Bercoff dans tous ses états - Émission du 26 mai

  • l’année dernière
Avec Chloé Frammery, lanceuse d'alerte et réinformatrice depuis 11 ans, prof de maths mise au chômage anticipé pour cause de positionnement qui dérange.

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##BERCOFF_DANS_TOUS_SES_ETATS-2023-05-26##

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Transcript
00:00 - Sud Radio Bercov dans tous ces états.
00:03 Le fait du jour.
00:04 - Effectivement, demain à Genève, une manifestation.
00:07 Une manifestation demain à Genève, place des Nations,
00:10 demain à 14h, samedi 27 mai.
00:13 "Souveraineté des peuples face à la prise de pouvoir de l'Organisation mondiale de la santé sur les états et du futur traité pandémie,
00:20 menaçant les libertés fondamentales de chacun, faisons front tous ensemble."
00:24 Ça c'est le slogan de la manifestation.
00:27 Et nous avons avec nous Chloé Framry, qui est lanceuse d'alerte et informatrice.
00:31 Bonjour Chloé Framry.
00:33 - Bonjour André Bercov, est-ce que vous m'entendez ?
00:36 - Eh bien écoutez, on vous entend très bien.
00:39 - Magnifique.
00:40 - Et alors voilà, vous êtes donc en direct de Genève, vous m'appelez de là.
00:45 Et en fait, je vois lorsqu'il se dit, oui, l'Organisation mondiale de la santé préparerait,
00:52 mais toujours conditionnel, un traité plan pandémie à venir.
00:56 Les pays qui ratifieront ce traité seront soumis à une tyrannie sanitaire
01:00 lors de la survenue d'une nouvelle épidémie décrétée par l'OMS.
01:04 Donc, en fait, ce qui se dit, enfin par certains, il y a un plan pandémie qui se prépare.
01:09 Alors, ça veut dire quoi ? Y a-t-il une nouvelle pandémie qui est annoncée, Chloé Framry ? Expliquez-nous.
01:15 - Alors, c'est ce qu'on peut lire entre les lignes, parce que ce n'est pas une supposition,
01:18 c'est effectivement un traité qui est en train de se négocier en ce moment à Genève jusqu'au 30 mai.
01:22 C'est une session de l'Assemblée mondiale de la santé, la 3 septembre qui vient.
01:26 Et ce traité est censé être adopté l'année prochaine, en mai 2024, à l'OMS.
01:33 - Oui, attendez, on vous entend hâcher, Chloé. Est-ce que vous pouvez, ou vous rachetez du micro ?
01:38 Allez-y, parce que vous vous entend un peu hâcher. Allez-y, je vous écoute. Allez-y.
01:42 - Vous me dites que c'est bon ? - Oui, ça va.
01:44 - Alors, en fait, il y a deux textes. Il y a le traité pandémique, qu'on appelle vulgairement pandémie,
01:48 qui n'a pas ce nom-là, en fait. Pour l'instant, c'est un outil, c'est un instrument, c'est une convention,
01:52 un accord, on ne sait pas encore. Il y a un traité, et il y a la vision du règlement sanitaire international.
01:59 - C'est là, qui a déjà subi... - Pardon, Chloé, on a vraiment un problème.
02:03 Est-ce que... Je parle à Thibault Sadler, notre réalisateur.
02:07 Est-ce qu'il faudrait que Chloé prenne le téléphone, parce que c'est très hâché ?
02:10 - Je peux y aller comme ça. - Oui, ben allez-y comme ça.
02:13 - Est-ce que c'est bon comme ça ? - Est-ce que c'est mieux comme ça, Thibault ?
02:17 - Je vous entends pas. - En régie, on dit quoi ?
02:20 - Thibault, qu'est-ce qu'il en est ? Ça va ? Allez-y, Chloé.
02:24 - Ok, on continue. J'étais en train d'expliquer qu'il y a deux textes.
02:28 Il y a un traité, enfin quelque chose qui s'appellera un traité international,
02:33 qui sera au-dessus des lois nationales, et également une révision du RSI.
02:38 Le RSI, qu'est-ce que c'est ? C'est le Règlement Sanitaire International.
