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00:00 [Musique]
00:16 Bonjour, moi je suis de la région parisienne mais j'ai de la famille en province.
00:23 Et je voulais soutenir les petits producteurs, les gens qui font le maraîchage,
00:31 les gens qui se battent pour faire des beaux produits en France.
00:35 Donc je voulais venir soutenir les agriculteurs qui vraiment font du bon travail,
00:42 essayent de faire du mieux qu'ils peuvent, avec des difficultés que l'on connaît
00:47 puisqu'ils ne peuvent pas vivre dignement de leur travail.
00:51 Les prix à l'achat sont inférieurs aux coûts de production.
00:58 Donc on voit bien que c'est une question de survie pour eux.
01:02 Il y a eu plein d'agriculteurs qui ont très bien parlé des indépendants, des autonomes,
01:07 qui expliquent que les prix fixés à la base ne dégagent aucun bénéfice
01:14 et en plus ils ne fixent pas leurs prix.
01:20 Ce n'est pas eux qui décident du prix de vente.
01:22 Donc voilà, c'est terrible.
01:24 Deux suicides par jour, c'est terrible.
01:26 Donc moi je voulais venir ici pour soutenir les petits producteurs, les indépendants.
01:31 Et puis je n'ai pas accès au hall numéro 1 où déjà on a attendu plus d'une heure dehors
01:40 que les portes du salon s'ouvrent.
01:42 Donc c'était un peu compliqué et aucune explication naturellement.
01:47 Et puis là, ça fait un petit moment qu'on essaye d'accéder au hall numéro 1.
01:52 On est bloqué.
01:53 On n'a pas moyen d'accéder.
01:56 Et je trouve ça vraiment triste parce qu'on nous explique qu'il y a des officiels à côté
02:02 et que du coup on régule l'accès.
02:05 Et nous on aimerait juste pouvoir se déplacer librement dans un espace public.
02:13 Pour moi ça représente le respect des droits fondamentaux, se déplacer.
02:20 On a payé notre entrée et on vient voir des producteurs soutenir la qualité du travail français.
02:27 Voilà, donc je trouve ça triste et inquiétant dans le contexte actuel.
02:33 Parce qu'on voit par exemple qu'on nous annonce encore toujours davantage d'austérité
02:41 avec des coupes dans les budgets qui étaient prévus pour la santé,
02:48 pour les violences faites aux femmes, enfin voilà,
02:52 tous les secteurs qui sont très importants.
02:55 Et par contre, j'ai été très choquée de voir dans le même temps, comme ils disent,
03:02 le président qui distribue 3 milliards à monsieur Zelensky sans passer par l'Assemblée nationale.
03:09 J'ai été très choquée qu'on puisse prendre dans les impôts 3 milliards
03:14 alors qu'on nous explique qu'on est en crise, que la dette est énorme
03:18 et que tout le monde doit se serrer la ceinture.
03:21 Donc franchement j'ai trouvé ça très choquant.
03:24 Sans parler de négocier la paix, j'ai l'impression que c'est de l'argent
03:29 qui va envoyer encore plus de jeunes ukrainiens à la boucherie, à la guerre.
03:34 Donc voilà, c'est morbide.
03:37 Et donc ce gouvernement, je trouve, est vraiment méprisant
03:44 et n'a pas les compétences qu'il veut faire croire qu'il a.
03:50 Par exemple, j'ai été très choquée quand j'ai vu qu'on parlait des normes pour les agriculteurs,
03:57 que monsieur Macron voulait faire comme une espèce de combat de coq
04:02 et qu'il avait voulu avoir d'un côté la FNSEA qui se battait avec les soulèvements de la terre
04:09 de manière à créer du buzz et faire de l'animation
04:14 alors qu'en fait les gens sont très en colère contre sa politique à lui
04:18 puisqu'en fait, comme c'est quelqu'un qui gouverne beaucoup par décret,
04:24 qu'attend-il pour traverser son bureau ?
04:26 Il nous disait de traverser la rue, lui pourrait traverser son bureau pour faire un décret
04:30 et fixer des prix planchers réévalués pour les producteurs, les agriculteurs.
04:36 On a vu qu'au Canada, par exemple, les producteurs de lait étaient protégés
04:41 parce qu'ils gèrent les quotas et ils gèrent les volumes et les prix.
04:48 Et donc quand il y a une grosse production canadienne,
04:52 ils élèvent les prix, les taxes à la frontière,
04:55 ils empêchent l'importation massive pour protéger leur secteur, c'est normal,
05:00 et ils gèrent leur production.
05:03 Et quand ils ont moins de production, ils baissent les taxes à la frontière
05:08 pour favoriser l'importation de produits américains.
05:11 Donc si ça marche pour le lait au Canada,
05:14 pourquoi on n'est pas capable de faire la même chose pour protéger nos producteurs en France ?
