Interview sur France Info le 18 Septembre 2008
Ségolène Royal réagit à la crise financière qui gagne du terrain.
Pour Ségolène Royal "il y a urgence. Mais ce qui est paradoxal, c’est qu’il y a quelques temps on nous expliquait qu’on ne pouvait rien faire par rapport aux marchés financiers et là, on voit le pays le plus libéral au monde décider de la nationalisation de banque et d’assureur." "C’est au pouvoir public d’intervenir pour que ce ne soit plus les banques, qui, toutes seules décident de la destination de leurs crédits."
Elle pense également que l’Etat peut intervenir de façon positive.
Concernant le Parti Socialiste, "c’est le congrès qui va définir son avenir. Les militants choisiront ou non les idées neuves, le renouvellement"... mais quoi qu’il arrive Ségolène Royal sera présente pendant et après avec une "démarche participative".
Pour Ségolène Royal "il y a urgence. Mais ce qui est paradoxal, c’est qu’il y a quelques temps on nous expliquait qu’on ne pouvait rien faire par rapport aux marchés financiers et là, on voit le pays le plus libéral au monde décider de la nationalisation de banque et d’assureur." "C’est au pouvoir public d’intervenir pour que ce ne soit plus les banques, qui, toutes seules décident de la destination de leurs crédits."
Elle pense également que l’Etat peut intervenir de façon positive.
Concernant le Parti Socialiste, "c’est le congrès qui va définir son avenir. Les militants choisiront ou non les idées neuves, le renouvellement"... mais quoi qu’il arrive Ségolène Royal sera présente pendant et après avec une "démarche participative".
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