A la Barceloneta, ce flamenco sec et rude me va droit au coeur. Parfois, le guitariste cesse de jouer ; la danseuse claque alors énergiquement ses doigts et ses talons, par alternances suavement régulières. Trois notes essentielles brisent l'harmonie du silence à la fin, accompagnant le dernier élan giratoire de la femme-toupie. Je pleure doucement.(7 septembre 2008)