04:55 - Mais oui, c'est pour ça que j'ai dit "je viens", quand tu m'as appelé, enfin, Léo m'a appelé,
04:59 j'ai dit "bien sûr, je vais venir voir Zaza", mais, enfin, Isabelle, mais...
05:02 - Et après, votre neveu, peut-être aussi, peut-être...
05:05 - Mais mes neveux, je...
05:06 - Vous envoiez de lui dire un petit mot, de ne pas avoir été...
05:08 - Mes neveux, je leur parle assez régulièrement, je les ai eus pour Noël, je vais les voir bientôt, voilà.
05:12 - Ils vous en veulent pas ?
05:13 - Non.
05:14 - Non.
05:15 - Donc, ça y est, c'est reparti, là ?
05:16 - C'est un peu la chance qu'on s'est destinée, quoi.
05:18 - Vous vous êtes pas vu depuis combien de temps ?
05:19 - Ça fait un bout de temps qu'on s'est pas vu.
05:21 - Combien de temps ?
05:22 - Cet été ?
05:23 - Non, même avant, parce qu'on s'est pas vu l'été avant.
05:24 - Il vous a manqué, il vous a manqué ou pas ?
05:25 - Oui.
05:26 - Vous l'aviez régulièrement, avant ?
05:28 - On s'appelait, oui, depuis un moment, oui, on se revoit régulièrement, parce que moi, maintenant, j'habite le sud, donc c'est vrai qu'on se voit moins.
05:36 - Oui.
05:37 - Et la mort de notre papa nous a rapprochés aussi.
05:40 - Vous êtes contente de le voir, ce soir ?
05:42 - Oui, ça me fait plaisir.
05:43 - Bah, moi aussi.
05:44 - Bah, oui.
05:45 - C'est pour ça que je suis venu te voir, parce qu'au mesure où moi, je vais te voir là, tu vois, entouré de beaux mecs, de jolies femmes...
05:50 - Ça va, toi ?
05:51 - Et de mon copain...
05:52 - Après, il faut que tu changes de lunettes, hein.
05:54 - Je dis ça pour les beaux mecs.
05:56 - Ah, oui.
05:57 - On n'est pas terrible.
05:58 - C'est nous trois.
05:59 - Mais moi, Raymond, c'est mon stigdom.
06:01 - C'est nous trois, les beaux mecs.
06:02 - Moi, Raymond, c'est mon stigdom.
06:03 - En plus, il me défend à l'antenne et il fait encore le buzz avec un mot qu'il n'aurait pas dû dire sur les femmes qui travaillent sur l'ancienne...
06:11 - Oui, c'est vrai.
06:12 - Mais oui, c'est un peu toujours... Tu sais, je suis quand même un électron libre, donc des fois, je dis des trucs, mais tu vois, je suis vraiment, tellement content qu'Isabelle soit comme chroniqueuse chez toi.
06:19 - Je t'adore.
06:20 - C'est une joie. Elle est géniale. C'est une joie en lice extraordinaire. Et je t'assure, elle va révolutionner dans ton cas.