USA PROGRAMMATION HAINE IRAK a2contre1
  • il y a 16 ans
7 ans seulement et tout a changé !Qu'il est loin le temps euphorique de cette incroyable année 2001 où l'on nous a fait croire que 19 bricolos fanatiques, armés de cutters, avaient été capable d'attaquer le quartier général de l'armée du pays dont les dépenses militaires sont presque égales à celles de tout les autres pays du globe réunis !Qu'il est loin le temps des grandes envolés lyriques de nos journalistes corrompus, jamais avares de détails Hollywoodiens sur les méchants terroristes conduisants leurs opérations diaboliques depuis les grottes Afghanes, obligeant cette pauvre et pacifique administration américaine a attaquer "légitimement" des pays gavés de ressources naturelles pour la plus grande joie de l'industrie du pétrole et des armes (avec lesquels les dirigeants américains, comme les notres sont si proches).Cette "affaire Bigard" le montre bien:Qu'on se le dise, au pays des droits de l'homme et de la liberté d'expression, il est désormais interdit de se posé la moindre question sur les évenements du 11 Sept sous peine d'être traité de négationistes (cherchez le rapport.....).Pourquoi ces réactions hystériques de nos médias ?Parce que nos journalistes se sont fait avoir, et qu'ils ont été les relais dociles de toute cette gigantesque mascarade; et que la seule façon pour eux de ne pas être considérés, au mieux comme des imcompétents, au pire comme des complices, est de refuser tout débats sur le sujet.Et ils ont bien raison; car au-delà du crime ignoble qu'a été l'organisation d'un faux attentat contre la propre population d'un pays pour faire croire à une menace terroriste exterieur dans le but d'augmenter les crédits militaires et justifier des guerres coloniales, c'est bien éffectivement le rôle de la Presse et de son inféodation totale envers des intérêts privés et supra-nationaux qui est sur la sélette.Il y a eut le procès de Tokyo, il y a eut celui de Nuremberg, il y aura celui de New York;et il faudra bien, ce jour là, déterminer
Recommandée