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00:00 Bonjour à tous, je vous invite à vous abonner à cette chaîne, à aimer, à partager, à
00:05 commenter ces vidéos, c'est très important, c'est une manière de nous soutenir.
00:09 Merci à vous tous.
00:10 Alors nous connaissons bien ici Marc Doyer.
00:13 Bonjour Marc Doyer.
00:14 Bonjour.
00:15 On vous connaît ici depuis votre combat pour la reconnaissance des effets indésirables
00:20 du vaccin dont votre femme Morissette a été tristement victime.
00:24 Elle a été atteinte de la maladie de Creutzfeldt-Jakob et en est morte.
00:29 Et vous décidez aujourd'hui de porter plainte et vous lancez un appel aux autres victimes
00:33 à vous rejoindre.
00:34 Je vous propose d'écouter un extrait de cet appel lancé sur les réseaux sociaux.
00:37 Je suis heureux de revenir vers vous pour vous donner des informations concernant la
00:40 plainte dans laquelle je suis parti civil.
00:42 Donc c'est une plainte qui a été déposée au tribunal judiciaire de Paris, au pôle santé,
00:48 par Maître Jean-Pierre Joseph.
00:50 Elle vise Pfizer, Olivier Véran, ministre de la Santé de l'époque, tous les ministres
00:55 ou élus ayant eu des liens avec la vaccination.
01:00 Jean-Cath Stex, Premier ministre.
01:03 Vous avez la possibilité de nous rejoindre en tant que famille de victime ou victime
01:08 vous-même.
01:09 Alors, on a entendu un extrait de ce passage que vous délivrez, Marc Doyer.
01:17 Donc en fait, vous lancez une plainte et vous faites appel à d'autres victimes qui vous
01:23 rejoignent.
01:24 Alors pour en parler aujourd'hui, nous sommes donc avec vous, Marc Doyer.
01:25 Je rappelle que vous êtes également porte-parole de Verity France et nous sommes avec votre
01:29 avocat, Maître Jean-Pierre Joseph.
01:31 Bonjour Maître Jean-Pierre Joseph.
01:32 Oui, bonjour.
01:33 Bonjour à tous.
01:34 Alors, Marc Doyer, première question.
01:36 Pourquoi aujourd'hui ?
01:37 Parce qu'en fait, je veux savoir.
01:42 C'est-à-dire, je veux savoir pourquoi le 4 mai, quand mon fils m'a réveillé vers
01:47 2 heures du matin pour me dire "papa, papa, maman est froide, c'est fini".
01:51 Donc, je veux savoir pourquoi.
01:52 Je veux savoir pourquoi on ne m'a pas fait signer de concentrement libre et éclairé
01:57 quand Morissette s'est fait vacciner.
01:58 Je veux savoir pourquoi les médecins qui se sont occupés de Morissette aujourd'hui
02:03 m'ont dit qu'il y avait un lien avec les vaccinations et qu'ils l'ont écrit sur
02:06 le certificat de décès.
02:07 Je veux savoir pourquoi le radiologue à l'hôpital américain, quand il a fait un
02:13 scanner cérébral de Morissette, est venu dans le couloir et m'a dit "ce n'est
02:16 pas Alzheimer, ce n'est pas Parkinson, mais je n'ai jamais vu ça".
02:19 Je veux savoir pourquoi Véran, à l'Assemblée nationale, a dit les mots suivants "le vaccin
02:23 ne donne pas la maladie de Crohn's et Jacob, le vaccin ne donnera jamais la maladie de
02:27 Crohn's et Jacob", alors que c'est dans le rapport de l'OMA.
02:30 Donc, pour savoir, je veux qu'un juge tout simplement se penche sur le dossier et interroge
02:36 tous les gens que je viens de citer.
02:37 Il y a déjà eu des plaintes qui ont été posées.
02:41 Est-ce que vous avez confiance finalement dans la justice de votre pays ? Est-ce que
02:45 vous considérez aujourd'hui que cette plainte peut mener à quelque chose ?
02:51 Écoutez, bien sûr que j'ai confiance dans la justice de mon pays parce que sinon tout
02:56 est perdu.
02:57 Et quand on n'a plus confiance dans la justice de son pays, qu'est-ce qu'on fait ? On prend
03:00 les armes.
03:01 Donc, je n'ai pas l'intention de prendre les armes et de me faire justice moi-même.
03:03 J'ai aujourd'hui, je pense, une vingtaine de familles qui ont été touchées aussi par
03:10 la maladie de Crohn's et Jacob qui vont certainement me rejoindre dans cette plainte.
03:13 Je ne vois pas comment un juge pourrait, par exemple, classer sans suite simplement ce
03:17 dossier où, encore une fois, un médecin écrit sur le certificat de décès de Morissette
03:23 qu'il y a un lien possible d'origine iatrogène.
03:26 Et pourquoi elle écrit aussi à la fin de la conclusion du dossier médical que mon
03:30 épouse était en parfaite santé, qu'elle n'avait aucun traitement et que le dernier
03:34 traitement qu'elle a eu c'était Pfizer.
03:36 Donc, je veux juste savoir en fait.
03:38 Voilà, je répète ces mots simples.
03:40 Je veux savoir.
03:41 C'est tout.
03:42 Alors, nous sommes également avec votre avocat, je l'ai dit, Maître Jean-Pierre Joseph.
03:47 Maître Jean-Pierre Joseph, aujourd'hui, combien de personnes se joignent déjà à
03:51 cette plainte ? Marc Douaillet a parlé de 20 familles touchées par la maladie de Crohn's
03:56 et Jacob qui pourraient rejoindre également cette plainte.
03:58 C'est bien ça.
03:59 Le but, c'est alors, est-ce que ce sont toutes les victimes de Pfizer ? Est-ce que ce sont
04:05 toutes les victimes en général du vaccin ? Est-ce qu'il faut considérer que ce sont
04:09 des victimes notamment atteintes de cette maladie de Crohn's et Jacob ou de façon
04:15 plus large avec tous les effets indésirables du vaccin ?
