Le catholicisme français n’en finit plus de s’enfoncer dans la crise. Tout récemment secouée par la démission de monseigneur Michel Aupetit, soupçonné d’avoir entretenu une relation intime avec une femme il y a quelques années, l’Église en France subit toujours les répliques de la publication du rapport Sauvé. Le 5 octobre dernier, la commission éponyme – mandatée par la Conférence des évêques de France (CEF) – avait provoqué un séisme en estimant à plus de 300 000 le nombre de victimes d’actes pédocriminels au sein de l’Église depuis 1950.
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