Serigne Mansour Sy Cissé pose le débat sur des questions fondamentales de la République...

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00:00 C'est vrai que le musulman sénégalais ne veut pas qu'il soit président.

00:03 Le musulman sénégalais a beaucoup de faim.

00:06 Il en a beaucoup.

00:08 Arrête de l'oublier.

00:10 Tu es en train de poser des questions orientées.

00:12 Le musulman sénégalais a beaucoup de faim.

00:15 C'est vrai.

00:17 - Tu as l'air d'être un peu malheureux. - Non, c'est vrai.

00:21 Le musulman sénégalais a beaucoup de faim.

00:24 Tu es un malade ou un disdain?

00:29 - Tu es un disdain? - Non, c'est vrai.

00:31 - Tu es un disdain? - Non, c'est vrai.

00:34 - Arrête de l'oublier. - Ce n'est pas fini.

00:38 Le décret de 2005 a été signé par Abdeladou Koussini.

00:43 - Tu as signé le premier ministre? - Oui.

00:46 Tu ne l'as pas oublié?

00:47 Tu as utilisé la tête du grand remplacement.

00:56 Tu as utilisé la tête du grand remplacement.

01:01 Il y a eu 12 décrets.

01:03 Mais quand l'opinion a demandé à le président de l'électorat

01:07 parce qu'il avait terminé le mandat de Moussa Fatouri,

01:11 il n'a pas été favorable à ce décret.

01:16 Le 30 octobre, il a été élu.

01:22 Concernant la suissite de Me Mbten sur le paradis,

01:28 je pense que le ministre a été élu ou bien

01:31 sur l'affaire Karim Ban.

01:35 Il y a eu des discussions entre les deux.

01:39 Mais ce premier appréhensionment peut être de la continuité du président.

01:49 Ce qui est déroutant et détonnant

01:53 c'est que sur la candeste de Amoruba, des gens qui sont dans l'ambulance

01:57 sont sortis pour décocher des flèches.

02:00 On sait que c'est ça.

02:03 Mais ils ne sont pas là car Amoruba est aussi un pays

02:06 et il n'y a pas de politique.

02:09 Parcelle à ce nid, si ils avaient organisé des élections, ils n'auraient pas gagné.

02:16 Mais si ils ont gagné, c'est parce qu'ils sont des mecs.

02:21 Mais comme ils sont des mecs, on a confisqué Dakar.

02:26 On a confisqué les 16 communes et on a mis des mecs partout.

02:30 Au moins, il y a eu une représentativité territoriale.

02:33 Mais Amoruba, où vas-tu aujourd'hui?

02:37 Tu sais bien qu'il a des bases.

02:43 C'est un questionnement.

02:47 Si on veut l'attaquer, le président ne s'y met pas à la fin de la récréation.

02:52 Tu as compris?

02:54 Tu ne sens pas que...

02:59 Tu ne sens pas que c'est un dépositaire d'investiture.

03:04 Tu ne sens pas que ce n'est pas un détachement entre Amba et Macky.

03:10 Il n'y a pas de détachement.

03:14 On peut pas lui donner la parole après avoir fait un choix qui s'imposait à lui.

03:23 Mais ce n'était pas le bon choix.

03:26 C'est impossible.

03:29 Personne ne sait. Pour moi, tu dois y aller.

03:34 Tu dois sortir de tes 3ème mandat.

03:40 Tu ne peux pas parler de 1000 milliards.

03:46 On a eu des délais pendant 12 ans.

03:49 - Que veux-tu que je fasse? - 50% de l'info n'a pas été exécutée.

03:54 - Je veux savoir... - Je ne sais pas mais je veux savoir.

03:58 Est-ce que le président doit aller dans une ville pour faire des délais?

04:03 Je veux en savoir plus pour être un président.

04:07 - Mais c'est pas possible. - 1000 milliards, c'est un problème à Sénégal.

04:11 - On ne peut pas le corriger. - C'est un problème à Sénégal.

04:16 - On ne peut pas le corriger. - C'est ça.

04:19 On est là pour vous dire que vous êtes en train de vous faire ennuyer.

04:25 - C'est l'excellence de la vie. - C'est correct.

04:32 Si vous êtes dans un lieu ou une commune insulaire,

04:42 vous devez rester chez vous parce que vous n'avez pas d'école.

04:46 Ce sont des enfants qui sont en train de faire des délais.

04:53 C'est ça.

04:58 On va me dire qu'on va rattraper les cours mais il faut qu'on en fasse un.

05:01 On a fait un université à Sénégal et on le sait tous.

05:06 Mais l'analyse brute et sans raffinement est politique.

05:10 C'est ce qu'on entend.

05:13 Parce qu'on ne veut plus avoir des décisions de justice ou d'attachements.

05:22 - Les puissantes violences sont dans l'université. - C'est ça.

05:26 Je vous ai déjà dit que si vous êtes en train d'aller à l'université,

05:32 - faites attention car c'est le 1er juin. - C'est vrai.

05:38 - C'est le 1er juin. - C'est la session de l'université.