05:18 Il y a des gens qui font des choses qui fonctionnent.
05:22 Normalement, les producteurs, les maraîchers,
05:25 ils devraient pouvoir faire leur facturation.
05:28 C'est quand même aberrant qu'il n'y ait pas des prix adossés aux coûts de production.
05:37 Normalement, les prix devraient être adossés aux prix de production.
05:40 On ne doit pas acheter à quelqu'un un produit moins cher
05:44 qu'il a investi pour le fabriquer.
05:47 Ça me paraît le bon sens, et c'est un manque de respect
05:52 de faire croire que le problème c'est l'écologie ou autre chose.
05:55 Le problème, c'est que les gens sont sous perfusion.
06:00 Les agriculteurs, ils ne veulent pas vivre des aides de l'APAC de l'Europe.
06:05 Ils ne veulent pas vivre sous perfusion, ils veulent vivre dignement de leur travail,
06:09 comme tous les Français.
06:11 Donc moi, je me reconnais vraiment dans les agriculteurs,
06:14 les petits producteurs qui veulent vivre dignement et non pas survivre
06:18 avec des aides qui ne reconnaissent pas leurs efforts.
06:23 Oui.
06:25 Ben oui.
06:26 Parce qu'en fait, sa politique est liberticide
06:30 et elle ne défend pas les intérêts des citoyens.
06:34 Voilà.
06:35 Et moi, je suis vraiment ulcéré quand je vois comment ils traitent les corps intermédiaires
06:41 et comment les corps intermédiaires, les syndicats réagissent également.
06:45 On a bien vu là comment on promenait des tracteurs sans difficulté,
06:51 on voyait du lisier déversé contre des préfectures ou certains endroits,
06:57 et en fait, il n'y avait aucun problème.
07:00 Moi, quand j'ai participé à des manifestations pacifiques de Gilets jaunes,
07:04 je me suis pris du gaz lacrymogène,
07:06 j'ai pris un éclat de grenades de désencerclement lacrymo.
07:12 Voilà, il y a deux poids, deux mesures.
07:14 Et voilà, moi, je dis à un syndicat pour être efficace et bien défendre les gens,
07:19 il ne faut pas qu'il prenne de subventions de personne,
07:22 ni de l'Europe, ni de l'État, ni des patrons.
07:26 Et moi, je ne connais que le syndicat des Gilets jaunes
07:28 qui travaille pour défendre les adhérents en ayant complètement les mains libres,
07:34 puisqu'on voit bien qu'il y a de la corruption à plein de niveaux,
07:40 et c'est très, très choquant.
07:42 Et M. Macron le sait très bien, il joue de ça.
07:45 Et là, malheureusement, il promène les agriculteurs
07:48 avec des fausses négociations sur des petits points de détail.
07:55 En fait, le problème, c'est le revenu des agriculteurs.
07:58 Il faut vraiment travailler sur l'imposition,
08:02 il faut remettre tout le système à plat.
08:04 La PAC, l'imposition, la transmission familiale,
08:08 mais surtout, la base, c'est le revenu que les gens puissent vivre de leur travail dignement.
08:14 Depuis la crise Covid, on nous parle, nous sommes en guerre,
08:18 et on voit toujours, il faut réarmer le pays, réarmer, réarmer.
08:22 On demande aux enfants de mettre des uniformes à l'école.
08:26 On a vécu quand même un épisode dramatique avec les confinements
08:32 qui ont vraiment asséné un coup de bassus sur l'économie
08:37 qui était déjà très, très mal en point.
08:40 Donc, on entend toujours ce discours "va t'en guerre" de plus en plus fort.
08:45 Et franchement, je trouve ça terrible.
08:48 Je suis très choquée par la politique qui est menée à coup de 49-3,
08:53 contre la population, avec l'article 4, la dernière loi contre les dérives sectaires,
09:00 rien à voir avec les sectes.
09:03 Je trouve ça gravissime.
09:06 L'évolution est vraiment terrible.
09:10 Moi, je dirais une tyrannie, parce qu'il y a toujours pire ailleurs.
09:14 Effectivement, on va nous dire "tel pays massacre les gens".
09:19 Moi, je dirais que c'est une tyrannie.
09:23 J'ai vécu une situation très proche de l'apartheid.
09:28 Quand je n'avais pas mon pass sanitaire, je ne pouvais pas me déplacer normalement.
09:34 J'aimerais bien qu'on lève le secret défense maintenant,
09:40 parce que je ne vois pas le rapport, le secret défense, pendant la crise du Covid.
09:45 Pourquoi ils ont occulté les raisons, les études médicales, scientifiques,
09:51 qui faisaient qu'ils ont confiné tout le monde.
09:55 On a enfermé les gens non malades chez eux.
