La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, aurait fait pression en 2017 pour modifier un rapport de la Banque mondiale, où elle était en poste à l’époque, afin de ménager la Chine. C’est la conclusion d’une enquête indépendante commandée par l’institution internationale et rendue publique ce jeudi 16 septembre.