04:18 Moi, je crois que de façon plus large, il faut que toutes les victimes de ces produits
04:24 qu'on appelle des vaccins se manifestent.
04:27 Pourquoi ? Parce que dans le dernier rapport de l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament,
04:33 qu'on appelle l'ANSM, celui de novembre, on était déjà à 187 000 déclarations
04:42 d'effets indésirables.
04:43 On n'a jamais vu ça, jamais.
04:46 Si on fait une règle de trois et qu'on compare ce chiffre avec le nombre d'injections qu'il
04:53 y a eu, on se rend compte qu'il y a 1000 fois plus de déclarations d'effets indésirables
04:59 que pour le vaccin contre la grippe.
05:01 Donc c'est hallucinant.
05:03 Et on continue de nous dire "non, il n'y en a pas".
05:07 Ce qui est hallucinant, c'est ces mensonges perpétuels, quotidiens, où on continue de
05:12 dire aux gens "faites-vous vacciner".
05:14 Alors moi, ça fait 20 ans, même plus, que je travaille sur le problème des vaccins.
05:20 Ce qui m'a interpellé dès mon plus jeune âge, c'est de voir des camarades de classe
05:25 atteints de maladies contre lesquelles ils étaient vaccinés alors que moi je n'avais
05:29 pas ce vaccin-là et je n'avais pas attrapé cette maladie.
05:32 J'ai cheminé ça pendant des années et j'en suis à la sixième édition de mon
05:38 livre "Vaccin, on nous aurait menti".
05:40 D'accord, alors rappelez la maison d'édition de votre livre.
05:44 Et Marco Pieter, c'est "Testé édition".
05:47 D'accord.
05:48 Et donc finalement, vous considérez que le vaccin contre la Covid-19 n'est pas forcément
05:54 une exception, que ça peut être le cas d'autres vaccins qu'il y a à chaque fois sur la
05:59 planète, la vaccination en particulier par l'Agence nationale du médicament, finalement
06:05 une vigilance moins importante ?
06:08 Eh bien, moi je ne considère rien, je me contente de relater ce qu'ont écrit des
06:17 centaines de médecins, biologistes, etc. dans le monde entier et qui remettent en cause
06:24 ce principe.
06:25 Bon, mais ces gens-là font l'objet d'une véritable omerta, c'est-à-dire qu'on ne
06:30 les entend jamais.
06:31 On entend toujours le même son de cloche, toujours les mêmes, et qui ont quelque chose
06:36 à vendre, alors que ceux qui contestent n'ont rien à vendre.
06:39 Donc ça devrait interpeller.
06:41 Mais non, on est de parfaits moutons et on dit "Ah, on nous a dit, donc on croit".
06:47 D'accord.
06:48 Concernant le vaccin contre la Covid-19, précisément, vous dites aujourd'hui qu'il
06:53 y a 187 000 déclarations d'effets indésirables.
06:56 Depuis quand ? C'est des chiffres qui se cumulent, c'est ça, depuis le début de
07:01 la période de vaccination ?
07:02 Depuis le début de la vaccination.
07:04 D'accord.
07:05 Et donc on est déjà à mille fois plus que les effets indésirables, notamment pour la
07:10 grippe.
07:11 Je précise tout de même que les effets indésirables ne veut pas dire qu'aujourd'hui il y a
07:15 une reconnaissance de causalité, mais tout simplement des indices de liens de causalité,
07:22 pour le moment.
07:23 Exactement.
07:24 Tout comme quand on prend un coup de poing dans la figure, on peut toujours dire "Ah
07:27 ben ça il m'a emmené, c'est une coïncidence".
07:29 Mais bon, on précise malgré tout.
07:32 Alors aujourd'hui, finalement, Maître, qu'est-ce que vous cherchez à faire reconnaître dans
07:38 cette plainte ?
07:39 Je cherche à faire reconnaître qu'on nous a menti sur plein de choses.
07:44 D'abord sur la dangerosité de ce fameux Covid, où on nous prétendait que ça allait
07:52 éliminer toute la population.
07:54 Or les chiffres de l'Agence Technique d'Information sur les Hospitalisations, encore un site officiel,
08:01 nous ont informé que dans l'année la plus forte, les hospitalisations Covid ont concerné
08:07 2% de l'ensemble des hospitalisations.
08:11 Donc on nous a terrorisé pour rien.
08:13 Donc voilà un petit peu ce que je cherche à faire reconnaître, qu'on a gonflé les
08:16 chiffres, qu'on a utilisé des tests qui n'étaient pas fiables, où on a identifié
08:23 80% de faux positifs.
08:25 Et finalement, on a changé le vocabulaire.
08:29 Au lieu de parler de "porteur sain", on les appelait "malades asymptomatiques".
08:33 Pour moi, quelqu'un qui n'a pas de symptômes, il n'est pas malade.
08:37 Mais bon, on les a appelés comme ça, ça a terrorisé les gens.
08:39 Et donc on maintenait les gens dans la terreur.
08:42 Pourquoi ? Pour vendre ce produit.
08:44 Oui, alors la plainte se porte contre qui exactement ?
08:48 Contre X.
08:49 Contre X parce que c'est au magistrat instructeur à déterminer les responsabilités et qui
08:57 est-ce qui a entraîné cette campagne, qui a décidé finalement de faire diffuser ces
09:07 produits en poisonnant les gens.
09:09 D'accord, parce qu'il me semble que dans la vidéo de Marc Doyer, on entend quelques
09:13 noms cités, notamment Olivier Véran, Marc Doyer.
09:17 Oui, bien sûr.
09:19 Mais moi, encore une fois, je vous ai dit tout à l'heure, quand vous avez le ministre
09:24 de la Santé de l'époque qui monte à la Sommeille Nationale pour dire que le vaccin
09:27 ne donne pas la maladie de Crohn's et Sjog, il ne donnera jamais.
09:29 Alors que c'est dans le rapport de l'ANSM.
09:32 Il faut que le juge lui demande pourquoi il a dit ça.
09:36 Oui, et dans le rapport de l'ANSM, mais également, il me semble, dans la liste des
09:40 effets indésirables de Pfizer.
