Open 10-12 ans - Boulogne-Billancourt 2019 - Reda, un petit marocain qui rêve tout haut !
- il y a 5 ans
L’Open 10-12 du Tennis Club de Boulogne-Billancourt bat son plein. Dans les deux catégories, ils ne sont plus que seize mômes à pouvoir rêver écrire leur nom au palmarès d’un des tournois français des moins de 12 ans (nés en 1997) les plus courus. Car quelques noms prestigieux ont triomphé ici: Sébastien Grosjean, Amélie Mauresmo, Justine Henin, Michaël Llodra, Richard Gasquet ou Kristina Mladenovic.
Ce mercredi, les batailles ont fait rage. Il y a eu des cris, des contestations, des pleurs. On a aperçu des parents connus. Victorieux au TCBB en 1992, Michaël Llodra et son épouse Camille (gagnante en 1993 sous le nom Gély) sont venus soutenir leur petit Téo - classé 15 -, battu au deuxième tour par Axel Frechet, 5/6. « Il a du tempérament, il faut souvent le freiner. Mais qu’on ne parle pas de carrière. Qu’il prenne du plaisir, c’est trop important à cet âge-là», sourit Mika.
Les jeunes Français sont encore dix-sept (9 garçons et 8 filles) en course. Avec en tête Shanice Roignot, finaliste malheureuse l’an dernier. Et puis dans ce club où l’on parle anglais, italien ou allemand, il y a un Marocain aux anges. Reda Bennani a quitté Casablanca pour Paris et il flambe. Dans un match accroché (7-5, 2-6, 6-3), il a eu le dernier mot face à Timothée Lustig, classé 5/6. Ce dernier, inconsolable, a quitté le court en pleurs. A 11 ans, les déceptions sont dures à (di)gérer. Et il faut l’épaule protectrice du papa pour sécher les larmes.
Ce jeudi, place aux huitièmes. Si vous voulez voir des futurs cracks, passez donc quai Le Gallo. Radi Bennani affrontera un Italien, Federico Cina.
Ce mercredi, les batailles ont fait rage. Il y a eu des cris, des contestations, des pleurs. On a aperçu des parents connus. Victorieux au TCBB en 1992, Michaël Llodra et son épouse Camille (gagnante en 1993 sous le nom Gély) sont venus soutenir leur petit Téo - classé 15 -, battu au deuxième tour par Axel Frechet, 5/6. « Il a du tempérament, il faut souvent le freiner. Mais qu’on ne parle pas de carrière. Qu’il prenne du plaisir, c’est trop important à cet âge-là», sourit Mika.
Les jeunes Français sont encore dix-sept (9 garçons et 8 filles) en course. Avec en tête Shanice Roignot, finaliste malheureuse l’an dernier. Et puis dans ce club où l’on parle anglais, italien ou allemand, il y a un Marocain aux anges. Reda Bennani a quitté Casablanca pour Paris et il flambe. Dans un match accroché (7-5, 2-6, 6-3), il a eu le dernier mot face à Timothée Lustig, classé 5/6. Ce dernier, inconsolable, a quitté le court en pleurs. A 11 ans, les déceptions sont dures à (di)gérer. Et il faut l’épaule protectrice du papa pour sécher les larmes.
Ce jeudi, place aux huitièmes. Si vous voulez voir des futurs cracks, passez donc quai Le Gallo. Radi Bennani affrontera un Italien, Federico Cina.