Michel Drucker : un "sacré queutard" selon Éric Antoine

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Michel Drucker : un "sacré queutard" selon Éric Antoine
Transcript
00:00 Je vais parler d'un de vos choix à vous, c'est sur Instagram.
00:06 Quelle est l'unité de mesure de la musique de merde ?
00:09 C'est pas de moi ça en plus.
00:11 Il y a toute une polémique autour.
00:12 J'ai juste reposté un truc.
00:14 Moi, le Capital Sympathy, c'est pas mon truc.
00:18 J'en ai rien à foutre de plaire ou pas.
00:20 "Live in easy, live in free,
00:23 C'est une éthique à tourner en dehors de la règle.
00:27 Aide qui m'autre, live in me,
00:31 Take it easy, live in the street."
00:34 L'accent anglais de Christian,
00:36 dire qu'il a un accent anglais, c'est beaucoup dire.
00:38 C'est assez loin du compte.
00:40 Pourquoi pas, il vous ressemble assez ?
00:42 Il me ressemble ?
00:43 Dans le parcours.
00:44 Ah bon, pourquoi ?
00:45 C'est quelqu'un qui s'est bagarré pour arriver là où il en est, malgré les autres.
00:48 Quand tu fais de la musique de merde,
00:50 t'acceptes qu'on dise des conneries au moment où on tourne.
00:52 Parce que avoir si peu d'humour,
00:55 et faire un truc d'un tel niveau,
00:57 ça plaît énormément.
00:59 Mais ça plaît aux prépubères qui connaissent que ça
01:01 et qui s'intéressent pas à autre chose.
01:03 Et là, je vois Vincent dans les bras d'Ekim.
01:10 C'est une blague ou quoi ?
01:12 Je suis où, là ?
01:13 C'est le retournement de situation totale.
01:15 Qu'est-ce qui s'est passé quand j'étais pas là ?
01:17 Regardez-moi ça.
01:19 Instant replay.
01:21 Mais il est deux, mes talents.
01:23 Regarde, regarde.
01:25 Oh là là !
01:27 C'est elle qui attaque, là.
01:28 Là, y a quelque chose.
01:29 Ça s'appelle un viol.
01:31 Non !
01:33 Il a l'air très consenti, en tout cas, si c'en est un.
01:35 Passe-moi elle, ostie.
01:37 Mais relax, oh.
01:39 C'est quoi, là ?
01:40 Je veux rentrer chez moi.
01:41 Je reste pas là.
01:43 On fera ça après, commencez pas maintenant.
01:44 J'aime pas ça, j'aime pas ça.
01:46 C'est quoi ?
01:47 Non, on fait pas ça plus.
01:48 On fera ça après, viens, viens.
01:49 C'est très bien, tout le monde mais pas elle.
01:51 Il envoie des vieux.
01:53 Des vieux.
01:58 Non mais franchement, des vieux.
02:01 Bon, on aurait pu s'attendre à tout, mais des vieux.
02:06 Bien sûr, chaque week-end, comme beaucoup de Français,
02:08 vous faites un petit tour à la maison de retraite,
02:10 puisque vous intervenez dans "Vivement Dimanche".
02:12 Michel Drucker sera notre invité cette semaine.
02:14 C'est salode ce que tu viens de dire, mais c'est vraiment vrai.
02:15 C'est méchant, c'est pas vrai.
02:17 C'est méchant.
02:18 Je suis méchant, de toute façon.
02:20 Là, les vieux, là, les vieux.
02:22 On est envahis, en fait.
02:23 Il y en a dix partout dans la maison.
02:25 Ils sortent de partout.
02:26 L'invasion, hein.
02:27 Dix, on a l'impression que c'était 25.
02:29 Qu'est-ce qu'ils font là ?
02:31 Peut-être qu'ils ont préparé leur valise
02:33 et puis qu'ils vont partir et nous, on prend la place ce soir.
02:36 Bonjour.
02:37 Bonjour, qu'est-ce que...
02:39 Envolez, bien enchanté.
02:43 Ça fait ranger.
02:44 Ça fait ranger.
02:45 Oui, ça fait ranger.
02:46 Justement, Michel sera notre invité cette semaine.
02:48 J'ai envie de le connaître et de pas me foirer sur l'interview quand il y aura.
02:51 Donc, j'ai deux, trois questions à vous poser sur lui.
02:53 Par exemple, si vous deviez le décrire.
02:55 C'est un homme de cœur et c'est un sacré queutard.
02:58 Non, Michel Drucker ?
02:59 Mais t'es ouf.
03:00 Ah ouais.
03:01 Ça va lui faire plaisir, ça.
03:02 Comment il dit stop, lance pas mande, j'imagine.
03:04 Pour l'instant, oui.
03:05 C'est fini ?
03:07 Oui.

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