09:41 Dans le rapport de l'EMA.
09:44 Oui, oui, et dans la liste des effets indésirables reconnus par Pfizer, non ?
09:48 Non, dans la liste des effets indésirables, il est reconnu le grand mal épidéptique,
09:53 il est reconnu les clonings, il est reconnu tout un tas de symptômes qu'on retrouve
09:56 dans cette forme de maladie de Crohn's et Sjog.
09:59 Moi, encore une fois, aujourd'hui, depuis des mois et des mois, je crie.
10:02 Vous savez, cette semaine, j'ai encore eu un avocat qui m'a appelé pour qu'il
10:06 défend une famille de victimes aussi qui a perdu un proche de la maladie de Crohn's
10:10 et Sjog.
10:11 Et quelquefois, les gens se sont décédés en l'espace de un mois et demi à trois
10:15 mois.
10:16 C'est une forme ultra violente.
10:17 Moi, tout seul dans mon coin, j'ai reçu à peu près une cinquantaine de témoignages,
10:22 alors qu'aujourd'hui, l'État nous dit qu'il y a eu 30 cas.
10:25 Donc voilà, c'est tout.
10:27 Encore une fois, moi, j'ai des éléments à mettre sur la table.
10:30 Simplement, il faut qu'on me reçoive, mais j'ai l'impression qu'ils ne veulent
10:33 pas les voir.
10:34 Ça les arrange de ne pas les voir.
10:35 Alors, on va continuer d'en parler de cette plainte et de cet appel que vous lancez.
10:39 Parce que tout le monde vous rejoigne, toutes les victimes vous rejoignent.
10:41 On va donner l'adresse d'ailleurs pour vous contacter et joindre cette plainte, cette
10:46 constitution de partie civile.
10:47 Mais on fait un rapide point sur les informations.
10:49 Il est 8h sur Ligne droite.
10:50 Et nous retrouvons nos deux invités pour cette table ronde.
11:05 Marc Doyer, porte parole de Verity France.
11:08 Et nous sommes également avec Maître Jean-Pierre Joseph, avocat ici de Marc Doyer, sur cette
11:14 plainte contre X.
11:15 Donc, on a commencé à l'évoquer sur ses effets du vaccin, évidemment, et notamment
11:23 le terrible effet sur Morissette, la femme de Marc Doyer.
11:28 Alors, je voudrais revenir concrètement pour cette plainte et ceux qui voudraient se joindre
11:33 à cette plainte.
11:34 Jean-Pierre Joseph, il y a une adresse que je peux donner, c'est plainte@particivil.org.
11:38 C'est bien cela ?
11:40 Oui, c'est bien ça.
11:42 Donc, pour toutes les personnes qui nous écoutent aujourd'hui, qui auraient été victimes
11:46 des faits indésirables, Creuze-Faljacode ou autres, en fait, de cette vaccination, vous
11:54 les appelez tout simplement à se joindre à vous.
11:56 Si j'ai bien compris également en écoutant la vidéo de Marc Doyer, cette plainte est
12:00 gratuite.
12:01 Oui, exactement.
12:04 Marc Doyer, vous voulez ajouter quelque chose ?
12:07 Oui, oui, toutes les familles qui rejoindront, les frais sont pris en charge.
12:13 Voilà, encore une fois, il faut…
12:16 Voilà, donc, appel général.
12:20 N'hésitez pas à transmettre cet appel à tous les auditeurs qui nous écoutent et
12:23 puis ceux qui sont sur les réseaux sociaux, afin que finalement cette plainte pèse le
12:28 plus lourd possible.
12:30 Alors, je voudrais revenir concrètement sur cette bataille de reconnaissance des effets
12:36 indésirables des vaccins.
12:37 Vous l'expliquiez tout à l'heure, Maître Joseph, finalement, on a l'impression que
12:42 c'est l'omerta.
12:43 Et moi, j'aimerais bien, et vous, vous travaillez sur ces questions, notamment de l'omerta
12:46 autour de la vaccination et des effets indésirables de la vaccination.
12:49 Depuis longtemps, vous en avez écrit un livre.
12:50 Comment vous expliquez cette omerta ? Et aujourd'hui, peut-être plus encore que jamais, avec ce
12:59 vaccin Covid-19, et puis ces allégations d'antivax qui permettent beaucoup de choses
13:06 et surtout de ne pas tout simplement parler des faits, comme vous le dites, et des chiffres
13:11 qui sont là.
13:12 Il y a plusieurs paramètres qui induisent cette omerta.
13:17 Le premier, c'est qu'en France, le vaccin, c'est une religion, un sacrement.
13:24 On croit.
13:25 On croit sans rien vérifier, parce que ceux qui vérifient, ils ont des surprises.
13:30 Le deuxième élément, c'est que beaucoup d'entre nous considèrent que le vaccin est
13:39 un acquis social.
13:40 Donc, voilà ces deux éléments qui pèsent très lourd dans la balance, parce que quand
13:46 on nous dit "mais attention, il y a peut-être un problème", on dit "ah non, non, non, c'est
13:49 pas possible, c'est pas possible".
13:50 On ne veut pas le savoir.
13:52 La France est le pays du "je veux pas le savoir", parce que dès qu'on commence à gratter quelque
13:57 chose, on a des grandes surprises.
13:59 Et il y a très nombreux des gens qui sont couverts de diplômes et qui ont écrit, qui
14:04 ont dit "mais attendez, on se trompe, ça fait des années qu'on se trompe".
14:07 Tout de suite, l'omerta, on ne les invite plus sur les plateaux, on ne leur donne jamais
14:12 la parole.
14:13 On dit "oui, oui, mais ceux-là, alors il y a 20 ans, on disait "c'est des sectes",
14:17 et puis maintenant on dit "c'est des complotistes".
14:19 Il y aura toujours un qualificatif qui permet de ne pas parler du fond du problème.
14:25 Parce qu'aujourd'hui, dès qu'on s'exprime là-dessus "ah, vous êtes complotiste",
14:30 donc ça veut dire "tout ce que vous dites est faux".