02:41 Il a déjà subi plusieurs révisions depuis 1951, et on remarque qu'à chaque fois qu'il y a eu une pandémie,
02:50 ça a été l'occasion pour agrandir, pour élargir le champ de ce règlement sanitaire international.
02:57 Et ces deux textes qui sont en train d'être négociés à Genève, là où je suis maintenant, en ce moment,
03:03 durant la 76e Assemblée Mondiale de la Santé de l'OMS,
03:10 - Oui.
03:12 - Donc ces négociations permettraient de donner les pleins pouvoirs à l'OMS
03:16 en termes d'urgence de santé publique, de pancrétie internationale.
03:20 - Oui, alors Chloé Frambry, ce que vous voulez dire, c'est que, en fait, l'OMS,
03:25 l'Organisation Mondiale de la Santé, aurait absolument les pleins pouvoirs
03:29 pour décréter telle ou telle mesure qui s'appliquerait obligatoirement aux nations, aux États, c'est ça ?
03:37 - C'est exactement ça, ça fait partie du texte qui est l'avant-projet du traité pandémie,
03:43 qui explique que la souveraineté des pays serait transférée directement à l'OMS
03:51 et le règlement sanitaire international ajoute que ce serait Tedros Adhanom Ghebreyesus,
03:56 donc le PDG, si on peut dire, le président, le directeur de l'OMS,
04:00 qui aurait la décision souveraine et suprême de décider, donc, s'il y a une pandémie,
04:08 ou en tout cas une urgence de santé publique de portée internationale.
04:12 Et pour la petite histoire, André, ça s'écrit "fake" en anglais, ça s'écrit P-H-E-I-C,
04:19 - Ah oui, "fake". - Si on le prononce comme "fake", comme "fake news", c'est rigolo.
04:23 - Mais dites-moi Chloé, non juste, alors, parce que le projet, tout le monde peut le consulter,
04:29 il est public, on le voit, en fait, certains vous disent, parce que j'ai regardé un peu,
04:35 on a regardé un peu de dossier là-dessus, est-ce qu'effectivement, ce que disent certains,
04:42 oui, mais l'article 4, par exemple, ce qui est en train de se passer,
04:47 on a bien une réaffirmation de l'indépendance des États dans la définition et la gestion de la santé publique,
04:55 mais, ajoutent certains, immédiatement après, effectivement, le balancier par une autre direction,
05:01 par ce que l'on dit dans le rapport, le droit souverain des États n'existe que dans la mesure où les activités des États
05:07 ne nuisent pas à leur population ni aux autres pays, effectivement, qu'est-ce que ça veut dire "nuire", c'est ça le problème ?
05:13 - Qu'est-ce que ça veut dire ? Merci André d'avoir mis le doigt sur les mots importants,
05:17 parce qu'effectivement, qui décide dans quelle mesure un pays nuit à un autre en termes de santé publique ?
05:24 On a vu avec le Covid que le "tous vaccinés, tous protégés" était le mantra,
05:29 et qu'on nuisait aux autres en ne se vaccinant pas, on a vu ce que ça a donné.
05:36 - Alors, justement, aujourd'hui, si vous voulez, est-ce que ça va se décider cette semaine ou la semaine prochaine ?
05:44 Est-ce qu'il doit être accepté par les 194 États, par la majorité absolue, par une partie ?
05:52 Est-ce que vous savez, Chloé, c'est important ? Comment ça peut se passer ?
05:56 - Il y a deux choses. Il y a les deux textes. Il y a le traité pandémie d'une part et le RSI d'autre part.
06:01 Le traité pandémie est censé être adopté avec deux tiers des voix.
06:06 Il faut savoir que vous avez cité qu'il y a 194 pays, et que chaque pays est représenté par une délégation
06:14 qui comporte plusieurs personnes. Par exemple, pour la France, il y a 36 personnes qui se constituent.
06:21 - Qui participent, qui consultent.
06:23 - Voilà. Et ensuite, ils donnent une seule voix, évidemment, par État membre.
06:27 En Suisse, je crois qu'on a 14 représentants.
06:30 Il faut savoir aussi que parmi ces représentants, on a le ministre de la Santé du pays,
06:34 et puis des docteurs, des experts qui sont désignés par le gouvernement du pays.
06:40 - Du pays, d'accord.
