Frédéric Antonetti s'exprime sur le discours de Marc Keller avant la réception d'Ajaccio

Transcript

00:00 Non, je ne pourrais pas s'en rendre compte, mais Marc Ader a l'avantage d'être le président,

00:07 un ancien grand joueur.

00:08 Il a été aussi directeur général de club, donc il connaît les codes.

00:15 Et quand il parle à des joueurs, c'est un joueur qui parle à des joueurs.

00:21 Donc très très important.

00:23 Et puis ce joueur était excellent.

00:24 Je n'ai vu des présidents parler aux joueurs.

00:30 Des fois, tout le monde rigolait à la fin.

00:33 Là, personne n'a rigolé, parce que c'était un discours qui leur parle.

00:40 Parce que des fois, les discours peuvent être très très bons, mais c'est à côté de

00:45 la plaque.

00:46 Parce que ce n'est pas le monde du football.

00:49 Il y a des codes dans le monde du football.

00:51 Il y en a qui mettent du temps à comprendre, il y en a qui comprennent, il y en a qui ne

00:54 comprennent jamais.

00:55 Et Marc Ader, il a fait un discours.

00:58 Ce joueur était excellent.

00:59 Et ça fait partie du jeu du maintien.

01:06 Oui, mais vous me posez une question.

01:16 Comment voulez-vous que je sache ? Oui, si on voit l'effet, oui.

01:19 Est-ce que c'est ça ? Je crois que c'est un ensemble.

01:21 Et on a été très unis tout le temps.

01:24 Je vous parlais d'unité tout à l'heure.

01:26 Demain, je vous dis, il y a un président qui vient et qui est à côté de la plaque,

01:32 peut-être qu'il va faire l'affaire inverse.

01:34 Mais moi, franchement, quand on connaît les codes, on sait où on va.

01:42 Il savait où il allait.

01:43 Et il apportait un plus.

01:44 Oui, il apportait un plus.

01:46 Merci.