#petitlapin #histoire #lapinpropreté #petitlapin
https://gotopnews.com/post/1560073
Un lecteur attire mon attention sur un cas que je n'avais pas vu passer et qui est parfaitement symptomatique de notre temps. L'enseignant que je vous ai souvent parlé mon étonnement face à la fragilité psychologique et à l'ultra-sensibilité de beaucoup nos jeunes, probablement trop couvante et choyée. Richard Martineau les appelle des «petits lapins». Cela les ennuye beaucoup sur un autre de leurs traits de caractère fréquents: leur hyper-substabilité. Cours Personnellement, ma patience disparaît devant cette frange particulière de jeunes qui, n'ayant rien accompli dans la vie, nécessite néanmoins d'être traité comme si tout lui était dû. Lisez maintenant ce qui suit. Après leur troisième année d'études médicales, nos futurs médecins commencent un extérieur de deux ans. La plupart d'entre eux, ceux de l'Université Laval passent ces deux années dans les hôpitaux québécois. Un petit nombre choisit de faire première année d'Externat dans la région, principalement dans le bas-du-fleuve et le gaspésie, et deuxième année au Québec. Il n'y a pas assez pour vouloir aller dans la région, où les besoins sont flagants. La faculté a donc décidé que ces lieux vacants seraient remplis par un tirage. Horreur! Apocalypse! Quoi, forcez-nous à prendre soin du monde dans la région pendant ... un an? Écoutez la Chronique de Joseph Facal au microphone de Richard Martineau, disponible à Balado sur la radio Qub: Parmi ces villes régionales associées au Goulag sibérien, il y a Baie-Comeau, Chandler, Thetford Mines, Rivière-du-Loup et Rimouski. Enfer, quoi. L'un dit: "Je considère que j'ai une bonne santé mentale, mais n'imagine pas aller dans une région loin du Québec, que ne sais pas, où ne connais personne et où suis imposé à l'horaire de travail médiatique". Pauvre petit lapin! Sa "santé mentale"! Un autre dit: "Cela peut rendre les étudiants fragiles encore plus fragiles". Comme le dit mon lecteur, nous ne parlons pas ici des élèves âgés qui pourraient, ce qui serait compréhensible, invoquez de jeunes enfants ou un garde partagé pour rester près d'eux. Un an dans la région! Damnation, camp de concentration! Il y a sûrement, dit mon correspondant, qui a dû s'exclamer: "Hé, ma blonde vit au Québec !!!". Dans un esprit magnanime et uni , Les étudiants offrent un compromis: ils accepteraient de passer ... six semaines dans la région. L'année dans la région serait divisée en tranches de six semaines, distribuées à plusieurs étudiants. "Faire six semaines de plus dans la région n'est pas si pire", a déclaré l'un d'eux. C'est combien de nos futurs médecins pensent. À venir Devant le tollé, vous avez deviné que la Faculté de médecine a mis les freins. "Nous sommes en mode écoute et en mode solution", a déclaré un gestionnaire. Inspirant et dévoué, cette belle gang de "Moumounes" attire tout u
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Un lecteur attire mon attention sur un cas que je n'avais pas vu passer et qui est parfaitement symptomatique de notre temps. L'enseignant que je vous ai souvent parlé mon étonnement face à la fragilité psychologique et à l'ultra-sensibilité de beaucoup nos jeunes, probablement trop couvante et choyée. Richard Martineau les appelle des «petits lapins». Cela les ennuye beaucoup sur un autre de leurs traits de caractère fréquents: leur hyper-substabilité. Cours Personnellement, ma patience disparaît devant cette frange particulière de jeunes qui, n'ayant rien accompli dans la vie, nécessite néanmoins d'être traité comme si tout lui était dû. Lisez maintenant ce qui suit. Après leur troisième année d'études médicales, nos futurs médecins commencent un extérieur de deux ans. La plupart d'entre eux, ceux de l'Université Laval passent ces deux années dans les hôpitaux québécois. Un petit nombre choisit de faire première année d'Externat dans la région, principalement dans le bas-du-fleuve et le gaspésie, et deuxième année au Québec. Il n'y a pas assez pour vouloir aller dans la région, où les besoins sont flagants. La faculté a donc décidé que ces lieux vacants seraient remplis par un tirage. Horreur! Apocalypse! Quoi, forcez-nous à prendre soin du monde dans la région pendant ... un an? Écoutez la Chronique de Joseph Facal au microphone de Richard Martineau, disponible à Balado sur la radio Qub: Parmi ces villes régionales associées au Goulag sibérien, il y a Baie-Comeau, Chandler, Thetford Mines, Rivière-du-Loup et Rimouski. Enfer, quoi. L'un dit: "Je considère que j'ai une bonne santé mentale, mais n'imagine pas aller dans une région loin du Québec, que ne sais pas, où ne connais personne et où suis imposé à l'horaire de travail médiatique". Pauvre petit lapin! Sa "santé mentale"! Un autre dit: "Cela peut rendre les étudiants fragiles encore plus fragiles". Comme le dit mon lecteur, nous ne parlons pas ici des élèves âgés qui pourraient, ce qui serait compréhensible, invoquez de jeunes enfants ou un garde partagé pour rester près d'eux. Un an dans la région! Damnation, camp de concentration! Il y a sûrement, dit mon correspondant, qui a dû s'exclamer: "Hé, ma blonde vit au Québec !!!". Dans un esprit magnanime et uni , Les étudiants offrent un compromis: ils accepteraient de passer ... six semaines dans la région. L'année dans la région serait divisée en tranches de six semaines, distribuées à plusieurs étudiants. "Faire six semaines de plus dans la région n'est pas si pire", a déclaré l'un d'eux. C'est combien de nos futurs médecins pensent. À venir Devant le tollé, vous avez deviné que la Faculté de médecine a mis les freins. "Nous sommes en mode écoute et en mode solution", a déclaré un gestionnaire. Inspirant et dévoué, cette belle gang de "Moumounes" attire tout u
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