14:34 Vous avez traversé dans les clous, c'est pas vrai, vous êtes complotiste, donc vous
14:38 mentez.
14:39 Voilà, on en est là.
14:40 Donc on est un pays de moutons, complètement chloroformés, et quand on nous dit "mais
14:45 vérifiez ce qu'on vous dit", "ah non, non, non, c'est pas possible, j'ai pas le temps".
14:49 Voilà, on n'a pas le temps de vérifier.
14:51 Donc quand on ne vérifie pas, eh bien on continue, on croit, on croit.
14:56 Après tout, ceux qui communient à l'Église, ils demandent jamais "est-ce que l'hostie
15:01 est stérilisée, est-ce qu'il y a une date de préemption ?".
15:03 Non, jamais, on croit.
15:05 Oui, je comprends bien ce que vous dites, malgré tout on est dans un état de droit,
15:10 enfin on est censé être dans un état de droit, et vous êtes avocat.
15:13 Il y a des procédures judiciaires notamment qui peuvent faire reconnaître certaines choses.
15:17 Alors, judiciairement, par la voie de l'avocat par exemple, vous n'arrivez pas à faire
15:26 reconnaître vos propos ?
15:28 On y arrive très difficilement, parce qu'on se heurte à des croyances à tous les niveaux,
15:37 y compris au niveau des tribunaux, qui croient qu'on protège la population, mais petit
15:44 à petit, les gens ouvrent les yeux, parce qu'on leur montre les chiffres, les chiffres
15:49 officiels.
15:50 Il suffit de regarder les courbes.
15:51 Moi, dans la dernière édition de mon bouquin, j'ai publié des courbes officielles, Santé
15:57 Publique France ou Annuaire Statistique de la France, où on voit que toutes les épidémies
16:02 de toutes les maladies sont une courbe ascendante et descendante, et qu'en général les campagnes
16:08 de vaccination arrivent après.
16:10 Et les rares fois où elles arrivent pendant, la courbe remonte de manière spectaculaire.
16:17 Mais il suffit de regarder ça.
16:18 Eh bien, la plupart des médecins n'ont jamais regardé ça, parce qu'on leur a dit, on.
16:24 Il faut savoir qu'en 10 ans de médecine, ils ont une séance unique d'une demi-journée
16:31 sur les vaccins.
16:32 C'est tout.
16:33 On en est là.
16:35 Marc Doïl, sur cette question de l'OMERTA et de la difficulté aussi de faire reconnaître.
16:40 En plus, je tiens à rappeler tout de même que votre femme a été victime de cette vaccination,
16:47 donc elle s'est vaccinée.
16:48 C'est quand même un peu facile d'accuser, vous notamment, d'être anti-vax alors que
16:53 vous êtes allé en confiance vous faire vacciner.
16:56 Aujourd'hui, comment vous comprenez vous qu'il soit si difficile de discuter tout simplement
17:03 des faits, qu'on soit d'accord ou pas d'accord, qu'on puisse mettre des chiffres sur la table
17:07 et dire voilà ce que je vois.
17:09 Voilà les chiffres de l'Agence nationale de la santé française et des médicaments.
17:16 Et ceux-ci ont de quoi être inquiétants.
17:20 Comment vous expliquez aujourd'hui qu'il soit difficile tout simplement d'amorcer une discussion
17:24 là-dessus ?
17:25 Je ne sais pas à quoi vous répondre parce que c'est la question qui tourne en boucle
17:29 dans ma tête tous les jours.
17:30 Vous savez, moi encore une fois, depuis maintenant plus d'un an, je dis simplement voilà, j'ai
17:41 amené un certain nombre de cas d'une maladie où normalement on parle d'1,5 cas sur un
17:47 million et moi j'ai amené plusieurs témoignages de gens qui ont tous déclenché cette maladie
17:53 environ 15 jours après la vaccination.
17:55 Les autorités sont parvenues vers moi.
17:58 Moi ce que je veux encore une fois, je veux voir un juge là maintenant.
18:02 Parce que tout le reste, vous savez quand moi j'ai été attaqué de façon ignoble,
18:07 il y a encore quelques jours, quelqu'un a écrit sur Twitter que Morissette a rapporté
18:12 plus d'argent morte que vivante parce que tout simplement on faisait un réveillon au
18:17 cabaret pour le jour de l'an parce qu'on a quand même besoin de continuer de vivre
18:21 puis je veux faire vivre ce lieu qu'elle a créé.
18:24 Donc vous voyez on en est là.
18:25 Moi quand on me dit que je suis anti-vax, complotiste, les gens devraient se poser la
18:29 question, ça ne tient pas debout, c'est juste pas crédible.
18:32 On est allé se faire vacciner donc on n'est pas anti-vax.
18:36 C'est pour ça que je veux voir un juge.
18:39 Quand vous me demandiez tout à l'heure si j'ai confiance dans la justice, bah oui,
18:42 ma démarche prouve bien que j'ai confiance dans la justice et surtout je ne veux plus
18:46 écouter ces gens-là.
18:47 Je veux voir un juge.
18:49 Après mon avis pourquoi ça n'avance pas, il y en a un tas ? Malheureusement, j'en
18:54 serais tenté à dire que j'ai l'impression que tout est corrompu parce que si justement
18:58 on ne veut pas m'écouter alors que, encore une fois, j'ai le médecin traitant qui
19:04 écrit que le lien et le décès est probablement lié à une origine iatrogène, je veux dire,
19:12 qui est plus compétent que le médecin qui a vu Morissette chaque semaine pendant huit
19:16 mois et qui en plus est une femme qui a vacciné en vaccinodrome donc qui n'est pas non
19:22 plus anti-vax.
19:23 Donc je veux voir un juge.
19:26 Qu'est-ce qu'il faut que je fasse pour que je vois un juge ? Est-ce qu'il faut
19:29 que je commette l'irréparable aujourd'hui ? Tout simplement pour comprendre par exemple
19:33 pourquoi Frédéric Beltrard, encore il y a quelques jours, a fait Noël avant la date
19:37 parce qu'ils sont complètement traumatisés d'avoir vu par exemple leur fils vacciné
19:42 le matin mourir le soir dans leur salon.
