L’Algérie, terre d’accueil d’El Qods, capitale de la culture
- il y a 15 ans
En signe de solidarité et de soutien à la Palestine et au peuple palestinien Par Hassan Gherab 26-03-2009
L’Algérie, terre de combats, a, depuis son indépendance, toujours soutenu toutes les causes justes et toutes les luttes et mouvements pour la liberté de tous les peuples, sans distinction de race ni de religion. Des Black Power aux Etats-Unis, qui luttaient pour les droits des Afro-américains, au Sahara occidental, qui se bat toujours pour sa liberté, en passant par le Chili, le Nicaragua, la Namibie et tant d’autres combats, ils ont tous trouvé en ce pays un soutien et un asile.
C’est d’ailleurs à juste titre que l’Algérie fut surnommée «la Mecque des révolutionnaires». Il était donc de «droit» que la question palestinienne eut la place qui lui revient dans le cœur et dans la politique étrangère de l’Algérie, où, rappelons-le, eut lieu la proclamation de l’Etat palestinien en 1988, lors de la tenue du Conseil national palestinien (CNP).
C’est donc tout «naturellement» que l’Algérie s’est inscrite dans le combat pour la reconnaissance d’El Qods comme capitale de l’Etat palestinien. Et a fortiori son droit, au même titre que toutes les capitales arabes, d’être «capitale de la culture arabe 2009», statut qu’Israël lui dénie, apportant ainsi la preuve, s’il en faut, de sa volonté d’effacer toute trace de culture et d’identité du peuple palestinien.
«Si on ne va pas à El Qods, c’est El Qods qui viendra à nous.» C’est la devise qu’adopteront les institutions culturelles algériennes qui y inscriront une bonne partie des manifestations qu’elles organiseront sous le thème «El Qods, capitale de la culture arabe 2009».
Suite :
http://www.latribune-online.com/culture/14023.html
L’Algérie, terre de combats, a, depuis son indépendance, toujours soutenu toutes les causes justes et toutes les luttes et mouvements pour la liberté de tous les peuples, sans distinction de race ni de religion. Des Black Power aux Etats-Unis, qui luttaient pour les droits des Afro-américains, au Sahara occidental, qui se bat toujours pour sa liberté, en passant par le Chili, le Nicaragua, la Namibie et tant d’autres combats, ils ont tous trouvé en ce pays un soutien et un asile.
C’est d’ailleurs à juste titre que l’Algérie fut surnommée «la Mecque des révolutionnaires». Il était donc de «droit» que la question palestinienne eut la place qui lui revient dans le cœur et dans la politique étrangère de l’Algérie, où, rappelons-le, eut lieu la proclamation de l’Etat palestinien en 1988, lors de la tenue du Conseil national palestinien (CNP).
C’est donc tout «naturellement» que l’Algérie s’est inscrite dans le combat pour la reconnaissance d’El Qods comme capitale de l’Etat palestinien. Et a fortiori son droit, au même titre que toutes les capitales arabes, d’être «capitale de la culture arabe 2009», statut qu’Israël lui dénie, apportant ainsi la preuve, s’il en faut, de sa volonté d’effacer toute trace de culture et d’identité du peuple palestinien.
«Si on ne va pas à El Qods, c’est El Qods qui viendra à nous.» C’est la devise qu’adopteront les institutions culturelles algériennes qui y inscriront une bonne partie des manifestations qu’elles organiseront sous le thème «El Qods, capitale de la culture arabe 2009».
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