Une histoire bien crade pour tous les amoureux de chats et de chatons que je dédie à tous les pêcheurs à la petite semaine. Qu’on se le dise tout de suite, si vous êtes une petite nature, un amoureux des chats ou encore membre de la SPA voire de la PETA, je ne suis pas tout à fait sûr que ce soit une bonne idée de lire la suite.

Comme d’habitude, tout commence avec une histoire de réchauffement climatique. L’évolution des conditions climatiques aurait pour conséquence de dérégler le fonctionnement hormonal des chattes, celles-ci se retrouvant plus souvent en chaleur. Plus de chaleurs, donc plus de sexe, donc plus de chatons, donc plus de rejetons à refiler à la famille, aux amis, aux collègues de boulot etc. Au final tout le monde a déjà son chat, plus personne n’en veut, et en dernier recours on se débarrasse de ces chatons indésirables en les refilant à des refuges qui eux-mêmes ne savent plus quoi faire avec ces boules de poils.

C’est précisément à ce moment qu’interviennent nos amis les pêcheurs. Attention, on ne parle pas des pêcheurs du dimanche (cf. ton grand-père et ton beau-frère). On parle de pêcheurs de compétition. Des gros méchants blindés de thunes – le premier qui la ramène sur l’association de thunes et méchant je lui arrache l’oeil avec les dents – qui se déplacent sur des bateaux de luxe avec du matériel de porc et chassent des gros poissons du genre requins et marlins. Les pêcheurs en question, plein de bons sentiments et conscients des problèmes de surpopulation dans les refuges animaliers ont ainsi décidé de filer un coup de main en se servant des chatons comme appâts pour chopper leurs gros poissons.

– Deuxième avertissement. Je vois bien que vous n’avez pas tenu compte du premier. Il est encore temps de stopper la lecture. Je vous préviens on rentre dans la partie critique. –