Vendée. Tué par les forces de l’ordre après avoir blessé un gendarme.
- il y a 6 ans
Vendée. Tué par les forces de l’ordre après avoir blessé un gendarme.
Un homme de 77 ans est mort rue de l’Hippodrome, à Triaize, près de Luçon, lundi 22 octobre en soirée. Ce dernier avait ouvert le feu et blessé un gendarme à l’avant-bras. Des investigations sont en cours sur place.
La commune de Triaize, près de Luçon (Vendée) est sous le choc. Un homme de 77 ans est décédé dans la soirée du lundi 22 octobre, rue de l’Hippodrome.
Le vice-procureur de La Roche-sur-Yon, Olivier Dubief, détaille : « Les faits se sont déroulés aux alentours de 19 h. » Selon les premiers éléments de l’enquête, les pompiers ont été appelés pour porter secours à un homme suite à un « différend familial » . Confrontés à « un monsieur armé » , les pompiers ont appelé les gendarmes.
Le vice-procureur poursuit : « Deux gendarmes de la compagnie de Fontenay-le-Comte sont intervenus. Ils ont mis l’épouse à l’abri, les pompiers, mais aussi un couple d’amis qui se trouvaient au domicile du forcené. »
En raison de la nuit, les gendarmes peinent à identifier l’arme. Les investigations menées par la suite laissent à penser qu’il s’agit d’un fusil 22 long-rifle.
« Alors que les gendarmes revenaient vers la maison pour négocier. Le ton monte. L’homme de 77 ans tire à plusieurs reprises. Blessé à l’avant-bras, le gendarme riposte, mais sans toucher le forcené », raconte encore le vice-procureur. Ce gendarme sera ensuite transporté à l’hôpital de La Rochelle.
Une balle touche le forcené
Un second gendarme réplique. Il fait feu à son tour. « Une balle a touché le forcené. Celui-ci est tombé au sol. » Le vice-procureur indique que « les pompiers ont entamé une réanimation, sans succès » .
Le parquet affirme que « plusieurs enquêtes sont en cours » . Une première pour « tentatives de meurtres dont une sur dépositaire de l’autorité publique ». Une enquête est également ouverte pour « violences volontaires avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner » . Le militaire, auteur des derniers tirs, est placé en garde à vue « par principe » . Une autopsie du forcené sera réalisée.
Sur place, pour poursuivre leurs investigations, les enquêteurs ont dû bloquer la rue. Ils prévoient de lever le bouclage « en début d’après-midi » .
Un homme de 77 ans est mort rue de l’Hippodrome, à Triaize, près de Luçon, lundi 22 octobre en soirée. Ce dernier avait ouvert le feu et blessé un gendarme à l’avant-bras. Des investigations sont en cours sur place.
La commune de Triaize, près de Luçon (Vendée) est sous le choc. Un homme de 77 ans est décédé dans la soirée du lundi 22 octobre, rue de l’Hippodrome.
Le vice-procureur de La Roche-sur-Yon, Olivier Dubief, détaille : « Les faits se sont déroulés aux alentours de 19 h. » Selon les premiers éléments de l’enquête, les pompiers ont été appelés pour porter secours à un homme suite à un « différend familial » . Confrontés à « un monsieur armé » , les pompiers ont appelé les gendarmes.
Le vice-procureur poursuit : « Deux gendarmes de la compagnie de Fontenay-le-Comte sont intervenus. Ils ont mis l’épouse à l’abri, les pompiers, mais aussi un couple d’amis qui se trouvaient au domicile du forcené. »
En raison de la nuit, les gendarmes peinent à identifier l’arme. Les investigations menées par la suite laissent à penser qu’il s’agit d’un fusil 22 long-rifle.
« Alors que les gendarmes revenaient vers la maison pour négocier. Le ton monte. L’homme de 77 ans tire à plusieurs reprises. Blessé à l’avant-bras, le gendarme riposte, mais sans toucher le forcené », raconte encore le vice-procureur. Ce gendarme sera ensuite transporté à l’hôpital de La Rochelle.
Une balle touche le forcené
Un second gendarme réplique. Il fait feu à son tour. « Une balle a touché le forcené. Celui-ci est tombé au sol. » Le vice-procureur indique que « les pompiers ont entamé une réanimation, sans succès » .
Le parquet affirme que « plusieurs enquêtes sont en cours » . Une première pour « tentatives de meurtres dont une sur dépositaire de l’autorité publique ». Une enquête est également ouverte pour « violences volontaires avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner » . Le militaire, auteur des derniers tirs, est placé en garde à vue « par principe » . Une autopsie du forcené sera réalisée.
Sur place, pour poursuivre leurs investigations, les enquêteurs ont dû bloquer la rue. Ils prévoient de lever le bouclage « en début d’après-midi » .