qu'il y a des blessures où t'y peux rien.
10:08 Comme Pape Gueye, il met un coup de genou, il massacre Gigo.
10:12 Ben, il y peut rien.
10:15 On remet des salariés, on met des ballons.
10:16 Après, tout ce qui est blessure musculaire, c'est obligatoirement une des causes à effet.
10:22 Ouais, il y en a beaucoup.
10:23 On nous parle, je vois Toupac92Easy qui nous dit « Abibaye ».
10:28 J'ai vu passer un francaise aussi.
10:30 On est toujours sur le côté coach.
10:32 Abibaye, là je me mouille, mais pas du tout.
10:35 Ah ouais ?
10:36 Abibaye ?
10:37 Pour quelle raison ?
10:40 Pour une année de transition comme ça où tu pars, non ?
10:43 Je vais me retenir.
10:46 Allez Michel, ça va.
10:49 On en parlera après.
10:50 Non, mais il entraîne le Red Star déjà.
10:52 Ouais, c'est un club…
10:54 Il donne beaucoup de leçons, il donne ses commentaires.
10:57 Ouais, ça c'est vrai.
10:59 C'est un professeur.
11:01 Voilà, je vais arrêter là.
11:03 Tiens, il y a un Nico Hamskas qui nous dit « Bernard, tu signes pour un 0-5 dimanche. »
11:07 Donc 5-0 pour Paris.
11:09 Ce n'était pas assez clair.
11:11 « C'est victoire à Lille et qualif' Europa League en récupérant les blessés. »
11:16 Donc une bonne fessée, mais après ça va mieux.
11:21 Mais grosse fessée quand même.
11:23 Je sais ce qu'il va répondre.
11:24 Le 0-5, moi je gêne.
11:26 Si tu m'avais dit « tu perds 2-0 et tu gagnes les deux »,
11:28 si je te dis « ça va, mais 0-5… »
11:31 Moi je prête 5 fois au titre personnel.
11:33 Je signe de suite.
11:34 Je comprends, mais moi je vais détourner la proposition.
11:38 Si tu gagnes 5-0 contre Paris, tu ne gagneras pas à Lille.
11:41 Tu es au fond du saut.
11:43 Je ne vois pas comment tu peux gagner à Lille et éliminer Benfica
11:47 en ayant perdu 5-0, le stade qui tremble.
11:50 C'est pour ça que je te dis que le 5 me gêne.
11:52 Tu m'avais dit « tu perds 2-1 et je signe. »
11:55 Oui, c'est tout le dilemme de la question.
11:58 Je te réponds.
12:00 Excusez-nous.
12:01 On est d'accord avec Michel.
12:03 Oui, bien évidemment.
12:04 Moi aussi, je vais en vagon, je signe.
12:06 Je ne joue pas là.
12:08 Tu me suis quand même.
12:09 J'ai compris.
12:10 Tu prends 3 points sur les 6 prochains points en championnat
12:14 et tu te qualifies en demi-finale d'Europa League.
12:17 Oui, mais attention.
12:18 Tu as quoi ? Tu as moins 5 à goût ?
12:20 Ce que dit Michel, c'est important.
12:22 Tu prends 5 chez toi contre Paris au Vélodrome.
12:25 Ça t'est arrivé.
12:26 Non, non, non.
12:27 5, tu en as pris 3 l'année dernière.
12:30 Tu en as pris 3 l'année dernière.
12:33 D'ailleurs, après, tu as un ESI et tu n'y es plus du tout.
12:37 Il faut une camionne de Temesta.
12:39 Attention.
12:40 Faut-il préférer gagner la Ligue Europa et que Paris gagne la Ligue des Champions
12:46 ou que les deux perdent en demi ?
12:48 Premier.
12:49 Premier.
12:50 On serait encore plus jamais les premiers.
12:52 On serait qualifiés pour la Ligue des Champions.
12:54 On serait les premiers à gagner deux Coupes d'Europe.
12:56 Premiers en Europa League, eux, même pas, ils auraient la joie.
12:59 Techniquement, ils auraient gagné deux Coupes d'Europe eux aussi.
13:02 Non, pas deux Coupes d'Europe.
13:03 D'accord.
13:04 On serait les premiers à en gagner deux.
13:06 La Coupe des Coupes.
13:07 La Coupe des Coupes.
13:08 La Coupe des Coupes.
13:09 Oui.
13:10 La Coupe des Coupes, exactement.
13:12 Contre le rapide de la Vienne.
13:13 L'équivalent de l'Inter-Toto.
13:14 96.
13:15 Du coup, on peut calculer, nous, l'Inter-Toto, ça ferait 3.
13:18 Pas con.
13:19 Soyez honnêtes, elles n'étaient pas si mal, leurs Coupes.
13:23 Ils gagnent Barcelone en quart de finale, de mémoire.
13:26 Je crois que c'était le Deportivo de Bebeto en demi.
13:28 Ils avaient un parcours honorable.
13:31 Et nous, n'oublions pas que c'était Glenn Thoran aussi et compagnie sur nos tours
13:37 précédentes.
13:38 Effectivement, on avait le boss de fin en finale, mais on avait un peu d'autres choses
13:43 derrière.
13:44 Balance ton tube préférée, c'est un sacré hashtag que vous me proposez.
13:48 Merci les amis.
13:50 Voilà, on s'est fait une heure.
13:52 On a une idée, on a un plan.