06:41 - Et puis, pour le règlement sanitaire international, il faut une majorité simple.
06:45 - Ah oui.
06:46 - Et que tout ça sera voté...
06:47 - 50 % et plus, quoi. 51 %.
06:49 - C'est ça. C'est ça. Exactement.
06:51 Et que ce sera voté, normalement, en mai de l'année dernière.
06:54 Ce qui se passe de l'année prochaine, de l'abstus révélateur, en fait, c'est ce que je souhaite.
06:59 C'est que ça ne soit jamais voté. C'est pour ça que je projette.
07:02 - Alors, c'est quoi ? Sur le RSI, ce serait quoi, en fait, par rapport au plan pandémie ?
07:08 - Alors, le RSI, c'est ce qui met en œuvre le traité pandémie.
07:12 C'est ce qui enlève, si vous voulez, l'aspect non contraignant des recommandations de l'OMS.
07:19 Dans l'article 1 du RSI révisé, on voit, par exemple, que la mention non contraignant,
07:25 l'avis de l'OMS non contraignant, est barrée.
07:29 - D'accord.
07:30 - Et que, donc, c'est le...
07:32 - Ça deviendrait contraignant, quoi, en fait, quelque part.
07:35 - C'est ça. Ça deviendrait contraignant, exactement.
07:36 Et puis que les pays ne sont que consultés, mais n'ont pas leur mot à dire sur l'application des mesures
07:44 qui seront appliquées obligatoirement par les 194 pays membres.
07:49 - Oui. Alors, moi, je voudrais juste vous citer, ça m'intéresse d'avoir votre réaction.
07:54 Il y a eu, je crois que dans le cours d'un 20 minutes, Hélène de Poter,
07:58 qui est maître de conférence en droit public spécialisé en droits internationals face aux pandémies.
08:02 Elle a été interviewée et elle dit que le projet est intéressant sur certains aspects,
08:07 mais reste vague sur beaucoup d'autres.
08:10 Voilà. Donc, effectivement, le projet d'accord va être formulé d'ici à mai 23.
08:16 Corrigez-moi si je me trompe, Chloé Frambril,
08:18 le projet d'accord final doit être examiné par l'Assemblée mondiale de la santé en 2024, pas en 2023.
08:25 C'est bien ça ?
08:26 - En 2023, maintenant, il y a le draft numéro 1, si on veut, qui est rédigé.
08:31 - C'est ça, mais il sera voté qu'en 2024 ?
08:35 - Exactement. Le vote est censé aboutir en 2024.
08:39 Donc, on a un an pour convaincre nos représentants de ne surtout pas signer ces deux choses.
08:46 - Alors, justement, c'est très intéressant parce que, je répète les arguments, encore une fois, d'Hélène de Poter.
08:54 Bon, elle dit, voilà, les points positifs, promotion de l'approche "Une seule santé", c'est une bonne chose,
08:59 mais elle est très imprécise, dit-elle,
09:01 promotion du partage des pathogènes et séquences génétiques à l'échelle mondiale,
09:06 répartition juste et équitable des produits de santé liés aux pandémies en fonction des risques et des besoins,
09:11 et pas en fonction des capacités et financements,
09:13 mais elle ajoute des réserves, un projet incomplet qui pourrait être amélioré sur la question de la sécurité des laboratoires
09:21 où sont étudiés des pathogènes dangereux,
09:24 sur les modalités de conclusion des contrats pharmaceutiques,
09:27 on a bien discuté de ça,
09:29 sur le phénomène de l'infodémie, et justement,
09:31 je voudrais vous interroger là-dessus parce que, une des choses qui a été très très frappante
09:35 dans la gestion de la pandémie ou de l'épidémie Covid-19,
09:40 c'est qu'on le sait aujourd'hui, sur les contrats qui ont été signés entre les États,
09:45 l'Union Européenne, pour parler de l'Union Européenne, chez nous,
09:48 et les laboratoires, que ce soit Pfizer ou Moderna ou autres,
09:52 on sait aujourd'hui, et on le sait depuis longtemps,
09:56 que les laboratoires avaient refusé toute responsabilité en ce qui concerne les dommages collatéraux
10:01 ou les effets indésirables.
10:03 Et effectivement, les États avaient accepté.
