Une vidéo diffusée par Palestine TV montre le journaliste Salman Bashir, apprendre le décès de Mohammad Abou Hattab lors d'un reportage en direct à l'extérieur de l'hôpital de Khan Younis. Dans son chagrin, celui-ci retire ses protections affirmant que les « gilets pare-balles et les casques » ne protègent pas les journalistes, ni la communauté internationale.
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00:00 "Pas de protection, pas de protection internationale, pas de protection internationale du tout, ni de protection de n'importe quoi.
00:06 "Ces armes, ces coupes ne nous protègent pas, ce sont juste des chaussures que nous portons. Elles ne protègent pas les armes du tout."
00:17 "Ces armes, ces coupes ne nous protègent pas, ce sont juste des chaussures que nous portons."
00:25 "Nous sommes des victimes, des victimes, sur la terre, directement. Nous perdons les vies, l'un après l'autre, sans aucune preuve.
00:35 Nous passons les morts, seulement, avec la différence de temps. Nous attendons les tours, l'un après l'autre.
00:42 Notre collègue Mohamed Abou Hatam était ici il y a une demi-heure et il est parti.
00:47 Il est là avec sa femme, son fils, son frère et beaucoup d'autres familles. Ils sont des victimes, ici, à l'intérieur de l'hôpital."
00:55 "Nous sommes des victimes, nous sommes des victimes, nous sommes des victimes, nous sommes des victimes."