13:55 Je ne vais pas te charger, Michel, de ça.
13:58 On se voit dimanche.
13:59 On se voit dimanche, mais on sait que l'Imane Ndiaye latérale droite, ça peut nous...
14:04 On peut s'articuler.
14:05 Bien sûr, il faudra attendre l'état de tous les autres.
14:08 Peut-être, messieurs, qu'on a construit ce soir les bases de la fin de saison de l'OM.
14:14 Tu penses que Bernard, il peut envoyer l'émission à Jean-Louis ?
14:17 Comme il m'a répondu, il a autre chose à faire, à penser, d'ici dimanche.
14:23 Non, mais bon, en tout cas, c'est cohérent.
14:26 Par rapport aux forces en présence, le 11 décembre, pour moi, est cohérent.
14:30 Non, mais juste, parce qu'il avait en parlé, mais moi, je vous le dis, une fois, on en avait discuté bien avant que Jean-Louis Gassé soit là.
14:37 Mais une fois, j'avais parlé avec Bernard de Jean-Louis Gassé.
14:40 J'ai dit, curieux, parce que vous vous êtes connus à Istres.
14:42 Et alors qu'ils étaient à Istres, voilà, avec tout ce que ça implique, un club qui redescendait de Ligue 1,
14:48 qui était en Ligue 2, qui n'avait pas forcément les objectifs attendus, tout ça.
14:52 Tu m'avais dit un jour, Jean-Louis Gassé, alors que vous étiez pas forcément dans une bonne dynamique,
14:57 t'avais dit, Bernard, mais moi, je suis fait pour entraîner des grands joueurs et tout.
15:01 Et sur le coup, il fallait être costaud pour lui dire, oui, Jean-Louis tient raison.
15:06 Quelques années plus tard, tu l'as vu à Joan-Laurent Blanc, à Bordeaux, en équipe de France, à Paris.
15:10 Tu m'avais appelé pour faire un papier quand Jean-Louis Gassé a été nommé.
15:12 Exactement. Vous l'avez retrouvé sur le fossé.
15:14 Je t'ai dit quoi ? Je t'ai dit, ça va aller de suite beaucoup mieux.
15:16 Et ça a été beaucoup mieux.
15:18 Après, je ne suis pas à la prétention de tout savoir dans le foot, mais je voyais quand même des choses qui m'ont choqué en début de saison,
15:24 qui m'ont choqué après. Je savais très bien qu'il allait déjà remettre les gens à l'endroit,
15:29 sur le plan psychologique et sur le plan du terrain.
15:31 Donc après, à un moment donné, il n'y a pas que au football, il y a des fois des choses très simples qui fonctionnent.
15:37 Alors, Messieurs, on va finir avec un pronostic.
15:39 Oui, je ne suis pas fan, moi non plus, Michel.
15:42 Tout peut se passer dans un match de foot, sinon on ne regarderait pas le foot.
15:45 Je suis d'accord avec toi, mais voilà, ça nous donne aussi une petite tendance.
15:51 0-2 pour garder les têtes à l'endroit.
15:57 Bernard ?
16:01 Je vais parier sur un machin à la mitagne.
16:06 C'est pas mal.
16:08 Ça existe, cette cote existe.
16:10 Il suit son tchèque.
16:11 Non, non, je ne vous dis pas comment. Je vous dis que moi, je parie sur un machin à la mitagne.
16:16 En fait, tu feras le pronom à la mitagne.
16:17 Après, ça veut dire beaucoup de choses. Après, tu peux éclater un second mitagne.
16:21 Mais moi, j'espère que ce soit dans le match à la mitagne.
16:25 Michel ?
16:28 1-3.
16:33 1-3. Voilà, pour ceux qui nous regardent, ça reste quand même une émission.
16:39 On n'est pas là à dire qu'on est aux Olympiques de Marseille, on va gagner 1 000-0 et compagnie.
16:43 On essaie d'être le plus réaliste possible.
16:45 Voilà, messieurs, merci. Merci encore.
16:50 Merci Bernard pour ce retour, presque tout droit débarqué du bateau.
16:54 Pas loin, ouais.
16:55 Pas loin, ils sont derrière. Tu l'as garé un peu derrière, je crois.
16:58 Merci à vous.
16:59 Merci, merci. Et puis on te retrouve vite si tu es un peu dans les parages.
17:02 Je suis là jusqu'au 19 avril.
17:05 On va profiter de toi, tout simplement.
17:09 De l'incalibre de l'OM, de la demi-finale.
17:11 Eh ben si ce n'est pas beau, ça y est, il repartira le cœur léger en se disant
17:14 "J'ai remis ce club dans cette dynamique avec une idée pendant le coach Ceno".
17:18 Parce que tout est parti de là.
17:20 Donc si vous avez raté ce moment de l'émission, faites-vous le replay, vous serez au début de l'histoire.
17:25 Merci de nous avoir suivis. On se retrouve dès demain.
17:28 Tiens, prochain rendez-vous sur le Fosse 1 OM au café.
17:31 Je serai plateau 7, c'est tout au bout du couloir.
17:36 Studio d'enregistrement, je serai avec Daniel Riolo en visio.
17:40 On parlera notamment de la dernière revue de Lafter et de Faris Moumbadia, bien évidemment.
17:47 Bonne soirée à tous. On se retrouve demain. Portez-vous bien. Salut.
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