#DÉTAINEDE #MORTÀ #PARINGBORDEAUX
https://gotopnews.com/post/1321290
Une enquête publique sur le racisme systémique dans l'environnement pénitentiaire a été revendiquée samedi par une coalition de défense des droits civils qui aide la famille de Nious D'Andre Spring, décédée à la prison de Bordeaux, le 24 décembre, pendant la détention ailleurs. La Red Coalition souhaite ainsi le déclenchement d'une enquête indépendante du Médiateur des services correctionnels du Québec, mais aussi d'une enquête publique auprès du coroner, une autopsie indépendante et la création d'un comité de surveillance des services correctionnels de TheProvince. "S'il y a des enregistrements vidéo de l'altercation, de ce qui s'est passé avec Nice, nous demandons également qu'il soit rendu public pour une question de transparence", a déclaré Alain Babineau, directeur du profilage racial et de la sécurité publique de la Coalition Red dans une interview avecL'agence QMI. Capture d'écranNouvelle TVA Le Coroner Office et le Sûreté du Québec envisagent déjà l'événement de décembre dernier, lorsque les 21 ans ont été blessés qui ont entraîné sa mort, mais le regroupement exige plus de transparence du gouvernement. "Malheureusement, la famille ne convient pas que les enquêtes qui sont en cours révèlent vraiment ce qui s'est passé", a-t-il déclaré. Préjugés encore obstinés Nice D'Andre Spring aurait dû être libéré de la prison de Bordeaux la veille de son décès à la suite d'une enquête de dépôt, a confirmé le ministère de la Sécurité publique après les événements. "Souvent, les gens pensent que les habitants des pénitenciers sont des bandits, mais 75% des personnes en détention n'ont pas été reconnues coupables au tribunal et attendent d'aller au tribunal. La discrimination raciale endémique, les stéréotypes et les préjugés sont toujours répandus et persistants dans les prisons fédérales, selon un rapport de l'enquêteur correctionnel du Canada publié en novembre dernier. Les détenus noirs représenteraient ainsi 9,2% de la population carcérale totale, même si elles ne représentent que 3,5% de la population canadienne, elle a été expliqué en particulier. Au niveau du Québec, les services correctionnels réuniraient les prisonniers par des tons cutanés - clairs, pâles, moyens et sombres -, selon une étude de l'Institut pour la recherche et l'information socioéconomique de 2021 sur le profil de la judiciaire judiciaire au Québec. "Nous voulons que le gouvernement examine la question et voient ce qui se passe derrière les murs des centres de détention au Québec", a déclaré Babineau.
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Une enquête publique sur le racisme systémique dans l'environnement pénitentiaire a été revendiquée samedi par une coalition de défense des droits civils qui aide la famille de Nious D'Andre Spring, décédée à la prison de Bordeaux, le 24 décembre, pendant la détention ailleurs. La Red Coalition souhaite ainsi le déclenchement d'une enquête indépendante du Médiateur des services correctionnels du Québec, mais aussi d'une enquête publique auprès du coroner, une autopsie indépendante et la création d'un comité de surveillance des services correctionnels de TheProvince. "S'il y a des enregistrements vidéo de l'altercation, de ce qui s'est passé avec Nice, nous demandons également qu'il soit rendu public pour une question de transparence", a déclaré Alain Babineau, directeur du profilage racial et de la sécurité publique de la Coalition Red dans une interview avecL'agence QMI. Capture d'écranNouvelle TVA Le Coroner Office et le Sûreté du Québec envisagent déjà l'événement de décembre dernier, lorsque les 21 ans ont été blessés qui ont entraîné sa mort, mais le regroupement exige plus de transparence du gouvernement. "Malheureusement, la famille ne convient pas que les enquêtes qui sont en cours révèlent vraiment ce qui s'est passé", a-t-il déclaré. Préjugés encore obstinés Nice D'Andre Spring aurait dû être libéré de la prison de Bordeaux la veille de son décès à la suite d'une enquête de dépôt, a confirmé le ministère de la Sécurité publique après les événements. "Souvent, les gens pensent que les habitants des pénitenciers sont des bandits, mais 75% des personnes en détention n'ont pas été reconnues coupables au tribunal et attendent d'aller au tribunal. La discrimination raciale endémique, les stéréotypes et les préjugés sont toujours répandus et persistants dans les prisons fédérales, selon un rapport de l'enquêteur correctionnel du Canada publié en novembre dernier. Les détenus noirs représenteraient ainsi 9,2% de la population carcérale totale, même si elles ne représentent que 3,5% de la population canadienne, elle a été expliqué en particulier. Au niveau du Québec, les services correctionnels réuniraient les prisonniers par des tons cutanés - clairs, pâles, moyens et sombres -, selon une étude de l'Institut pour la recherche et l'information socioéconomique de 2021 sur le profil de la judiciaire judiciaire au Québec. "Nous voulons que le gouvernement examine la question et voient ce qui se passe derrière les murs des centres de détention au Québec", a déclaré Babineau.
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