Jean-Claude Marcourt démissionnera-t-il? "Nous nous attendons à un certain nombre de décisions dans
- l’année dernière
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Au microphone de Martin Buxant, le libéral est resté très insaisissable sur le sujet, faisant avancer un "devoir de réserve" en ce qui concerne le gouvernement. "Mais c'est très rapidement que toutes les décisions sont prises et que les réformes nécessaires sont fournies, afin queToute la gestion du Parlement est vraiment impeccable à l'avenir ", a averti Willy Borsus. En ce qui concerne une éventuelle démission de Jean-Claude Marcourt , le vice-président du gouvernement wallon n'a pas osé les commentaires supplémentaires: «Le gouvernement n'indique pas un Parlement ce qui devrait être fait. Mais nous nous attendons à un certain nombre de décisions dans laheures à venir." "L'image de la Wallonie est très fortement affectée [par ce scandale, la note de l'éditeur], et cette image est assez détestable, a à nouveau déploré le Cinacian. C'est une situation particulièrement triste pour ceux qui souhaitent voir notre région se développer." Limiter les allocations de chômage au fil du temps En ce qui concerne la situation économique des walons, le ministre de l'économie a rappelé qu'après le CoVVI-19, un véritable renouveau avait été initié, avec en particulier un dossier d'exportation en six mois, mais la crise énergétique a replié les cartes: "Le deuxième semestresera fortement affecté par cette crise et par les difficultés que beaucoup de nos entreprises sont rencontrées aujourd'hui. " Le déficit de wallon est maintenant de 4 milliards d'euros, a rappelé Willy Borsus, et le solde à financer est un peu plus de 3,1 milliards pour cette année. "Mais il convient de noter que la courbe diminue et que les efforts structurels faits sont plus élevés que ceux quiLes experts nous avaient conseillé de faire, "a insisté le libéral, qui garantit qu'aucune taxe supplémentaire ne sera mise en place pour compenser cette dette. Le ministre de l'économie opte plutôt pour une énergie de l'activité économique et pour une réactivation des chômeurs. "Le taux d'emploi en Wallonie s'élève à un peu plus de 65%, soit 10% en dessous de la Flandre, regrette Willy Borsus. Il y a environ 212 000 chômeursLes gens de la Wallonie et il y a 141 métiers en pénurie ou en tension. » Pour Willy Borsus, comme pour l'ensemble de la RM, une limitation des prestations de chômage dans le temps est une nécessité, ainsi qu'un système de sanctions en cas de refus de collaborer. «À un moment donné, tout le monde doit assumer la responsabilité. […] L'objectifest vraiment de ne pas appauvrir les gens ou d'ajouter le malheur au malheur. Le but est d'avoir une mobilisation collective », a conclu Willy Borsus.
Au microphone de Martin Buxant, le libéral est resté très insaisissable sur le sujet, faisant avancer un "devoir de réserve" en ce qui concerne le gouvernement. "Mais c'est très rapidement que toutes les décisions sont prises et que les réformes nécessaires sont fournies, afin queToute la gestion du Parlement est vraiment impeccable à l'avenir ", a averti Willy Borsus. En ce qui concerne une éventuelle démission de Jean-Claude Marcourt , le vice-président du gouvernement wallon n'a pas osé les commentaires supplémentaires: «Le gouvernement n'indique pas un Parlement ce qui devrait être fait. Mais nous nous attendons à un certain nombre de décisions dans laheures à venir." "L'image de la Wallonie est très fortement affectée [par ce scandale, la note de l'éditeur], et cette image est assez détestable, a à nouveau déploré le Cinacian. C'est une situation particulièrement triste pour ceux qui souhaitent voir notre région se développer." Limiter les allocations de chômage au fil du temps En ce qui concerne la situation économique des walons, le ministre de l'économie a rappelé qu'après le CoVVI-19, un véritable renouveau avait été initié, avec en particulier un dossier d'exportation en six mois, mais la crise énergétique a replié les cartes: "Le deuxième semestresera fortement affecté par cette crise et par les difficultés que beaucoup de nos entreprises sont rencontrées aujourd'hui. " Le déficit de wallon est maintenant de 4 milliards d'euros, a rappelé Willy Borsus, et le solde à financer est un peu plus de 3,1 milliards pour cette année. "Mais il convient de noter que la courbe diminue et que les efforts structurels faits sont plus élevés que ceux quiLes experts nous avaient conseillé de faire, "a insisté le libéral, qui garantit qu'aucune taxe supplémentaire ne sera mise en place pour compenser cette dette. Le ministre de l'économie opte plutôt pour une énergie de l'activité économique et pour une réactivation des chômeurs. "Le taux d'emploi en Wallonie s'élève à un peu plus de 65%, soit 10% en dessous de la Flandre, regrette Willy Borsus. Il y a environ 212 000 chômeursLes gens de la Wallonie et il y a 141 métiers en pénurie ou en tension. » Pour Willy Borsus, comme pour l'ensemble de la RM, une limitation des prestations de chômage dans le temps est une nécessité, ainsi qu'un système de sanctions en cas de refus de collaborer. «À un moment donné, tout le monde doit assumer la responsabilité. […] L'objectifest vraiment de ne pas appauvrir les gens ou d'ajouter le malheur au malheur. Le but est d'avoir une mobilisation collective », a conclu Willy Borsus.