participé à un "rassemblement militant" pour le lancement de la première "Journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité", dimanche sur le parvis du Trocadéro à Paris, a constaté un journaliste de l'AFP.
"Nous avons choisi cette date du 2 novembre parce que c'est le jour des morts et que la mort n'appartient à personne, et pas spécialement à l'Eglise", a lancé Jean-Luc Romero, président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) et conseiller régional d'Ile-de-France.
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