19:44 Et qu'est-ce que les autorités leur ont répondu ? Il a fait une allergie aux cacahuètes
19:50 alors que quand on fait une allergie aux cacahuètes, les médecins savent très bien prendre en
19:54 charge ce genre d'allergies et on sauve les gens.
19:57 Donc vous voyez, est-ce qu'encore une fois maintenant, je suis fatigué, fatigué, écœuré
20:02 de tout ça, j'ai de plus en plus de mal à supporter l'absence de ma femme, tout
20:06 simplement parce qu'il n'y a aucune reconnaissance en plus de notre douleur.
20:10 Tous les jours j'ai des familles de victimes qui me contactent, des gens qui sont perdus.
20:14 Donc je pose cette question et là c'est la responsabilité de l'État.
20:18 Est-ce qu'il faut que je commette l'irréparable pour enfin me trouver devant un juge et qu'on
20:23 regarde ce qu'il y a dans mon dossier ? Est-ce qu'il faut en arriver là aujourd'hui en France ?
20:27 Mais là, a priori, vous avez confiance sur le fait que de toute façon cette plainte
20:31 elle aboutisse, non Maître Joseph ?
20:33 J'ai confiance, oui, dans le fait que cette plainte aboutisse.
20:39 Alors, Marc Doyer soulève des problèmes épineux, en ce sens qu'il se heurte à une
20:49 sorte de mur d'incompréhension.
20:51 On ne parle pas d'antivax, on n'est pas antivax, on est pour la liberté de choix.
20:56 On a toujours dit, et moi j'ai toujours dit depuis 20 ans, je ne suis pas antivax,
21:02 je suis pour la liberté de choix, que chacun puisse dire s'il veut ou ne veut pas.
21:08 Tout comme je ne suis pas fumeur, mais moi je ne suis pas partisan d'une interdiction de fumer.
21:15 Que les fumeurs fument s'ils le veulent, mais moi je ne m'oblige pas à fumer.
21:20 Voilà ce que je revendique.
21:22 Alors, cette religion dans laquelle on est boulonnés depuis très longtemps,
21:27 elle se retrouve à tous les niveaux.
21:30 J'ai vu dans plusieurs procédures concernant notamment le vaccin hépatite B,
21:35 des experts à qui les tribunaux demandaient "est-ce que la maladie de cette dame vient du vaccin ?
21:44 Et si elle ne vient pas du vaccin, vu qu'elle était en bonne santé avant,
21:50 qu'elle n'avait aucun antécédent, dites-nous de quoi elle vient ?"
21:54 Un des experts nous disait, en gros, "on ne sait pas de quoi ça vient, mais ça ne vient pas du vaccin."
22:00 Ce qui fait qu'on a quand même gagné nos procès là-dedans,
22:03 parce que les tribunaux trouvaient ça quand même un petit peu sommaire.
22:08 On voyait bien qu'ils avaient peur de dire "oui, oui, ça pourrait venir du vaccin."
22:16 Donc les tribunaux ont jugé dans plusieurs cas qu'il y avait une présomption de lien de causalité.
22:22 Voilà où on en est.
22:24 C'est un petit peu celui, remarquez ça nous arrange dans certains cas,
22:28 celui qui a arraché le sac d'une vieille dame, elle tombe, elle fracture le col du fémur.
22:33 Il va nous dire "oh, mais c'est une coïncidence, elle serait tombée de toute manière."
22:38 C'est exactement ça qu'on nous dit.
22:40 Il y a une question que je me pose moi depuis longtemps, justement par la présomption de causalité.
22:47 Aujourd'hui on est quand même dans un principe de précaution poussé à l'extrême en France et en Europe,
22:52 sur certaines questions, en tout cas notamment d'hygiène et de sécurité,
22:58 sur les questions agricoles par exemple, ou agro-industrielles.
23:02 Et on a l'impression que ce principe de précaution aujourd'hui n'est absolument pas appliqué,
23:08 il n'est pas égal en tout cas sur cette question du vaccin et notamment de ces nouveaux vaccins.
23:13 C'est normal, on est dans une religion, on croit.
23:16 Donc il n'y a pas de principe de précaution.
23:18 On peut mettre toutes les saloperies qu'on veut dans un produit, on croit.
23:21 Donc c'est possible.
23:23 Regardez, on a retiré l'aluminium des médicaments,
23:28 on les a retirés des produits cosmétiques en disant "ce n'est pas bon pour la peau".
23:32 On les a retirés de certains produits pâte à modeler pour les enfants.
23:35 Mais on les a gardés "ah c'est un vaccin, on croit".
23:39 Donc ça montre bien qu'on est dans une religion totalement chloroformée,
23:45 qu'on ne se pose aucune question.
23:47 Alors que de l'aluminium il y en a des doses massives,
23:49 dans presque tous les vaccins, on le sait.
23:52 Il suffit de regarder les fiches.
23:55 Oui, puis il y en a de plus en plus.
23:56 Mais justement, comment vous expliquez qu'aujourd'hui ça ne puisse pas être réglé,
24:00 notamment sur le plan judiciaire ?
24:03 Un principe de précaution qui doit être appliqué de la même façon partout ?
24:07 La religion, on croit.
24:08 Donc tout est possible, on ne veut pas savoir "ah oui on croit".
24:14 Marc Doyer, est-ce que finalement, en présence de votre avocat Maître Joseph,
24:19 vous, vous aviez soulevé la question de l'effet indésirable du vaccin Covid-19,
24:24 est-ce que finalement ça vous fait douter plus largement sur le système de vaccination ?
24:31 Bien sûr, mais moi c'est ce que je dénonce aussi depuis le début,
24:37 c'est qu'à partir du moment où dans toute cette affaire il y a eu un manque de transparence,
24:41 où effectivement on se retrouve face à des autorités qui veulent tout simplement
24:48 ne rien voir, ne rien dire,
24:50 le danger c'est que si demain il y a vraiment une épidémie grave
24:54 et qu'on a besoin de vacciner les gens, moi-même je n'irais pas par exemple.