10:06 Est-ce que dans ce draft qui est en train d'être discuté,
10:09 est-ce qu'on a remis sur le tapis la responsabilité de Big Pharma,
10:14 ou en tout cas des laboratoires pharmaceutiques ?
10:16 Alors, je ne l'ai pas vu, mais ça ne veut pas dire qu'il n'y est pas.
10:20 Par contre, ce que j'ai vu, c'est que la volonté est de lutter
10:25 contre ce qu'ils appellent les informations trompeuses,
10:28 les informations fausses et la désinformation.
10:30 Ça fait partie, je crois que c'est l'article 17 ou 14 du draft 0,
10:37 de l'avant-projet du traité pandémie,
10:39 et qu'il y a une veille qui est organisée pour surveiller les réseaux sociaux
10:45 par rapport aux informations qui sont données.
10:47 Et c'est aussi intéressant de voir qu'on ne parle pas seulement
10:51 de fausses informations, mais d'informations trompeuses,
10:54 c'est-à-dire des informations qui sont vraies,
10:56 mais qui dérangent le narratif, disons, officiel de l'OMS.
11:01 Donc il y aurait une tendance pour vous vers une espèce de censure,
11:04 ou en tout cas de surveillance, de liberté très surveillée.
11:07 Absolument, oui, oui, ça fait partie du projet.
11:10 Alors justement, parlez-moi un peu de ce mouvement qui organise cela,
11:15 c'est-à-dire ce que vous êtes en train de faire,
11:18 et j'ai vu les orateurs qui viendraient d'un peu partout en Europe, etc.
11:24 Et au fond, aujourd'hui, Chloé Framery, vous avez fait partie de ce mouvement
11:29 depuis pratiquement le tout début, mais au-delà,
11:33 et vous faites évidemment traité de complotistes, etc.
11:37 Ça, vous n'êtes pas la seule, il y a Jean-Dominique Michel,
11:41 et puis il y a tous les autres,
11:43 mais au fond, est-ce qu'aujourd'hui, alors où on parle,
11:46 et on essaye d'être, moi je ne prends pas parti,
11:49 on essaye d'être le plus apaisé possible,
11:52 sinon objectif, parce que l'objectivité, c'est vraiment l'auberge espagnole,
11:57 mais qu'est-ce que, au fond, on peut dire aujourd'hui ?
12:01 En quoi, effectivement, alors je pose la question,
12:04 en quoi le fait qu'il y ait une autorité mondiale qui dirait,
12:07 écoutez, vous pensez qu'ils peuvent décider,
12:10 au fond, contre la nation, contre les États,
12:13 c'est ce côté contraignant, c'est ce côté gouvernement mondial
12:16 qui vous gêne, au fond ?
12:18 - Moi, c'est le côté privation de liberté, absence de choix
12:22 concernant notre santé et nos déplacements.
12:25 Parce que ce qui est visé, c'est nos déplacements
12:27 au travers le monde, au travers les pays.
12:29 Est-ce qu'on m'entend toujours ?
12:30 - Oui, oui, tout à fait.
12:31 - Oui, parce qu'il y a eu une sorte de brouillard.
12:32 - Non, non, très bien.
12:33 - On a vu que pendant l'épisode Covid,
12:36 on a eu des restrictions de liberté graves, assez profondes,
12:39 et même des suspensions en France qui ont duré presque deux ans,
12:44 enfin un an et demi.
12:46 - Tout à fait.
12:47 - Et que cela...
12:48 - Et le confinement, etc., tout ce qu'il y a eu.
12:50 - Et le confinement.
12:51 Alors, je sais qu'en France, ça a été gratiné.
12:53 C'était pire qu'en Suisse.
12:54 Ici, on n'a pas eu de confinement obligatoire.
12:56 - Oui.
12:57 - On n'a pas eu de couvre-feu.
12:58 On n'a pas eu de papier à signer quand on sortait de la maison.
13:02 - On n'a pas fait d'auto-attestation, etc., d'accord.
13:04 - Pas d'auto-attestation pour nous.
13:06 Par contre, des groupes restreints pour se réunir,
13:09 pour faire la fête, pour faire des repas ensemble,
13:12 au restaurant également.
