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Pluralisme : Roch-Olivier Maistre assure qu'il n'y aura pas de "fichage" des intervenants à la télé et à la radio
Puremedias
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27/03/2024
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News
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00:00
Sonia De Villere, il est 7h48, votre invité ce matin est le président de l'ARCOM, l'Autorité
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de Régulation de l'Audiovisuel et du Numérique.
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Qu'on qualifie familièrement Nicolas de « gendarme de l'audiovisuel » et qui
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semble voué à devenir plus gendarme que jamais.
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Le Conseil d'État a rendu une décision coup de poing, jusqu'à présent on décomptait
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le temps de parole des politiques pour s'assurer que nos radios et nos télévisions respectaient
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le pluralisme.
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Désormais, il faudrait prendre en compte, je cite, « la diversité des courants de
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pensée et d'opinion de toute personne s'exprimant à l'antenne ».
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Bonjour Roc Olivier Maestre, cette décision a été rendue suite à un recours de l'Association
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Reporter Sans Frontières concernant la chaîne d'information CNews.
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Est-ce qu'elle s'applique néanmoins à toutes les télés et toutes les radios ?
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Elle s'applique à toutes les télés et à toutes les radios.
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Il faut rappeler que dans notre cadre juridique, les éditeurs de chaînes de radio et de télévision
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sont soumises à une règle qui est le respect du pluralisme des courants de pensée et d'opinion.
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C'est un principe de valeur constitutionnel, le Conseil constitutionnel a souligné.
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C'était indissociable de la démocratie et du pluralisme.
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On le comprend bien évidemment.
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Elle s'applique déjà la décision du Conseil d'État ?
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Elle s'applique d'ores et déjà.
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Depuis le 13 février date de cette décision.
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Et donc les éditeurs doivent se mettre en ordre de marche pour que l'ensemble de leur
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programme, l'ensemble des intervenants, assurent une pluralité des courants de pensée et d'opinion.
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Alors concrètement, ça veut dire quoi « toutes les personnes présentes sur un plateau » ?
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Ça veut dire que le temps de parole des personnalités politiques, qu'on décomptait déjà, ça
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ne bouge pas ?
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On continue à le faire, y compris en période électorale, bien évidemment, où ce contrôle
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est renforcé, comme vous le savez.
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Est-ce que vous pouvez préciser ce que c'est qu'une personnalité politique ?
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C'est forcément quelqu'un inscrit dans un parti ?
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Le départ, c'est bien évidemment un lien organique avec un mandat électif, un député,
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un maire, un conseiller général, un conseiller régional.
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C'est quelqu'un qui est effectivement encarté dans un parti politique.
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Mais la jurisprudence du Conseil d'État laisse au régulateur un certain pouvoir d'appréciation
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de personnalités qui sont sorties de la vie politique au sens où ils n'ont plus de mandat
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politique ou qui ne sont plus encartés, mais qui néanmoins restent des acteurs politiques.
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Exemple qu'on a eu récemment, Philippe de Villiers n'est plus encarté, n'est plus
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membre d'un parti politique, mais il est présent dans les médias et ses tribunes
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sont considérées comme des tribunes de nature politique.
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Donc, on le continue de ce type de choses.
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D'accord, donc ça c'était déjà le cas.
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À partir de maintenant, est-ce qu'on va cataloguer les chanteurs de droite et les
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chanteurs de gauche, les acteurs de droite et les acteurs de gauche, les historiens de
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droite et les historiens de gauche, les chefs d'entreprises de droite et les chefs d'entreprises
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de gauche ?
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Je suis très clair là-dessus, il n'est pas question de rentrer dans un catalogage,
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dans un fichage, j'ai vu ce mot-ci être utilisé, dans un étiquetage de tous les
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intervenants sur les plateaux de télévision ou sur les antennes de radio.
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Ce n'est pas ce que le Conseil d'État nous demande.
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Le Conseil d'État nous demande d'élargir notre focale, comme on dit en photographie,
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d'avoir un regard plus large sur l'appréciation du pluralisme et effectivement d'avoir un
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regard plus global sur l'ensemble des programmes, l'ensemble des intervenants, pour voir s'il
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n'y a pas un déséquilibre manifeste et durable au principe du pluralisme.
02:50
C'est ça qu'il nous a demandé.
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Ce n'est pas une question de catalogage.
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Vous parlez des invités, parce que par exemple, est-ce qu'on veut savoir ce que vote ou dans
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quel courant s'inscrit Anne-Sophie Lapix qui présente le JT de 20h sur la 2 ou Gilles
03:01
Bouleau, celui du 20h sur la 1 ? Est-ce que ça vaut pour les présentateurs et pour les
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journalistes ?
03:07
Ce n'est pas un contrôle programme par programme qu'il nous a demandé, c'est un contrôle
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dans la globalité.
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On prend un éditeur, on regarde ses programmes, comme pour le pluralisme politique.
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Le pluralisme politique s'apprécie sur le trimestre en période normale.
