TEASER BALLET VIVA VERDI, CANTATE 51, BELONG PAS DE DEUX, ALLEGRO BRILLANTE
  • il y a 7 ans
CANTATE 51
Chorégraphie Maurice Béjart remontée par Éric Vu-An
Musique Jean-Sébastien Bach
Lumières Patrick Méeüs

Première au Ballet du XXème siècle, le 24 décembre 1969 à Bruxelles
La représentation de Cantate 51 est présentée dans le cadre d’un accord conclu avec la Fondation Maurice Béjart et a été produite conformément aux normes requises par la Fondation.

« La joie qui éclate dans la partition de Jean-Sébastien Bach nous propose le thème de l’Annonciation. L'ange apparaît à Marie et lui prédit la naissance d'un fils, incarnation divine qui dynamise l'univers transfiguré comme cette musique qui dépasse l'humain » (Maurice Béjart). Rarement en effet la danse a été un art aussi divin que dans cette Cantate 51, un ballet intemporel signé par un des plus grands chorégraphes du XXe siècle.



BELONG PAS DE DEUX
Chorégraphie Norbert Vesak
Musique Syrinx, Robert de LaRose
Costumes et lumières Robert De LaRose

Belong est l’occasion de découvrir un splendide Pas de deux signé par Norbert Vesak, un des plus grands artistes canadiens des années 1970. Extrait de son ballet What to Do Till the Messiah Comes (1973), Belong a valu au chorégraphe deux médailles d’or en 1980, au Concours international de danse de Varna en Bulgarie et au Concours mondial de ballet d'Osaka au Japon.



ALLEGRO BRILLANTE
Chorégraphie George Balanchine
Musique Piotr Ilitch Tchaïkovski

« Allegro Brillante contient tout ce que je sais du ballet classique, en treize minutes de temps » disait Balanchine. Cette pièce est l’une des pages les plus importantes de l’Histoire de la danse. Elle nous montre comment « Mister B » a révolutionné l’art du ballet par sa clarté, son dépouillement et son rapport à la musique.



VIVA VERDI
Chorégraphie Luciano Cannito
Musique Giuseppe Verdi
Lumières Marco Policastro

La danse classique ne manque pas d’humour et on aurait tort de voir en elle un art trop sérieux. Avec Viva Verdi de Luciano Cannito, le public pourra s’en rendre compte de la plus plaisante des manières. Le chorégraphe multiplie les situations grotesques. Les tableaux qu’il crée associent sans faire de manières un vocabulaire académique brillamment exécuté avec l’univers de John Travolta et Kill Bill… Un ballet savoureux où la technique et le burlesque se complètent idéalement !
Recommandée