Lorsqu’un utilisateur Facebook décède, sa page peut devenir un mémorial numérique s’il avait choisi un contact légataire

Dans le cas contraire et en l’absence de mot de passe, son profil continuera d’exister en temps que compte « actif »

D’après des chercheurs, le nombre d’utilisateurs décédés pourrait surpasser le nombre de personnes vivantes d’ici 50 ans

Si le niveau de croissance de Facebook stagne, au moins 1,4 milliard de ses membres mourront avant la fin du siècle

Dans ce cas de figure, il y aurait alors plus de morts que de vivant sur le réseau social d’ici 2070

Mais si la croissance de Facebook se maintient, le nombre de comptes de personnes mortes serait de 4,9 milliards en 2100

Bien que les deux cas de figure puissent paraître extrêmes, ils ont le mérite de soulever des questions complexes

Qui a le droit d’accéder à ce type de données et comment les gérer au mieux dans l’intérêt des proches du défunt…

“Il est faut veiller à ce que l’accès à ces données historiques ne soit pas limité à une seule entreprise”

En plus des problèmes liés au partage des données numériques, il faut penser à la douleur des proches

Continuer à recevoir des notifications du profil d’un être cher peut se révéler très dur pour une personne en deuil…