Procès des attaques à Bruxelles: l'audience de mardi marquée par deux suspensions et l'absence de Sa
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L'audience a commencé mardi matin, vers 9 h 30, en trouvant l'absence de deux accusés, Salah Abdeslam et Bilal El Makhoukhi. Le président de la Cour a expliqué que ces accusés avaient refusé de quitter la prison et qu'elle avait demandé à la policePour utiliser la psychologie pour les convaincre d'assister aux débats. Une stratégie qui n'a donc pas fonctionné. Si la police est autorisée à utiliser une force nécessaire et proportionnée pour forcer les détenus à assister à leur procès, ils ne souhaitaient pas l'utiliser cette fois, échouéÀ l'incident jeudi dernier, au cours de laquelle l'accuséali El Haddad Asufi, qui a déclaré qu'il avait été étranglé par un policier lors de son extraction de la prison de Haren pour son transfert au bâtiment Justitia. Après avoir fourni des explications juridiques sur l'ordre de l'ordre du corps aux jurés, le président a ensuite refusé de donner la parole à Mohamed Abrini, accusé dans ce procès, mais aussi à moi Nicolas Cohen, avocat de Bilal El Makhoukhi, ayant compris qu'il voulaitpour commenter ces explications procédurales. La présidente de la Cour d'Assise a ensuite suspendu l'audience vers 9 h 50, pensant que Bilal El Makhoukhi n'était plus représenté par un avocat. Face à ce qui s'est avéré être un malentendu, elle a demandé l'intervention du président.Avec celui-ci et moi Nicolas Cohen, l'avocat de Bilal El Makhoukhi, la situation pourrait enfin être réglée. Après près de deux heures d'interruption, après avoir permis au président de rencontrer tous les avocats de la défense et des partis civils, le procès avait finalement pu reprendre peu de temps avant midi, permettant aux procureurs fédéraux de terminer le portrait des frères Farisi, les deuxL'accusé apparaissant librement dans cet essai. L'après-midi devait être consacré à la lecture de la loi de la défense de Delphine Paci, qui défend Salah Abdeslam, ainsi qu'aux déclarations des autres avocats de la défense. Les procureurs fédéraux devaient également revenir à certains points de leur acte d'accusation, fournissant des détails suite judiciaireLes décisions qui ont chuté cette année concernant les attentats commis à Paris le 13 novembre 2015 par le Paris spécial Assize Court et le Brussels Criminal Court. Si moi Paci a pu parler, demandant au jury de "ne pas confondre Paris et Bruxelles" et esquisser sa stratégie axée sur le fait que son client a été emprisonné au moment des attaques du 22 mars 2016 et que le procureur fédéral pourraitSon sujet d'accusation, le président a une fois de plus interrompu l'audience vers 15 h 30. En question: Les procès-verbaux rédigés après l'absence de MM.Abdeslam et El Makhoukhi à l'audience. Ce PV a été écrit de manière anonyme et une enveloppe fermée a été attachée, contenant les noms des policiers impliqués dans la procédure de transfert deLes deux accusés.
L'audience a commencé mardi matin, vers 9 h 30, en trouvant l'absence de deux accusés, Salah Abdeslam et Bilal El Makhoukhi. Le président de la Cour a expliqué que ces accusés avaient refusé de quitter la prison et qu'elle avait demandé à la policePour utiliser la psychologie pour les convaincre d'assister aux débats. Une stratégie qui n'a donc pas fonctionné. Si la police est autorisée à utiliser une force nécessaire et proportionnée pour forcer les détenus à assister à leur procès, ils ne souhaitaient pas l'utiliser cette fois, échouéÀ l'incident jeudi dernier, au cours de laquelle l'accuséali El Haddad Asufi, qui a déclaré qu'il avait été étranglé par un policier lors de son extraction de la prison de Haren pour son transfert au bâtiment Justitia. Après avoir fourni des explications juridiques sur l'ordre de l'ordre du corps aux jurés, le président a ensuite refusé de donner la parole à Mohamed Abrini, accusé dans ce procès, mais aussi à moi Nicolas Cohen, avocat de Bilal El Makhoukhi, ayant compris qu'il voulaitpour commenter ces explications procédurales. La présidente de la Cour d'Assise a ensuite suspendu l'audience vers 9 h 50, pensant que Bilal El Makhoukhi n'était plus représenté par un avocat. Face à ce qui s'est avéré être un malentendu, elle a demandé l'intervention du président.Avec celui-ci et moi Nicolas Cohen, l'avocat de Bilal El Makhoukhi, la situation pourrait enfin être réglée. Après près de deux heures d'interruption, après avoir permis au président de rencontrer tous les avocats de la défense et des partis civils, le procès avait finalement pu reprendre peu de temps avant midi, permettant aux procureurs fédéraux de terminer le portrait des frères Farisi, les deuxL'accusé apparaissant librement dans cet essai. L'après-midi devait être consacré à la lecture de la loi de la défense de Delphine Paci, qui défend Salah Abdeslam, ainsi qu'aux déclarations des autres avocats de la défense. Les procureurs fédéraux devaient également revenir à certains points de leur acte d'accusation, fournissant des détails suite judiciaireLes décisions qui ont chuté cette année concernant les attentats commis à Paris le 13 novembre 2015 par le Paris spécial Assize Court et le Brussels Criminal Court. Si moi Paci a pu parler, demandant au jury de "ne pas confondre Paris et Bruxelles" et esquisser sa stratégie axée sur le fait que son client a été emprisonné au moment des attaques du 22 mars 2016 et que le procureur fédéral pourraitSon sujet d'accusation, le président a une fois de plus interrompu l'audience vers 15 h 30. En question: Les procès-verbaux rédigés après l'absence de MM.Abdeslam et El Makhoukhi à l'audience. Ce PV a été écrit de manière anonyme et une enveloppe fermée a été attachée, contenant les noms des policiers impliqués dans la procédure de transfert deLes deux accusés.
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