25:01 Parce que là en fait, les gens le savent quand même,
25:06 regardez il y a quand même quelques semaines, d'un seul coup Pfizer nous dit "mais non, non,
25:10 en fait ça ne protège pas contre la transmission".
25:15 Et vous vous rendez compte que ça a été l'argument majeur utilisé pour nous dire de nous vacciner.
25:19 Comment voulez-vous qu'on ait confiance ?
25:21 C'est pour ça qu'encore une fois, j'insiste lourdement,
25:23 là je crois que d'ailleurs pour le bien de tous, pour apaiser le débat,
25:28 j'espère qu'en France il va y avoir un ou une juge qui va avoir le courage tout simplement de nous entendre.
25:34 Moi je veux bien qu'au bout du compte on nous dise "bah non, vous êtes trompés",
25:36 mais il faut qu'il y ait une enquête.
25:37 Et comme dit Jean-Pierre Joseph, on ne peut pas se contenter de dire
25:40 "c'est pas possible".
25:41 Vous vous rendez compte que moi quand le médecin a fait le signalement à la LSM,
25:45 ils se sont contentés de dire "non, c'est pas possible parce que c'est une maladie qui se développe sur des années".
25:49 Alors qu'on a entre les mains et qu'on leur met à disposition justement des formes ultra rapides.
25:54 Vous avez des gens à qui vous dites "attention, warning", et c'est ce qu'a dit mon médecin,
25:59 j'ai Mme Doyer qui me développe une forme, je n'ai jamais vu ça,
26:03 et vous avez en face la LSM qui répond "non, c'est pas possible parce que normalement ça met des années à se développer".
26:09 Mais oui, justement, on est en train de vous dire que là les gens meurent en un mois et demi.
26:13 Et vous savez, le neurologue de l'hôpital américain, je veux aussi qu'il soit devant le juge pour qu'il dise
26:20 "pourquoi il m'a dit un jour au téléphone c'est vrai que votre femme n'avait pas toutes les lésions
26:26 que l'on trouve normalement dans cette maladie".
26:29 Donc voilà, qu'est-ce qui a fait ça ? Pourquoi ? C'est tout.
26:34 Donc effectivement, à la question de demain, moi je n'ai pas fait de troisième dose,
26:38 je ne ferai pas de quatrième, je n'irai pas à la cinquième.
26:41 Et en ce moment, j'ai peur de faire vacciner ma petite fille pour n'importe quel vaccin.
26:45 Donc ça c'est un danger pour notre société, parce qu'évidemment,
26:49 je veux dire, la médecine a fait d'énormes progrès, la médecine a sauvé des gens,
26:53 et aujourd'hui en chirurgie on sauve des gens,
26:56 on sauve aujourd'hui des gens pour des maladies avant pour lesquelles ils mourraient.
27:00 Donc moi je ne suis pas quelqu'un, je ne suis pas en train de vous dire que je ne crois plus en rien,
27:04 qu'il ne faut pas aller vous faire vacciner, que tout est mauvais.
27:06 Simplement là, il y a eu un problème.
27:09 Allez interroger Mélodie de Où est mon cycle ?
27:12 Allez voir des gens comme Réinfo Covid.
27:14 On a reçu des milliers de témoignages.
27:16 On ne peut pas nous dire aujourd'hui que c'est une coïncidence,
27:18 quand vous avez des milliers de personnes qui tombent malades après s'être vaccinées.
27:22 Hier, j'ai encore rencontré quelqu'un, vous voyez, qui est venu à mon cabaret.
27:26 Bon, je recevais quelqu'un pour de la cuisine, qui me dit
27:29 "Ah mais depuis que j'ai été vacciné, je suis fatigué, j'entends moins bien,
27:33 j'ai perdu une partie de la vue, je ne lui ai rien dit moi".
27:38 Eh bien, j'ai entendu là ce que j'entends depuis des mois,
27:43 dans les différents témoignages qu'on reçoit.
27:46 Donc il y a bien un problème.
27:47 Maintenant qu'Emmanuel Macron peut-être nous dise "bah oui, puisqu'il avait dit nous sommes en guerre".
27:52 Moi vous savez c'est pareil, je n'ai jamais entendu parler de guerre pour une épidémie.
27:55 Donc qu'est-ce qu'il voulait dire par ce thème "nous sommes en guerre" ?
27:58 On peut penser à tout, après on me dit que je suis complotiste.
28:01 Alors quand il dit "nous sommes en guerre", qu'est-ce qu'il faut entendre ?
28:03 Que c'est un virus sorti d'un laboratoire ?
28:05 Que c'est, vous voyez, que c'est une arme bactériologique ?
28:07 Alors on va dire "oui, là, Marc Doyle est complotiste".
28:09 Mais attendez, c'est le manque de transparence des gens qui nous gouvernent
28:14 qui fait qu'aujourd'hui les gens peuvent penser et dire parfois même n'importe quoi.
28:19 Donc, encore une fois, moi je veux apaiser le débat
28:23 et je pense qu'aujourd'hui il est temps pour toutes les familles de victimes,
28:26 tous les gens qui ont souffert, aussi bien d'ailleurs les gens qui sont morts du Covid.
28:29 Mais moi, je veux simplement savoir ce qui s'est passé.
28:32 Est-ce que j'ai eu le droit ?
28:33 J'ai vu ma femme mourir pendant huit mois dans mon salon, vous vous rendez compte de ça ?
28:37 Et je m'entends dire que je suis complotiste et je me fais insulter,
28:41 menacer sur les réseaux sociaux, y compris par les amis de M. Macron.
28:45 C'est-à-dire, vous avez une espèce de médecin urgentiste, là, vargon.
28:50 Il y a des gens qui ont écrit...
28:51 Le mari de la ministre, l'ancien secrétaire d'État.
28:54 Voilà, le mari de la ministre.
28:55 J'ai interpellé la ministre sur ce sujet.
28:57 J'ai dit, mais vous vous rendez compte ce que votre mari a écrit sur les réseaux sociaux, quand même ?
29:01 Moi, on a dit que ma femme était peut-être pas malade, que j'avais peut-être simplement battu.