05:43 C'est la session de l'université de l'octobre.

05:49 On a fait la session de l'octobre en 2022.

05:56 - On est en train de faire un empiètement universel. - Mais on a pas le droit de dire ça.

06:04 - C'est du gâchis. - Mais que fais-tu par rapport à ça Mansour?

06:09 - Je ne sais pas. - Il n'y a pas d'alternative.

06:13 - Il n'y a pas de solution. - Je ne sais pas.

06:17 - On est en train de faire un empiétement universel. - Mais on ne peut pas dire ça.

06:23 On sait que les gens manifestent pour des biens mais aujourd'hui, ils manifestent pour des choses plus importantes.

06:29 C'est un droit constitutionnel.

06:34 - Un droit à l'éducation. - C'est ça.

06:39 - Après, tu te rends compte de ce que j'ai dit? - Oui.

06:43 - C'est un droit fondamental. - Après, on a le droit à l'éducation, la sécurité...

06:47 - Attends un peu. - La protection.

06:50 La France est universel.

06:53 Je ne sais pas si c'est une bonne disposition mais on peut invoquer la France universel pour un étudiant.

07:02 - C'est vrai. - Mais on ne peut pas mobiliser tout le monde.

07:08 - On peut invoquer la France universel. - On se suit du débat.

07:13 - On se suit du débat. - On se suit du débat.

07:17 Ce qu'on a dit et ce qu'on veut réellement, c'est juste dans notre agenda.

07:20 C'est la volonté de Dieu.

07:22 Mais ce qu'on a dit n'est pas de la logique, c'est un challenge à la raison.

07:28 C'est un challenge à la raison.

07:32 Même si tu es un chèvre, tu es un peu trop loin dans la conception.

07:38 Tu vois des ministres sous des plateaux qui butent sur des éléments de langage.

07:44 Sur la fermeture de l'université.

07:46 On ne peut pas le faire.

07:48 C'est des politiques, d'accord.

07:52 Je crois qu'on peut s'en sortir mais on n'est pas d'accord.

07:56 - On n'est pas d'accord. - Bien sûr.

07:57 Mais on doit faire en sorte que l'université soit universel.

07:59 Même pendant la seconde guerre mondiale, les livres et les archives fonctionnent.

08:09 Ils fonctionnent.

08:12 Imaginez que les candidats ne prennent pas de mayonnaise.

08:17 Ils ne sont pas prêts à transporter des militants.

08:23 Personne ne les soutient.

08:25 Mais qu'est-ce qu'ils disent quand ils partent?

08:29 Ils disent que le site par excellence de nos ressources est le plus important.

08:41 Tu vois ce que je veux dire?

08:44 Il faut être très prudent pour les gens qui sont en train de se battre.

08:50 C'est ça le regard du Sénégal.

08:57 Je pense que quelqu'un comme le président et le Parcours

09:00 et les conseils des ministres décentralisés ne peuvent pas y aller.

09:04 Pourquoi?

09:05 Pour moi, ça n'a pas de sens.

09:07 En 2012, il se gargarisait d'avoir fait le tour du Sénégal au moins 3 fois.

09:17 80 000 kilomètres, c'est le but du livre.

09:19 80 042 kilomètres dans le Sénégal au coeur.

09:23 Mais ça, c'est difficile.

09:27 Le commandement territorial, entre autres,

09:31 etc...

09:34 - Je vais remonter les informations. - Non, Amed.

09:37 - Pour beaucoup de choses... - C'est quoi la question?

09:41 - Amed Diallo. - Oui, explique-moi la question.

09:45 Sur beaucoup de choses, on a perdu énormément de temps.

09:50 Sur beaucoup de choses.

09:52 Amed Diallo, tu prends le secteur laitier pour exemple

09:58 mais récemment, on a mis 60 milliards pour l'exportation.

10:05 - Donc, on a perdu beaucoup de temps. - On a perdu beaucoup de temps.

10:09 - Même? - L'industrie de la transformation.

10:11 - La filière de l'eau, etc... - La conservation.

10:14 On a perdu beaucoup de temps pour la culture arachidaire

10:18 alors que pour d'autres filières,

10:21 c'est plus rentable.

10:23 Je pense que Déba Yorick doit le reporter.

10:26 Et ne pas mettre dans la tête des Sénégalais

10:31 que nous allons faire des changements dans la communauté.

10:33 Ce n'est pas vrai.

10:35 Ce n'est pas vrai.

10:37 Au Sénégal, tu dois faire ce que tu dois faire.

10:41 Si tu es en colère, tu n'as pas le droit de choisir qui te garde.

10:46 Tu peux choisir avec toi.

10:47 Mais à l'unanimité, par force de celui qui te guide,

10:52 ce n'est pas souhaitable.

10:54 Ce n'est pas souhaitable et ce n'est pas normal.

10:57 Sur le tournoi et sur l'idée de reportage,

11:00 surtout sur l'accord,

11:03 j'ai vu une discussion entre le président de la République et le président de l'Assemblée.

11:07 Si les talibans ne sont pas là, je ne sais pas quoi faire.

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