Un artiste d'urgence demande à 2 000 euros d'un demandeur d'asile de lui donner naissance: "C'est la
- last year
#Unartiste #durgencedemande #2000
https://gotopnews.com/post/1340541
Une femme a vécu une expérience terrible dans un hôpital bruxellois. Une dame, demandeuse d'asile mauritanienne et enceinte, s'est présentée à l'hôpital de Jette, car elle venait de perdre les eaux. Victime de fortes contractions, elle sent que l'accouchement est sur le point d'avoir lieu. Cependant, non hébergée par Fedasil à l'époque, elle ne peut pas présenter de couverture médicale. Ainsi, un urgentiste refuse de la prendre en charge, à moins qu'il ne lui remette 2 000 euros en liquide. L'ouvrier de l'UZ Jette a été convoqué puis sanctionné par sa direction, mais selon nos informations, il est actuellement toujours en poste. Dans son pays d'origine, la dame était guide touristique. Elle s'est installée en Belgique avec sa famille "pour éviter que sa fille de deux ans ne soit excisée en Mauritanie". "C'est la première fois j'entends parler d'un tel cas, mais d'après ce que j'entends, c'est vrai les demandeurs d'asile qui devraient normalement être pris en charge par Fedasil se retrouvent souvent à "encombrer" les services d'urgence des différents hôpitaux bruxellois" , note David Vogel, chargé de plaidoyer à Médecins Sans Frontières.
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Une femme a vécu une expérience terrible dans un hôpital bruxellois. Une dame, demandeuse d'asile mauritanienne et enceinte, s'est présentée à l'hôpital de Jette, car elle venait de perdre les eaux. Victime de fortes contractions, elle sent que l'accouchement est sur le point d'avoir lieu. Cependant, non hébergée par Fedasil à l'époque, elle ne peut pas présenter de couverture médicale. Ainsi, un urgentiste refuse de la prendre en charge, à moins qu'il ne lui remette 2 000 euros en liquide. L'ouvrier de l'UZ Jette a été convoqué puis sanctionné par sa direction, mais selon nos informations, il est actuellement toujours en poste. Dans son pays d'origine, la dame était guide touristique. Elle s'est installée en Belgique avec sa famille "pour éviter que sa fille de deux ans ne soit excisée en Mauritanie". "C'est la première fois j'entends parler d'un tel cas, mais d'après ce que j'entends, c'est vrai les demandeurs d'asile qui devraient normalement être pris en charge par Fedasil se retrouvent souvent à "encombrer" les services d'urgence des différents hôpitaux bruxellois" , note David Vogel, chargé de plaidoyer à Médecins Sans Frontières.