Violences contre les journalistes: pourquoi un tel discrédit ?

  • il y a 5 ans

« Non, la presse ne doit pas être un bouc émissaire", alertent une trentaine de rédactions et associations après la multiplication des violences à l’encontre des journalistes couvrant les manifestations de « gilets jaunes ». Alexis Lévrier, historien des médias, met en cause les discours de certains hommes politiques et leaders de gilets jaunes qui entretiennent cette "détestation". Mais pour l'universitaire, ce discrédit des médias dominants s'explique aussi par la "fracture médiatique" née au moment du referendum de 2005 sur le traité de Constitution pour l'Europe.

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