29:06 Vous vous rendez compte ?
29:07 Je suis un homme dans mon salon en train d'essayer de sauver mon épouse.
29:10 Je gère une pathologie qui est affreuse et je dois faire face à ça ?
29:15 Mon fils, vous voyez, il a été viré de Twitter il y a quelques jours
29:18 parce qu'il lit des choses sur sa mère, il lit des choses sur son père, effroyable.
29:22 Donc, il a eu des mots malheureux, alors que ça fait des mois, des semaines
29:26 que lui-même, il est insulté, menacé.
29:29 Et finalement, comme il a eu des mots malheureux, toute l'armada en marche,
29:32 ils l'ont signalé en masse et c'est lui qui a fini par se faire virer de Twitter.
29:36 Moi, je veux de la justice parce que tout ça, c'est de l'injustice.
29:39 Voilà, c'est tout.
29:41 Vous savez, je suis entre...
29:42 Je n'ai pas de haine.
29:45 Je n'ai pas de haine parce que de toute façon, rien ne me la rendra.
29:48 Mais je veux me battre pour tous les gens qui parfois m'appellent,
29:52 qui sont dévastés et qui ne savent pas quoi faire.
29:54 Donc, cette plainte est le moyen de pouvoir essayer d'obtenir
29:59 un peu de reconnaissance, de la transparence et surtout qu'on lui dise
30:02 pourquoi on a choisi de sacrifier des gens pour soi-disant en sauver d'autres.
30:07 Moi, je veux savoir si c'est vrai, parce qu'à ce moment-là,
30:09 si on a sacrifié ma femme, écoutez, je serais fier d'elle.
30:12 Ça sera peut-être une victime de guerre. Voilà.
30:15 Tous les messages qu'il a reçus, les messages de haine qu'il peut recevoir
30:21 montrent bien qu'on est dans une religion.
30:26 C'est-à-dire ?
30:27 Eh bien, tous ces gens qui s'excitent contre lui, comme ils croient,
30:33 ils ne peuvent pas entendre des faits.
30:37 On leur dit "mais regardez les chiffres, regardez les faits".
30:39 Ah non, non, ce n'est pas possible.
30:40 Donc, on va dire "ah ben, il est complotiste".
30:43 Donc, puisqu'il est complotiste, il ment forcément.
30:46 Si aujourd'hui, il nous dit qu'il fait doux pour la saison,
30:51 ah non, non, non, il est complotiste.
30:53 Donc, il neige, moi je mets l'anorak et les bottes de ski.
30:56 Mais ce que je trouve très intéressant dans l'escours de Marc Doyer,
30:59 Maître Joseph, c'est également qu'il explique que finalement,
31:02 ce n'est pas ce qu'il ne peut pas avoir ces discussions claires,
31:05 notamment sur les chiffres, sur la reconnaissance des affaires désirables,
31:08 malgré pourtant toutes les alertes qu'il a pu donner.
31:11 C'est parce que tout cela n'est pas reconnu qu'aujourd'hui,
31:15 finalement, de plus en plus de personnes sont légitimes à se poser des questions
31:19 sur une éventuelle corruption du gouvernement ou d'autres agences de santé.
31:26 Et finalement, c'est ce dialogue impossible,
31:28 c'est cet échange impossible autour de faits, au départ,
31:32 autour de faits et de chiffres,
31:34 qui aujourd'hui va provoquer ce que les autres redoutent le plus,
31:38 c'est-à-dire une forme de complotisme.
31:41 C'est quand même le serpent qui se met à la queue, cette histoire.
31:43 Je peux réagir ?
31:44 Oui, bien sûr.
31:45 Je vais vous parler d'une anecdote.
31:46 Vous savez, il y a quelques semaines, je ne sais pas si vous avez suivi,
31:48 quand ils ont revoté la loi Covid, j'étais à l'Assemblée nationale.
31:52 J'étais en tribune et il se trouve que je vois monter en tribune
31:56 le député et professeur Juvin,
31:58 celui qu'on entend depuis quelques jours partout dire qu'il faut se vacciner.
32:02 Je lui ai parlé, je vous jure que c'est vrai,
32:04 qu'il vienne devant moi dire que c'est faux.
32:05 Je lui ai parlé du cas de Morissette.
32:09 Il me dit "ah oui, oui, mais on sait,
32:12 ce sont des encéphalopathies d'origine auto-immunes".
32:16 Vous vous rendez compte ?
32:17 Et il me dit à ce moment-là "comment va votre femme ?"
32:19 "Bah, je lui dis qu'elle est décédée".
32:20 Et là, il y a eu un trou, la conversation s'est arrêtée.
32:23 Vous vous rendez compte que depuis quelques jours,
32:24 il est sur tous les plateaux de télé,
32:26 qui dit que les soignants non vaccinés vont tuer leurs patients,
32:30 alors que moi j'ai attrapé le Covid quand je suis allé à l'hôpital
32:33 avec des gens qui étaient soi-disant vaccinés.
32:35 Est-ce que vous vous rendez compte qu'il dit à tout le monde,
32:37 aux gens et qu'il continue de dire aux gens "vaccinez-vous" ?
32:40 Alors qu'il m'a dit, moi, à l'Assemblée nationale en privé
32:43 "oui, on le sait, ça peut déclencher des encéphalopathies d'origine auto-immune".
32:49 Mais c'est extrêmement grave.
32:51 C'est-à-dire que là, vous avez un député médecin qui a un double langage.
32:54 À moi, il dit "on le sait" et il dit aux gens "allez vous faire vacciner".
32:59 Mais finalement, il ne leur dit pas, au moment où il leur dit "allez vous faire vacciner",
33:02 qu'ils peuvent avoir une encéphalopathie d'origine auto-immune.
33:05 Est-ce qu'on peut préciser ce que c'est qu'une encéphalopathie, Marc Doyer ?
33:10 Écoutez, ça ressemble, c'est une forme de ce qu'a eu Morissette.
33:16 C'est-à-dire que c'est une atteinte cérébrale très grave.
