Guillaume_BEAUGÉ
- il y a 15 ans
Guillaume BEAUGÉ, peintre transhumant
De ses promenades sous le soleil aquarellé de l'été, Guillaume BEAUGÉ ramène des instantanés de naturels, un herbier d'émotions colorées qu'il distille à travers sa palette alambic. Il glane, cueille et ramasse toute ses chaudes sensations qui vont le nourrir pendant ses mois d'hibernation. Il est nomade et nu. Il reçoit les messages du feu, de l'eau, de la terre et de la lumière mais il a choisi de différer sa réponse. Il suit la transhumance des saisons et entraine sa peinture avec lui.
Accoucheur volontaire
Quand la sève ralentit et que le bruissement du feuillage ne couvre plus le sifflement du vent, il s'enferme avec ses trésors. Là, dans la lumière d'entre deux ombres, il rumine, extirpe et mélange les sentiments de plaisir à ceux de l'inquiétude. Alors, une fois encore, il mue et retrouve le point originel d'où il impose sa volonté à la toile. Il synthétise et fragmente la matière pour la restructurer, lui donner une nouvelle genèse. Le combat est rude et nul n'est déclaré vainqueur. Mais Guillaume BEAUGÉ, n'est pas un conquérant. Plus tôt que de la soumettre, il choisit de lui donner la vie, de laisser sa peinture prendre sa liberté. Il jouit alors d'une grande plénitude à l'image de celle qui éclabousse sa peinture.
De ses promenades sous le soleil aquarellé de l'été, Guillaume BEAUGÉ ramène des instantanés de naturels, un herbier d'émotions colorées qu'il distille à travers sa palette alambic. Il glane, cueille et ramasse toute ses chaudes sensations qui vont le nourrir pendant ses mois d'hibernation. Il est nomade et nu. Il reçoit les messages du feu, de l'eau, de la terre et de la lumière mais il a choisi de différer sa réponse. Il suit la transhumance des saisons et entraine sa peinture avec lui.
Accoucheur volontaire
Quand la sève ralentit et que le bruissement du feuillage ne couvre plus le sifflement du vent, il s'enferme avec ses trésors. Là, dans la lumière d'entre deux ombres, il rumine, extirpe et mélange les sentiments de plaisir à ceux de l'inquiétude. Alors, une fois encore, il mue et retrouve le point originel d'où il impose sa volonté à la toile. Il synthétise et fragmente la matière pour la restructurer, lui donner une nouvelle genèse. Le combat est rude et nul n'est déclaré vainqueur. Mais Guillaume BEAUGÉ, n'est pas un conquérant. Plus tôt que de la soumettre, il choisit de lui donner la vie, de laisser sa peinture prendre sa liberté. Il jouit alors d'une grande plénitude à l'image de celle qui éclabousse sa peinture.