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Quand vous invitez une personnalité le lundi d'une certaine couleur, vous créez un déséquilibre
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instantané et puis vous le compensez quelques jours après en invitant une personnalité
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d'une autre couleur.
03:25
Là, c'est la même chose.
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On appréciera dans la durée, sur une certaine durée qu'on va déterminer, puisqu'on travaille
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sur le sujet, si les programmes manifestent un déséquilibre, manifeste, durable au regard
03:37
du principe du pluralisme.
03:38
Est-ce que vous allez prendre en compte les éditorialistes par exemple ?
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En d'autres termes, Sonia Devilleur, ce que veut dire cette décision, c'est quoi ?
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On ne peut pas, dans le cadre juridique, en vigueur en France, avoir une chaîne d'opinion,
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ni en radio, ni en télévision.
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C'est ça que veut dire cette décision.
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On ne peut pas avoir un média qui ne développe qu'un courant de pensée.
03:58
Il faut avoir un pluralisme des courants de pensée et d'opinion.
04:01
C'est ça que veut dire la décision et c'est ça qu'on nous demande de vérifier.
04:03
Je ne vous dis pas que le travail va être simple.
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Le Conseil d'État nous laisse six mois, il y a peut-être une raison pour cela.
04:08
Sauf que ce que je ne comprends pas, Président, c'est comment on peut se faire une idée
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globale sans compter ?
04:13
C'est-à-dire comment on peut se faire une idée globale des plateaux de CNews, qui
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est régulièrement accusée d'être une chaîne d'opinion et plus une chaîne d'information,
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sans prendre chacun des éditorialistes qui sont autour de la table et se demander d'où
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ils viennent et au nom de quoi ils parlent ?
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Non, c'est ça qui est difficile dans la mise en œuvre.
04:30
Je ne vous dis pas que ce sera simple, bien évidemment pour le régulateur.
04:33
L'idée, ce sera de prendre un faisceau d'indices sur une certaine durée, quelles sont les
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thématiques traitées, est-ce que c'est traité par une pluralité d'intervenants,
04:44
si vous avez toujours les mêmes intervenants, vous avez une présomption, et quel sens d'expression
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est pris sur telle ou telle thématique dans la durée.
04:53
Y a-t-il un déséquilibre manifeste et durable ou pas ? C'est dans ce sens-là que le régulateur
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va travailler.
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C'est intéressant parce que ce que vous dites, ce n'est pas seulement qui parle,
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c'est aussi de quoi on parle.
05:04
Est-ce qu'on traite en continu d'immigration, de sécurité, de trafic de drogue ou est-ce
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qu'on parle d'écologie ?
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Tout à fait, mais en rappelant un principe de base, qui est la liberté éditoriale des
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médias.
05:15
Je souhaite le souligner.
05:16
Un éditeur, bien évidemment, est tout à fait libre de choisir les thèmes qu'il
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veut traiter et la façon dont il les traite.
05:20
Il est libre de choisir les intervenants qu'il veut inviter sur ses plateaux.
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Ce n'est pas l'Arkom qui fait les programmes de radio et de télévision, ce n'est pas
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l'Arkom qui choisit les invités sur les plateaux.
05:29
La seule chose, c'est que l'éditeur est tenu de veiller à un certain équilibrage
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dans le traitement des informations, en particulier, qu'il est amené à couvrir sur ses antennes.
05:39
Alors, les Français ne le savent peut-être pas, Olivier Maistre, mais les chaînes de
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télévision émettent grâce à des fréquences qui appartiennent à l'État.
05:46
Et là, il y a 15 chaînes qui arrivent au bout de leur autorisation et de leur fréquence.
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Leur fréquence est remise en jeu.
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Il y a LCI, il y a BFM, il y a W9, il y a TMC, la chaîne de quotidien avec Yann Barthez,
05:57
il y a C8, la chaîne de Cyril Hanouna, il y a CNews.
06:00
Vont-elles être candidate à leur prolongement ou pas ? Allez-vous les y autoriser ou pas
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et qui prendrait alors leur place ? C'est du jamais vu.
06:10
Oui, c'est un épisode inédit puisqu'effectivement, on a 15 chaînes qui arrivent en fin d'autorisation
06:15
en 2025.
06:16
C'est la moitié des chaînes de la TNT et la TNT, c'est très important.
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C'est ce que regardent beaucoup les Français.
06:20
Ils regardent plus de deux heures et demie la télévision en moyenne chaque jour.
06:22
Donc, ça intéresse directement les Français.
06:24
Vous l'avez dit, il faut le rappeler, ces éditeurs occupent le domaine public de l'État.
06:30
Ils occupent des fréquences qui appartiennent à nous tous.
06:32
C'est un bien public qui est attribué après une procédure d'appel à candidature pour
06:36
une durée limitée.
06:37
10 ans la première autorisation qui peut être renouvelée pour 5 ans.
06:40
Et là, on a 15 chaînes qui arrivent en fin d'autorisation.
06:42
Donc, appel à candidature, on verra le 15 mai puisque les dossiers sont attendus pour
06:46
le 15 mai.
