OSER SE DIRE OUI
- il y a 7 ans
CONSCIENSONS 40
OSER SE DIRE OUI
Refrain
Garder les yeux fermés, c’est mourir à p’tit feu
C’est refuser de voir, ce qui te rend heureux.
On t’a tellement fait croire, que l’bonheur c’est d’avoir
De l’argent du pouvoir, dictature de l’espoir.
Le sens du compromis, c’est ça ta religion
Tirer l’épingle du jeu, et damer les pions.
As-tu déjà pensée, qu’il suffit de dire OUI
Pour cesser d’imaginer, qu’chacun est un ennemi.
La tête bien enfoncée, dans le cul du voisin
Déni de soumission, tu te vois moins que rien
Envieux hypocrite, à toujours faire semblant
La main dans ta culotte, comme un petit enfant
Frustré et mal habile, tu refuses d’assumer
Que tu es responsable, de tes crottes de nez.
Rejet et abandon, source de tes cauchemars
Tu as toutes les raisons, de te fier au hasard
Total désimpliqué, soumis aux circonstances
Ta vie est une passoire, au fil de tes errances.
Tu crois que tu es Tout, alors que tu es Rien
Pouvoir de l’illusion, dans des détours sans fin.
Tu te drogues à l’espoir, au fil de tes excuses
Tu fuis sans lendemain, bloqué dans tes écluses
P’tites bières et sport de masse, te voilà le héros
Sur une feuille de papier, pari au mille zéro
Qui grossit l’illusion, jusqu’à te faire bander
Et enfiler ta femme, pour juste éjaculer.
Wow ! vivre en noir et blanc, sous un ciel grisonnant
Colorer ses idées, pour supporter le temps.
Soupirs dans les désirs, arrogance dans l’amour
Imposer ses délires, dans la longueur des jours
Libérer ses colères, dans la tête des enfants
Pour reproduire hier, en éternel présent.
La vermine dans ta tête, poubelle du mental
De toutes ces peurs enfouies, comme des fleurs du mal
Poison anesthésiant, qui te garde enfermé
Enchainé à l’égo, ruminant des idées
Sans jamais regarder, au-delà de l’ignorance
À subir chaque jour, les séquelles de l’enfance.
La beauté du système, c’est de penser pour toi
Court- circuit des synapses, garant de mauvaise foi.
Labyrinthe en miroir, et auto compassion
Tu consommes ta vie, ignorant la passion.
Tu veux juste posséder, sans jamais apprécier
Achat de l’apparence, au pays des enculés.
Oser rentrer EnCorps, c’est sortir du dehors
Briser toutes les entraves, dans les mémoires du corps.
Oublier c’que tu sais, pour découvrir ton pays.
Dans ton monde intérieur, vois que tout est permis
Maitre de ton cosmos, tu es seul responsable
C’est à toi d’ordonner, l’équilibre de ta table.
Tu es un Être Unique, si tu veux l’assumer
Affranchi libéré, pour enfin transcender
Les engrammes du connu, sans aucun autre choix
Que le son de ton verbe, pour descendre de ta croix.
Laisser venir à toi, les étoiles du destin
Lumière de la Conscience, qui pave ton chemin.
MIRAMÕNDE Samouraï Ara Ki Rit
Ordre du Miram Ordre des Samouraïs Kantik
OSER SE DIRE OUI
Refrain
Garder les yeux fermés, c’est mourir à p’tit feu
C’est refuser de voir, ce qui te rend heureux.
On t’a tellement fait croire, que l’bonheur c’est d’avoir
De l’argent du pouvoir, dictature de l’espoir.
Le sens du compromis, c’est ça ta religion
Tirer l’épingle du jeu, et damer les pions.
As-tu déjà pensée, qu’il suffit de dire OUI
Pour cesser d’imaginer, qu’chacun est un ennemi.
La tête bien enfoncée, dans le cul du voisin
Déni de soumission, tu te vois moins que rien
Envieux hypocrite, à toujours faire semblant
La main dans ta culotte, comme un petit enfant
Frustré et mal habile, tu refuses d’assumer
Que tu es responsable, de tes crottes de nez.
Rejet et abandon, source de tes cauchemars
Tu as toutes les raisons, de te fier au hasard
Total désimpliqué, soumis aux circonstances
Ta vie est une passoire, au fil de tes errances.
Tu crois que tu es Tout, alors que tu es Rien
Pouvoir de l’illusion, dans des détours sans fin.
Tu te drogues à l’espoir, au fil de tes excuses
Tu fuis sans lendemain, bloqué dans tes écluses
P’tites bières et sport de masse, te voilà le héros
Sur une feuille de papier, pari au mille zéro
Qui grossit l’illusion, jusqu’à te faire bander
Et enfiler ta femme, pour juste éjaculer.
Wow ! vivre en noir et blanc, sous un ciel grisonnant
Colorer ses idées, pour supporter le temps.
Soupirs dans les désirs, arrogance dans l’amour
Imposer ses délires, dans la longueur des jours
Libérer ses colères, dans la tête des enfants
Pour reproduire hier, en éternel présent.
La vermine dans ta tête, poubelle du mental
De toutes ces peurs enfouies, comme des fleurs du mal
Poison anesthésiant, qui te garde enfermé
Enchainé à l’égo, ruminant des idées
Sans jamais regarder, au-delà de l’ignorance
À subir chaque jour, les séquelles de l’enfance.
La beauté du système, c’est de penser pour toi
Court- circuit des synapses, garant de mauvaise foi.
Labyrinthe en miroir, et auto compassion
Tu consommes ta vie, ignorant la passion.
Tu veux juste posséder, sans jamais apprécier
Achat de l’apparence, au pays des enculés.
Oser rentrer EnCorps, c’est sortir du dehors
Briser toutes les entraves, dans les mémoires du corps.
Oublier c’que tu sais, pour découvrir ton pays.
Dans ton monde intérieur, vois que tout est permis
Maitre de ton cosmos, tu es seul responsable
C’est à toi d’ordonner, l’équilibre de ta table.
Tu es un Être Unique, si tu veux l’assumer
Affranchi libéré, pour enfin transcender
Les engrammes du connu, sans aucun autre choix
Que le son de ton verbe, pour descendre de ta croix.
Laisser venir à toi, les étoiles du destin
Lumière de la Conscience, qui pave ton chemin.
MIRAMÕNDE Samouraï Ara Ki Rit
Ordre du Miram Ordre des Samouraïs Kantik