13:13 Mais toutes ces mesures, d'une part, n'ont pas prouvé leur efficacité
13:17 et jusqu'à présent étaient des recommandations
13:20 que les pays appliquaient ou pas en fonction de leur politique interne.
13:25 - D'accord.
13:26 - Et à partir du moment où l'OMS décide que ces mesures sont obligatoires
13:30 sur pratiquement toute la planète,
13:32 on a des restrictions de liberté fondamentale,
13:36 de droits fondamentaux qui sont obligatoires.
13:39 Et d'ailleurs, dans la révision du RSI, très loin dans les notaires,
13:43 la mention qu'on respecte pleinement le droit de l'homme
13:49 et les libertés fondamentales est biffée.
13:52 - Ah, elle est biffée.
13:53 - Elle est remplacée.
13:54 - Oui.
13:55 - Elle est barrée.
13:56 - Oui, elle est remplacée.
13:57 - Elle est remplacée par des principes d'équité, cohérence et inclusivité.
14:06 - D'accord.
14:07 Un peu de rire au fumée, quoi.
14:10 Tout ça.
14:11 - Oui.
14:12 En tout cas, ce qui est annoncé, c'est que les droits de l'homme
14:14 ne seront pas, les droits humains ne seront pas nécessairement respectés.
14:17 - Oui, oui, oui.
14:19 Donc effectivement, vous dites que c'est un combat,
14:21 donc c'est un combat que vous menez,
14:23 qu'un certain nombre de gens mènent à travers le monde,
14:26 effectivement, et ce n'est pas seulement en Europe,
14:28 aux États-Unis et ailleurs,
14:30 et c'est un combat qui va durer jusqu'en 2024,
14:33 puisque le coup près, en tout cas,
14:35 si coup près y a, tomberait en 2024.
14:38 Et à votre avis, Chloé Frammery,
14:40 ce qui se dessine aujourd'hui,
14:42 est-ce que vous pensez qu'il y a une prise de conscience assez forte aujourd'hui,
14:47 où en fait ça dépendra des politiques,
14:50 parce qu'il y a d'ores et déjà, on sait,
14:52 des pays ou des gouvernements qui ne vont pas accepter,
14:55 et d'autres qui vont accepter.
14:56 Alors on ne sait pas, on ne va pas faire de prédiction,
14:58 mais à votre avis,
15:00 ça va être extrêmement, je dirais, sur le fil,
15:05 l'équilibre entre ceux qui vont dire "oui, nous allons céder nos pouvoirs sur ce plan-là,
15:11 pour le bien de l'humanité, pour le bien des peuples, à l'OMS",
15:15 et ceux qui disent "non, c'est très dangereux,
15:18 comme dérive justement l'hyperticide et autres".
15:23 Qui va l'emporter ? Est-ce que vous m'entendez là ?
15:25 Vous ne m'entendez plus ?
15:27 - Vous me rappelez ?
15:28 - Ah oui, mais Chloé Framry ne nous entend plus.
15:31 Écoutez, je crois qu'on a dit l'essentiel.
15:35 Ah ça y est, Chloé, vous m'avez là ?
15:38 - Oui, c'est bon, c'est bon.
15:39 - Vous nous entendez, bon.
15:40 Juste, juste, à votre avis,
15:42 cette année va être une année de bataille très forte,
15:45 on voit très très bien ce qui va se passer.
15:48 Alors il y a déjà, je répète ma question,
15:50 des pays qui vont s'opposer effectivement à cela,
15:53 en tout cas des gouvernements,
15:54 d'autres qui vont l'accepter en disant "mais oui,
15:57 délégons nos pouvoirs au nom de la santé de l'humanité,
16:02 au nom du bien-être de l'humanité".
16:04 À votre avis, ça va être un combat très très très sur le fil,
16:07 très dur, très...
16:10 - Oui.
16:11 - Oui, que vous en pensez ?
16:12 - Je pense que tout dépendra de la communication qui en sera faite,
16:14 et d'ailleurs, merci André d'en parler,
16:16 parce que je sais que vous en avez déjà parlé l'année dernière
16:19 avec Elisabeth Pélin-Zemek de Pologne,
16:22 et également avec le Dr Simonnet il y a deux mois, deux-trois mois.
16:25 - Tout à fait.