06:47
On auditionnera ensuite les candidats présélectionnés au cours du mois de juillet et on choisira
06:53
fin juillet pour ensuite mettre au point les conventions qui vont lier ces éditeurs au
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régulateur.
06:59
Est-ce que le jeu est ouvert ? Je vous pose la question parce qu'il y a deux fréquences
07:02
qui ont déjà été remises sur le marché, celle de TF1 et celle d'M6.
07:05
Xavier Niel était candidat pour reprendre celle d'M6, candidat malheureux.
07:09
Et là, il n'y va pas par quatre chemins.
07:11
Il estime que les dés sont pipés, que vous avez peur de la nouveauté, que vous avez
07:14
peur de la concurrence, que ce sont toujours les mêmes barons, je résume sa pensée,
07:17
qui détiennent les clés de la télé française et que l'année prochaine, fois deux milliardaires
07:21
qui en a marre de prendre des baffes, ce sera la même chose.
07:23
Candidat malheureux, vous avez dit les choses, d'où peut-être certaines expressions.
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C'est un bon exemple.
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Il y avait deux fréquences disponibles, trois candidats et trois candidatures très intéressantes,
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de qualité et qui d'ailleurs ont fait bouger les choses.
07:35
Puisque le fait qu'il y ait un troisième candidat, qu'il y ait de la concurrence,
07:37
fait que les deux autres candidats ont fait bouger leur offre incontestablement.
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Sur 15 fréquences, on va voir ce qui se présente.
07:44
Mais oui, le jeu est ouvert.
07:45
Le jeu est ouvert, je le dis très simplement.
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Et le régulateur choisit en fonction des critères qui sont posés par la loi.
07:52
D'abord le pluralisme, au sens pluralisme externe, avoir une grande diversité d'opérateurs.
07:57
Et puis bien évidemment l'intérêt du public pour offrir au public une grande palette
08:00
de programmes, des chaînes généralistes, des chaînes d'information, des chaînes thématiques.
08:04
Alors avant chaque autorisation d'émettre, vous venez de le dire, il y a une convention.
08:08
C'est une sorte de cahier des charges que les chaînes doivent s'engager à respecter.
08:12
Ça veut dire que pour les chaînes qui existent déjà et qui veulent simplement continuer
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d'exister, la convention va rester en l'état ou vous allez modifier les conventions ?
08:22
On repart d'une feuille blanche Sonia De Villers.
08:24
L'exemple de TF1 et M6 est intéressant.
08:26
On a revu très sensiblement ces conventions.
08:29
On les a très largement réécrites.
08:31
D'abord parce que le droit a changé depuis le moment où on a autorisé ces chaînes.
08:36
On a pris en compte, et c'est ça les conventions, elles prennent en compte les engagements
08:41
que l'éditeur prend devant le régulateur dans son dossier de candidature, mais aussi
08:45
dans les auditions publiques qui se tiennent.
08:47
Donc c'est des engagements qu'ils prennent devant les Français et qu'on consigne tel
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un notaire dans la convention.
08:52
Et ensuite ce régime, c'est nous qui allons le contrôler.
08:55
Vous avez utilisé l'expression de gendarme.
08:56
C'est en se fondant sur ces textes qu'ensuite on interviendra.
08:59
Mise en garde, mise en demeure ou éventuellement sanction s'il y a manquement.
09:02
C News et C8 qui appartiennent à Vincent Bolloré cumulent 42 procédures depuis 2012,
09:07
dont 6 depuis le début de l'année.
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En février 2023, 3,5 millions d'euros d'amendes ont été infligés à C8 après
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une sortie de Cyril Hanouna.
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Est-ce que ça va peser dans votre décision de renouveler ou non leur autorisation d'émettre ?
09:24
Vous voyez que le régulateur est actif en tout cas.
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Il ne regarde pas passer les trains.
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Il interviendra à chaque fois que c'est nécessaire bien évidemment.
09:31
C'est un critère.
09:32
Ce n'est pas le seul critère, mais c'est un critère.
09:35
Bien évidemment, le respect par un éditeur de ses obligations à l'égard du régulateur,
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bien évidemment c'est un critère que le régulateur prend en compte.
09:41
C News est-elle une chaîne d'information comme les autres ?
09:44
Je vous pose la question, Roque-Livier Maestre, parce que certains candidats aux élections
09:47
européennes refusent d'aller y débattre au motif que justement ce n'est pas une
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chaîne d'information comme les autres.
09:54
C News a été autorisé comme chaîne d'information et dans sa décision du Conseil d'État,
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le Conseil d'État a considéré que C News respectait sa convention.
10:01
Donc elle était bien dans ce format-là.
10:02
Je ne porterai pas de jugement supplémentaire puisque C News fait partie des chaînes qui
10:06
sont dans l'appel à candidature et donc je ne vais pas préjuger bien évidemment
10:10
au regard du principe d'impartialité ce que sera la position du régulateur à l'égard
10:13
ses élites.
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