Marche blanche à Pantin après le suicide d'une directrice d'école
- il y a 5 ans
« Elle était solaire, avait une énergie débordante » : une marche blanche à Pantin après le suicide d'une directrice d'école.
Marcher pour ne pas oublier. Des centaines de personnes ont participé, ce samedi matin à Pantin (Seine-Saint-Denis), à la marche blanche organisée à la mémoire de Christine Renon. Cette directrice d'école s'était donné la mort dans son établissement le 23 septembre après avoir dénoncé dans une lettre ses conditions de travail.
Une directrice « solaire », à « l'énergie débordante » : des centaines de personnes ont marché ce samedi à Pantin en hommage à Christine Renon, qui s'est suicidée dans son école après avoir dénoncé dans une lettre ses conditions de travail.
« Je suis Christine ».
En tête de cette marche silencieuse, des proches de Christine Renon et des directrices et directeurs d'école de Pantin avançaient en se tenant le bras. Beaucoup portaient un brassard noir.Derrière eux, des enseignants et des parents d'élèves, certains venus avec leurs enfants. Sur une pancarte, une femme, un bouquet de roses blanches autour du cou, a inscrit: « mourir pour ses idées, mourir de trop aimer. Je suis Christine ».
Marcher pour ne pas oublier. Des centaines de personnes ont participé, ce samedi matin à Pantin (Seine-Saint-Denis), à la marche blanche organisée à la mémoire de Christine Renon. Cette directrice d'école s'était donné la mort dans son établissement le 23 septembre après avoir dénoncé dans une lettre ses conditions de travail.
Une directrice « solaire », à « l'énergie débordante » : des centaines de personnes ont marché ce samedi à Pantin en hommage à Christine Renon, qui s'est suicidée dans son école après avoir dénoncé dans une lettre ses conditions de travail.
« Je suis Christine ».
En tête de cette marche silencieuse, des proches de Christine Renon et des directrices et directeurs d'école de Pantin avançaient en se tenant le bras. Beaucoup portaient un brassard noir.Derrière eux, des enseignants et des parents d'élèves, certains venus avec leurs enfants. Sur une pancarte, une femme, un bouquet de roses blanches autour du cou, a inscrit: « mourir pour ses idées, mourir de trop aimer. Je suis Christine ».