09:58 Moi, avec ma formation de soignante, j'avais appris à isoler les gens malades,
10:03 pour les soigner et pour protéger leur entourage.
10:06 Là, on a enfermé les gens, on a créé des clusters familiaux,
10:10 on a enfermé tout le monde.
10:12 Je n'ai jamais vu une prise en charge sanitaire comme ça.
10:15 J'ai été très choquée.
10:18 J'ai vécu une gestion tyrannique d'un problème de désinformation massive.
10:26 On nous dit maintenant que l'EMA, l'Agence du médicament européen,
10:32 avait recommandé le vaccin par rapport à la protection des personnes qui se faisaient injecter.
10:40 On m'a empêchée de travailler à l'hôpital, j'ai été suspendue,
10:45 puisqu'on a dit que je serais dangereuse pour l'entourage si je n'étais pas vaccinée.
10:52 J'ai vu mes collègues se faire injecter à contre-coeur un produit qui était en phase 3, expérimental,
11:02 sans consentement éclairé.
11:09 C'était un produit dont on ne savait pas tout, on ne sait toujours pas tout.
11:13 On m'a empêchée d'être infirmière, de travailler,
11:17 et on a injecté ce produit à d'autres personnes sans consentement éclairé.
11:23 C'est quelque chose que je n'ai jamais vu.
11:25 Je trouve la politique française au cours des années de plus en plus inquiétante et tyrannique.
11:32 J'ai l'impression qu'ils marchent main dans la main avec le gouvernement,
11:35 puisqu'ils fixent les tarifs de base des produits insuffisants pour que les producteurs puissent bien vivre.
11:42 Franchement, je n'ai vraiment pas confiance.
11:48 Après, je ne les connais pas personnellement, mais de ce que j'en vois,
11:51 ils travaillent main dans la main avec le gouvernement, comme les jeunes agriculteurs.
11:57 Apparemment, ce sont des gens qui sont très proches.
12:00 Après, c'est le sentiment que j'ai en tant qu'infirmière.
12:03 Quand je vous disais que j'étais choquée, j'ai un sentiment d'incompétence et en même temps de nuisance terrible par rapport à ce gouvernement.
12:13 Par exemple, quand j'ai vu M. Véran injecter sa collègue enceinte avec le geste qui n'était pas bon,
12:25 c'est un médecin qui ne sait pas faire une intra-musculaire.
12:28 Il se permet de faire des critiques de grands scientifiques.
12:33 Je suis outrée parce que M. Véran ne pratique pas l'aspiration avant d'injecter un produit expérimental sur une femme enceinte.
12:44 J'ai été vraiment très choquée que personne ne le relève.
12:47 On n'injecte pas dans le deltoïde, en intra-musculaire, un produit expérimental chez une femme enceinte,
12:55 sans vérifier qu'on n'est pas dans un vaisseau sanguin.
12:58 Dans les muscles, il y a des veines.
13:00 Un produit intra-musculaire, qui est supposé rester dans le tissu musculaire, ne doit pas avoir le risque d'être injecté en intraveineux.
13:09 Je trouve ça gravissime.
13:11 De la même façon que M. Véran n'est pas un bon médecin, à mon sens, M. Macron ne sait pas compter jusqu'à trois.
13:22 Je parle de ce que je connais, puisque je suis infirmière de formation à l'hôpital.
13:26 Il nous explique qu'il y a une crise des vocations.
13:30 Mais je vois que pour faire une aide-soignante, c'est un an de formation.
13:34 Une infirmière, c'est trois.
13:36 On a des gens qui sont très motivés, très compétents.
13:39 Ce sont les aides-soignants dans nos services.
13:41 Il suffirait de faire la promotion professionnelle, comme on avait autrefois.
13:45 On paye les études de ces aides-soignants pendant deux ans, pour qu'ils deviennent des infirmiers.
13:50 On embauche des gens qui deviennent des aides-soignants.
13:54 Comme ça, on propose un plan de carrière aux gens.
13:58 Si on met l'argent sur la table, en faisant des aides d'accès à la crèche et au logement,
14:03 on va avoir des centaines, des milliers de personnes qui vont vouloir faire infirmière en France.
14:08 Rien n'est fait pour qu'on puisse aider les gens qui sont déjà motivés, qui sont déjà dans le métier, qui ont un savoir-faire.
14:17 Les infirmières, sans les aides-soignantes, elles ne sont rien.
14:20 C'est un travail d'équipe.
14:22 Il y a de l'or qui est en train d'être perdu, un savoir-faire au niveau des soins.
14:30 On est en train de laisser s'écrouler l'hôpital public.
14:33 C'est dramatique.
14:35 Je suis effectivement très en colère.
14:37 (Rires)
14:39 (Musique)
14:58 [SILENCE]