Benjamin Castaldi explique pourquoi il ne présentera pas la nouvelle version de "Secret Story"

Touche pas à mon poste

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Transcript

00:00 Je pense qu'ils font une connerie, parce que je pense que quand on reprend un concept aussi fort que ça,

00:03 on a plutôt intérêt à prendre le package et à remettre l'animateur d'origine,

00:06 comme ils l'ont fait avec Nikos pour l'Astarak.

00:08 Mais comme je pense que les directions de TF1 ne supportent pas,

00:12 pour des raisons qui leur appartiennent,

00:14 c'était pas possible de m'appeler.

00:17 Mais ça tombe bien, parce que honnêtement,

00:19 j'ai pas fait tout ça pour me remettre dans une mission que je ne renie pas,

00:23 que j'ai adoré faire, mais c'est assez futile.

00:26 C'est très marrant à faire, mais c'est assez futile.

00:27 Et je crois qu'il fallait me décoller de cette image,

00:29 d'autant qu'à l'époque, elle m'avait quand même fait un peu de tort à TF1,

00:31 puisque sur la fin, il ne faisait plus que ça.

00:33 [Applaudissements]

00:39 Je l'adore, je l'adore, je l'adore.

00:42 Il a raison, en fait.

00:43 Moi, j'ai pas compris ce que t'as dit.

00:46 Non, mais on a lu le titre de l'article, on a compris.

00:48 Il a raison, en vrai.

00:49 TF1, ils jouent à fond sur la nostalgie.

00:50 Secret Story, le gros carton, c'était avec Benjamin Castelli.

00:52 Il faut remettre Benjamin.

00:53 Secret Story, c'est Benjamin.

00:54 L'Astarak, c'est Nikos.

00:55 Donc pourquoi ils le font pas ?

00:56 C'est surdout pour des guéguerres qui servent à rien.

00:57 Je pense qu'ils ne concernent pas les téléspectateurs.

00:59 Donc il faut évidemment le remettre.

01:00 S'ils mettent Christophe Beaugrand, ça va ramener à l'époque où c'était sur un terrain

01:02 et ça marchait un peu moins bien, même s'il était très bon, Christophe Beaugrand.

01:05 Si t'enlèves Benjamin, il faut beaucoup plus fort que Benjamin.

01:07 Si t'enlèves Benjamin pour descendre d'un escalier, ça sert à rien.

01:10 Aujourd'hui, sur TF1, je vois pas beaucoup plus fort que Benjamin.

01:12 Bah voilà, donc fallait remettre Benjamin.

01:14 Si c'est pour enlever, pour mettre moins fort, c'est pas la peine.

01:16 Si, y a Laurent Marriott quand même.

01:17 Je l'adore, je le kiffe, Laurent Marriott.

01:19 Moi aussi, j'adore Laurent Marriott.

01:20 Vraiment, je l'adore.

01:21 Bah moi aussi.

01:22 Et il a trouvé des envries que ça cartonne en plus pour lui.

01:23 Je l'embrasse, Laurent Marriott.

01:24 Alors, il a parlé de moi aussi, je sais pas du tout ce qu'il a dit.

01:26 C'est ce qu'il a dit sur ma fiche.

01:27 Il a marqué "il a également parlé de moi".

01:29 On a l'extrait.

01:30 Regardez, je vais le découvrir avec vous.

01:32 Je regarde très peu les interviews des autres.

01:33 Même les miennes, je les regarde pas.

01:35 Regardez.

01:36 Vous avez dit "Cyril Hanouna m'a sauvé".

01:38 Ouais, c'est vrai.

01:39 Effectivement, quand il m'a appelé, comme j'avais encore un peu d'ego à l'époque,

01:42 on m'avait demandé de faire chroniqueur chez Cyril.

01:44 J'avais dit "chroniqueur chez quelqu'un ? Vous êtes des malades.

01:47 Moi, je suis animateur, je suis vedette et je vous emmerde".

01:50 Euh...

01:51 C'est bien, hein ?

01:53 Ah, c'est bien.

01:54 Et donc, forcément, Cyril, à l'époque, l'a mal pris.

01:57 Donc, on était...

01:58 Je pense qu'à cette époque-là, on était même en guerre.

02:00 Pourquoi avoir changé d'avis ?

02:01 Bah parce que Cyril est tout sauf con.

02:04 Et on a senti très vite qu'on pouvait être très copains.

02:07 Donc, il m'a rappelé.

02:09 Ça a été quand on s'est vraiment marrés.

02:10 Et ça a été cet an de bonheur.

02:11 Et moi, j'étais arrivé à un stade où j'étais plus du tout heureux dans l'émission

02:14 parce que c'est devenu une émission d'actu

02:16 et que j'ai pas envie de donner mon avis sur l'actualité.

02:20 On l'embrasse fort, d'ailleurs.

02:20 Moi, j'ai un inquiétude.

02:21 - T'es gentil. - C'est gentil.

02:22 - Ah bah, c'est rien.

02:24 - Bonjour.

02:25 - Cyril ?

02:26 - Je lui ai eu au téléphone ce week-end.

02:27 Il va très bien.

02:28 - Ah, j'adore, parce que...

02:28 - Et je l'embrasse fort.

02:29 Et je le vois la semaine prochaine.

02:31 Tu voulais venir ?

02:31 - Ah oui, avec plaisir.

02:32 - Vous le voyez où ?

02:33 - Ça sera avec plaisir.

02:34 Je lui ai dit que je l'inviterais à déjeuner.

02:35 - Ah, super.

02:36 Bon, on vient tous.

02:37 - Il veut payer.

02:38 - Je suis sûr.

02:39 - Non, non, non.

02:40 En plus, vraiment, je l'adore.

02:41 C'est vraiment un mec que j'adore.

02:42 - C'est un gentleman.

02:43 [Musique]

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