Attention au coup de vent qui va frapper l’Ouest ce lundi en fin d'après-midi
- il y a 5 ans
Voici la première perturbation de l’été. Remarquable davantage par sa saisonnalité que par son intensité, elle va quand même balancer du vent fort, des rafales à près de 100 km/h, une grosse houle et de la pluie sur les côtes exposées : Finistère, Morbihan, une partie des Pays de la Loire, le Cotentin et la Manche. Enfilez un ciré, on va regarder ça de plus près.
Nous vous l’annoncions dès la semaine dernière : une dépression, petite mais active, va frapper l’Ouest de la France de ce lundi 29 juillet en fin d’après-midi à mardi en milieu de journée.
Elle n’est certes pas dévastatrice, mais il est assez rare qu’un tel phénomène se produise en juillet : les derniers épisodes remarquables (voire dramatiques) survenus ce mois-là remontent à 1969, 1979 et 1980.
Regardez la carte en tête d’article : venue du proche Atlantique, cette perturbation approche de la Pointe Bretagne, va passer non loin de Brest avant de remonter vers les côtes britanniques.
Comme on peut le constater, son rayon d’action n’est pas très étendu, mais son intensité, elle, est bien réelle. La force d’un tel phénomène ne doit pas grand-chose à son diamètre, et tout au gradient de pression (la différence de pression) entre son centre et son pourtour.
Nous vous l’annoncions dès la semaine dernière : une dépression, petite mais active, va frapper l’Ouest de la France de ce lundi 29 juillet en fin d’après-midi à mardi en milieu de journée.
Elle n’est certes pas dévastatrice, mais il est assez rare qu’un tel phénomène se produise en juillet : les derniers épisodes remarquables (voire dramatiques) survenus ce mois-là remontent à 1969, 1979 et 1980.
Regardez la carte en tête d’article : venue du proche Atlantique, cette perturbation approche de la Pointe Bretagne, va passer non loin de Brest avant de remonter vers les côtes britanniques.
Comme on peut le constater, son rayon d’action n’est pas très étendu, mais son intensité, elle, est bien réelle. La force d’un tel phénomène ne doit pas grand-chose à son diamètre, et tout au gradient de pression (la différence de pression) entre son centre et son pourtour.