Jean-Baptiste Guégan, la voix de Johnny Hallyday

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Jean Baptiste Guegan est le sosie vocal de Johnny Hallyday et il nous a fait une démonstration ! Impressionnant n'est-ce pas ?

Transcript

00:00 "Tu es Gabriel, tu brûles mon esprit, ton amour étrangle ma vie"

00:07 Oh non, non, non, non, je ne maquille pas ma voix puisqu'elle est comme ça.

00:10 C'est ma tessiture vocale, elle restera comme ça.

00:12 "Tu retiens la nuit pour nous deux"

00:18 Maintenant, ceux qui n'y croient pas, c'est libre choix eux.

00:21 "Les portes du pénitencier bientôt vont se fermer"

00:31 Bonjour, c'est Jean-Baptiste Guégan, je suis chanteur, interprète.

00:34 Vous m'avez connu à la France à un incroyable talent avec mes interprétations de Johnny Hallyday.

00:38 Et je viens vous présenter mon album qui s'appelle "Toutes les larmes sèchent un jour".

00:40 La dernière fois que j'ai pleuré, je crois que c'était pour la mort de Johnny Hallyday.

00:44 Quand j'ai appris ça, oui, j'étais devant ma télé, devant BFM TV.

00:47 Il était à peu près 4h du matin.

00:48 L'ami à moi m'a appelé, il m'a dit "JB, Johnny est décédé".

00:51 J'ai eu la chance de pouvoir aller me recueillir sur la tombe de Johnny Hallyday.

00:55 Et aujourd'hui, comme je dis, toutes les larmes sèchent un jour.

00:57 Forcément, aujourd'hui, je ne pleure plus, mais j'y pense encore.

00:59 "Pour ton long sommeil"

01:05 "Tu as trouvé ton ciel"

01:10 "Ton ultime sortie"

01:13 "Et ton dernier lit"

01:16 "A Saint-Barthélemy"

01:21 Le premier disque que j'ai eu entre les mains, c'était un vinyle.

01:25 C'était "79, Pavillon de Paris" de Johnny Hallyday.

01:27 Il y avait les standards.

01:29 "Les portes durent"

01:31 "Félicitations"

01:34 "Bientôt vont se fermer"

01:39 J'ai commencé comme beaucoup ont commencé aussi, c'est-à-dire dans les karaokés.

01:43 J'étais dans l'euphorie avec la soirée, avec les potes avec qui on allait s'amuser.

01:47 Et c'est là que tout a commencé pour moi.

01:49 Une petite anecdote comme ça en passant.

01:51 C'était un monsieur qui était quand même, je dirais, dans l'euphorie aussi de la soirée,

01:54 mais qui avait bien, bien, bien picolé.

01:56 Et il vient vers moi, puis il m'a arraché le micro des mains,

01:58 et il a démonté la capsule du micro

02:00 pour voir s'il n'y avait pas quelque chose à l'intérieur de trafiqué.

02:02 Voilà, je me suis marré.

02:04 "Oui Gabriel"

02:08 Tu brûles mon esprit, ton amour étrangle ma vie

02:14 Et l'enfer

02:17 devient comme un espoir, qu'un anti-mage meurt chaque soir

02:24 Moi je veux partager autre chose que l'amour dans ton lit

02:30 Et entendre la vie et ne plus m'essouffler sous tes cris

02:37 Oh, fini, fini pour moi

02:43 Je ne veux plus voir mon image dans tes yeux

02:49 Quand j'ai été contacté pour la première fois par la France a l'Incroyable Talent,

02:53 j'ai refusé. Au premier appel, j'ai refusé.

02:56 Parce que déjà, Johnny venait de décéder,

02:58 et je trouvais ça quand même complètement indécent de ma part.

03:01 Je pensais que j'allais passer pour un opportuniste,

03:03 et c'était pas le but recherché.

03:05 D'interpréter Johnny Day comme ça devant la France entière,

03:07 sachant ce qui s'était passé auparavant.

03:09 Donc j'avais un petit peu la trouille.

03:11 Je pense qu'ils ont compris que j'étais un vrai interprète,

03:13 et non pas un imitateur.

03:15 On retient la nuit

03:19 pour nous deux

03:21 jusqu'à la fin du monde

03:24 On retient la nuit

03:29 pour nos cœurs dans sa course vagabonde

03:33 Serre-moi fort

03:36 contre ton corps

03:39 Il faut qu'à l'heure des folies

03:43 le grand amour

03:46 règne le jour

03:48 Et nous fasse oublier la vie

03:54 On retient la nuit

03:59 avec toi, elle paraît si belle

04:03 On retient la nuit

04:08 et mon amour, qu'elle devienne éternelle

04:12 Oh non, non, non, non, je ne maquille pas ma voix puisqu'elle est comme ça.

04:15 C'est ma tessiture vocale, elle restera comme ça.

04:17 Non, ceux qui n'y croient pas, c'est libre choix eux.

04:20 Mais non, généralement, quand je vais me faire mes courses ou caisses,

04:25 on vient me demander une photo et forcément, je leur parle.

04:28 Et on me dit "c'est impressionnant, c'est la même voix".

04:31 Alors je leur dis "oui, oui, c'est comme ça que j'ai été connu"

04:34 et elle restera comme ça la voix.

04:36 Je suis un fils du vent, du ciel, de l'océan

04:46 ni de la terre où dorment mes parents.

04:50 Je garde mes racines, j'ai vie et haut corps

04:55 dans mon cœur pas très fort, tout le pays est armor.

05:06 Oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh.

05:26 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

05:29 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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