Âmes sensibles s'abstenir
  • l’année dernière
#Âmessensibles #sabstenir
https://gotopnews.com/post/1327811
Le cancer du réveil continue des universités gangreners québécères. Dernière histoire: UQAM devra payer 4 000 $ à un correcteur noir qui s'est plaint d'avoir été victime de racisme en corrigeant les copies des examens d'un cours sur ... des stéréotypes racistes. Une lecture "traumatisante" Selon la presse, qui a publié cette histoire, la dame a été blâmée par certains de ses élèves d'être trop sévère et d'appliquer une grille de correction trop "française" . Elle a également été "bouleversée" par les réponses de certains étudiants. Par exemple, l'un des étudiants a écrit qu'aux États-Unis, les nounous noires étaient considérées comme des chiens par leurs «propriétaires». Ce qui est tout à fait vrai. Mais, pour citer la presse, "le correcteur a dit qu'il avait été bouleversé par cette lecture et a ajouté qu'elle avait beaucoup pleuré". Heureusement, la dame n'a pas été embauchée par un éditeur pour corriger un travail sur l'esclavage ou les stéréotypes anti-émititiques propagés par le régime nazi! Imaginez-vous tout ce qu'elle aurait pu lire? Que les Noirs étaient considérés comme des meubles et que les Juifs étaient comparés à des rats qui devaient être exterminés! Elle aurait eu besoin d'une aide psychologique pour terminer son contrat! À quoi attendait cette dame? Elle a corrigé le travail sur les stéréotypes raciaux associés aux femmes noires dans l'histoire! Il est sûr qu'elle rencontrerait des passages difficiles, voyons! Ce n'était pas un examen sur la petite maison de la prairie! Quant aux critiques faites par certains élèves sur ses méthodes de correction: si nécessaire pour compenser tous les enseignants et tous les correcteurs qui sont critiqués par leurs élèves , Ces millions de dollars qui devraient devoirêtre payé en compensation! "Sans peau" En 1994, le réalisateur italien Alessandro d'Alatri a tourné un très beau film appelé Senza Pelle . L'histoire d'un jeune homme très sensible qui souffre d'une maladie l'empêchant de contrôler ses émotions. "Ce pauvre individu est né sans peau", dit-on de lui.Et le submerge ... " Eh bien, nous avons l'impression, en regardant autour de nous, que cette maladie devient le mal du siècle. Surtout dans les universités. Après les "dents" de François Hollande , voici "sans peau". Trop fragile pour l'université? Dans une récente chronique, Joseph Facal a écrit que nous aurions pu exagérer dans notre désir de «démocratiser» l'enseignement supérieur. "Tout le monde n'est pas fait pour aller à l'université", a-t-il dit. Si vous pleurez chaque fois que vous rencontrez une description un peu difficile, votre place n'est peut-être pas à l'université. Ni en tant qu'étudiant.
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