16:26 - Donc c'est très bien, c'est très important
16:28 qu'il y ait de la visibilité sur ce qui se trame à l'OMS,
16:31 parce que nos médias mainstream, pour l'instant,
16:33 n'en parlent que très timidement.
16:35 - Écoutez, nous allons en tout cas suivre ça, Chloé, nous allons...
16:38 - J'ai encore...
16:39 - Oui, allez-y, allez-y.
16:40 - Toute petite chose à dire quand même,
16:41 pour donner cette information.
16:42 Jérôme Salomon, vous vous rappelez,
16:44 l'ancien directeur général de la santé,
16:46 il est recyclé à l'OMS, comme autrefois Agnès Buzyn.
16:49 Il est maintenant vice-président du comité permanent
16:54 de la prévention, préparation, riposte,
16:57 dont ce qui concerne le traité pandémie actuel.
16:59 Donc maintenant il est aux commandes par rapport à ce qui se négocie.
17:02 - Bon, écoutez, c'est une information, oui,
17:05 on l'a signalé cela, et puis on verra
17:07 s'il va continuer à donner le nombre des morts tous les soirs.
17:10 Comme ça il le fera sur les télévisions mondiales,
17:12 ça risque d'être très très très intéressant.
17:14 A tout de suite.
17:16 Merci Chloé.
17:17 - Sud Radio Bercov dans tous ses états.
17:19 Bercov dans tous ses états.
17:21 Les perles du jour.
17:22 - Ministre, secrétaire d'Etat à l'enfance,
17:25 secrétaire d'Etat de l'enfance.
17:27 Et comme vous le savez, comme vous le savez,
17:29 le 8 juin on en reparlera évidemment,
17:31 le groupe Liott, L-I-O-T,
17:34 le groupe Liott,
17:35 Liberté indépendant Outre-mer et Territoire,
17:39 dépose une proposition de loi
17:41 visant à abroger en partie la réforme des retraites.
17:44 Et voilà, les Charles de Courson et autres
17:47 veulent prouver qu'une majorité de députés
17:50 des bancs de la droite à ceux de la gauche
17:52 est opposée au rapport de l'âge de la retraite,
17:54 de départ à la retraite à 64 ans.
17:56 On pensait que c'était fini avec le 49-3,
17:58 apparemment ce n'est pas fini,
18:00 et ça provoque des réactions.
18:01 On a vu hier,
18:03 chez Patrick Bruger dans le Grand Matin,
18:05 Yael Brune-Pivet, la présidente de l'Assemblée nationale,
18:08 on pensait qu'elle était d'accord pour la recevabilité,
18:11 elle n'est pas du tout d'accord, du tout d'accord.
18:13 Et Charlotte Gobel,
18:15 ce n'est pas son domaine,
18:17 mais après tout elle est ministre,
18:18 elle a le droit de s'exprimer,
18:19 voici ce qu'elle a dit.
18:21 - Donc oui, on fera tout pour que ce débat n'ait pas lieu,
18:25 il est inégitime politiquement, techniquement,
18:27 et il met en danger à nouveau nos finances publiques.
18:30 - Alors ça c'est formidable quand même,
18:32 ça c'est formidable, moi je veux bien,
18:34 que l'on soit pour, qu'on soit contre,
18:36 qu'on dit "c'est pas la peine, c'est fini,
18:38 ça va nous coûter des milliards encore", etc.
18:40 Mais que le débat ne doit pas avoir lieu ?
18:44 Attendez, ça s'appelle l'Assemblée nationale,
18:47 ça s'appelle le pouvoir législatif,
18:50 ça s'appelle...
18:51 Alors on dit "oui mais on a déjà discuté, ça suffit".
18:53 Oui, enfin écoutez, franchement,
18:55 je crois, cher madame le ministre Charlotte Gobel,
18:59 occupez-vous beaucoup plus,
19:01 je pense que vous le faites déjà,
19:03 des suicides d'enfants de 13 ans harcelés dans les écoles,
19:08 je crois que ça c'est un problème extrêmement grave,
19:11 mais si un groupe de parlementaires veut encore discuter,
19:15 est-ce qu'ils n'ont pas le droit de discuter ?
19:17 Ils sont là pour ça, c'est leur job,
19:19 je le rappelle comme ça, à toit hasard.

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