33:19 L'encéphalopathie spongiforme, c'est le nom technique et savant
33:23 de la maladie de Crossfold-Lacobre et de la maladie de la vache folle.
33:26 Donc, est-ce que le professeur Juvin, quand il dit aux gens,
33:31 et c'est le fond du débat, finalement, c'est ce que je veux, moi.
33:33 On parle là du consentement libéré-éclairé.
33:36 Est-ce qu'il ne devrait pas dire dans ce cas-là aux gens ?
33:39 Mais là, c'est impossible à entendre.
33:41 Oui, mais vous savez, on ne sait pas finalement, on ne connaît pas bien ces vaccins.
33:44 Vous pouvez développer une maladie de la vache folle, mais non, c'est impossible.
33:48 Bien sûr, il ne peut pas dire ça, mais il ne peut pas non plus continuer de dire
33:52 comme il le fait et comme font d'autres médecins.
33:54 Comme on voit, par exemple, il y a quelques jours sur les panneaux d'autoroutes.
33:56 Vous vous rendez compte un petit peu ?
33:58 Vaccinez-vous contre la grippe et le Covid.
34:00 Non, parce qu'ils se sont tentés de dire ça comme ça.
34:03 Surtout, imagine, alors nous, mais qu'est-ce qu'on est là-dedans ?
34:07 On est quoi, de la chair à canon ?
34:08 C'est-à-dire que moi, je dois continuer d'aller simplement au cimetière de ma femme.
34:12 Frédéric doit ne plus passer Noël.
34:15 J'ai lu un témoignage d'une femme qui était terrible il y a quelques semaines,
34:21 parce que tellement elle avait des douleurs atroces,
34:24 elle a supplié son médecin de lui faire l'ablation de l'utérus.
34:28 Voilà la réalité que vos éditeurs doivent entendre.
34:31 Je ne suis pas en train de vous dire que ça va arriver à tout le monde,
34:33 mais ça arrive, c'est arrivé.
34:36 Est-ce qu'aujourd'hui en France, on peut accepter ça ?
34:38 Est-ce qu'on peut cacher ça derrière deux mots horribles qui sont "bénéfice-risque" ?
34:44 Alors qu'en plus, ce n'est pas prouvé.
34:46 Ben oui, c'est ça en plus.
34:47 C'est que mettons tout à plat, notamment la question du bénéfice-risque.
34:52 Voilà, je veux qu'on fasse la lumière là-dessus.
34:54 Alors, je suis désolé, des fois j'ai des mots.
34:56 Est-ce qu'il faut que je montre, et je ne le ferai pas d'ailleurs,
34:58 des images de Morissette pendant huit mois là sur son lit,
35:03 où parfois je la voyais avoir des larmes
35:04 parce qu'elle était enfermée dans son corps
35:06 et qu'elle se rendait compte de tout ce qui se passait ?
35:09 Je ne souhaite ça à personne.
35:10 Mais est-ce que j'ai mérité ça, moi ?
35:12 Est-ce que mes enfants méritaient ça ?
35:14 Est-ce qu'en plus de cette peine,
35:17 on doit nous rajouter l'omerta, la corruption ?
35:21 Là, nous reconnaissons.
35:22 Les gens qui se contentent.
35:23 Mais c'est impossible, ça.
35:24 Oui.
35:25 C'est impossible.
35:26 Marc Doyer, je pense que...
35:27 Il faut savoir une chose, c'est qu'il faut que ça s'arrête, ça,
35:30 parce que ça va mal finir, je peux vous le dire.
35:32 Ça va mal finir.
35:34 Moi, là, maintenant, je suis arrivé à un point
35:37 où je suis prêt à faire n'importe quoi
35:39 pour simplement qu'on reconnaisse.
35:40 Et quand je dis ça, mon fils me dit
35:45 "mais papa, me laisse pas tomber de la ce manière".
35:46 Il m'a dit ça, vous vous rendez compte ?
35:47 "Papa, me laisse pas tomber",
35:48 parce que bien sûr, il sent bien que je ne suis pas bien, moi.
35:51 Mais je veux la vérité.
35:53 C'est quand même pas compliqué.
35:54 Je veux la vérité.
35:56 Alors parallèlement, Marc Doyer cite ce député médecin
36:01 qu'on voit maintenant sur les plateaux.
36:03 Mais parallèlement, Martine Vonner,
36:05 qui était aussi députée médecin,
36:07 a été poursuivie et condamnée par le Conseil de l'Ordre
36:09 parce qu'elle s'était exprimée simplement.
36:12 Et il y a plusieurs médecins qui ont été poursuivis
36:14 parce qu'ils s'exprimaient contre cette omerta.
36:17 Et notamment également Alain Houpert,
36:20 sénateur et médecin également,
36:22 qui, visiblement, pour toutes ces personnes,
36:25 il n'est pas autorisé de s'exprimer
36:28 et de donner son point de vue alors qu'ils sont parlementaires.
36:31 On a bien reçu votre message, Marc Doyer
36:34 et Maître Jean-Pierre Joseph.
36:36 Aujourd'hui, le plus simple pour toutes les personnes
36:39 qui nous ont entendus, qui veulent se joindre à votre plainte.
36:41 Si vous écrire à plaintes@particiviletoutestcollé.org,
36:47 il s'agit ici de faire du bruit autour des effets indésirables
36:52 du vaccin Covid-19, de faire du bruit et surtout de faire justice.
36:56 Tout simplement.
36:57 Justice que vous ayez tort ou raison.
37:00 C'est ce que vous voulez, Marc Doyer.
37:01 C'est que la justice soit faite finalement
37:03 et qu'un échange et que des faits puissent être posés sur la table.
37:07 Merci beaucoup à vous deux.
37:09 On a bien compris votre désaccroi, votre détresse.
37:12 Et évidemment, on vous soutient.
37:14 On est de tout cœur avec vous.
37:15 A bientôt.
37:17 Vous appréciez cette émission ?
37:19 Alors aidez Radio-Courtoisie à en produire d'autres.
37:21 En indépendance totale.
37:24 Rendez-vous sur soutenir.radiocourtoisie.fr.
37:28 Merci d'avance.
37:29 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org