Festival de Cannes, Virginie Efira est partout
  • il y a 2 ans
L'actrice franco-belge n'a pas seulement été la maîtresse des cérémonies d'ouverture et de clôture du 75e Festival de Cannes, elle a également projeté deux films.
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Cinéma - La Nouvelle Reine de la Croisette. Comme Léa Seydoux l'an dernier, qui a malheureusement dû renoncer à sa visite en raison du Covid-19, il y a fort à parier que le public ne verra qu'une seule personne à partir du mardi 17 mai, jour d'ouverture du Festival de Cannes. C'est Virginie Ephra.

L'actrice franco-belge n'est pas étrangère à la région. On l'a vue en compétition dans plusieurs films. Il y a Sibyl de Justine Triet et deux longs métrages du cinéaste hollandais Paul Verhoeven. En tant que religieuse italienne, son personnage très cynique croit fermement au contact avec le Christ à Benedetta, et en 2021, personne ne reste indifférent.

On l'a retrouvé sur le tapis rouge à partir de ce mardi. Pour cause, Virginie Efira était la maîtresse d'ouverture et de fermeture. Selon les organisateurs, elle "fête l'arrivée du soleil au cinéma" et rejoint ainsi une longue liste de personnes qui ont accepté le poste avant elle, comme Doria Tillier, Monica Bellucci, Audrey Tautou ou encore Isabelle Huppert.

L'actrice reviendra deux fois devant les photographes avant sa présentation du 28 mai. La première aura lieu le samedi 21 mai, avec la première du nouveau film Revoir Paris, réalisé par Alice Winocour.

Tahar Rahim n'oublie pas Virginie Efira

Dans cette pièce, qui concourt à la Quinzaine des Réalisateurs, Virginie Efira incarne une femme, une Mia, qui va tenter de reconstituer en quelque sorte les événements après l'attaque du bistrot dans lequel elle se trouve, sa mémoire tragiquement affectée. Son objectif : se reconstruire et retrouver une trace de bonheur.

La deuxième fois, le 22 mai. Et ce, dans le cadre de la projection de Don Juan. Le nouveau drame et comédie musicale de Serge Bozon fait ses débuts à l'avant-première cannoise du festival. Le ton du film promet une réinterprétation contemporaine et atypique de la pièce. Son héros Tahar Rahim n'est plus celui qui séduit toutes les femmes. Il est perdu et obsédé par quelqu'un qu'il aime depuis si longtemps.

"C'est un cauchemar", a-t-il haleté dans la caravane. Rousse, blonde ou brune : toutes les femmes qu'il croisait ressemblaient à Julie. Les retrouvailles finiront par arriver. Ils seront autour du plateau de fruits de mer. Dans l'ensemble, ces plats sont bons pour nos Miss Manners de la Croisette.

Huffington Post : "Tour Beneda" au Festival de Cannes
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