le baiser du retour
- il y a 7 ans
Depuis que Paul est parti se battre sur le front, Joséphine, enceinte de
leur cinquième enfant, s’occupe de la ferme avec Gervaise, sa belle mère acariâtre qui lui rend la vie impossible. C’est dans la correspondance échangée avec son époux que la jeune mère de famille oublie, le temps d’une lettre, la tragédie de la Grande Guerre de 1914.
Peu de temps après la dernière permission de Paul, arrive une funeste lettre annonçant sa disparition.
Mais Joséphine, qui nourrit une sixième vie en son sein, ne peut se
résoudre à la mort de son époux…
Après avoir travaillé avec passion sur le fol engagement des recluses au moyen-âge à se laisser emmurer pour sauver leurs pairs de la famine, de l’envahisseur ou de la peste
comme dans sa pièce « Recluse », l’auteur semble ne pas vouloir quitter le monde féminin.
L’idée de faire un travail sur les conditions des femmes pendant la guerre de 14-18 est un sujet cher à l’auteur qui restera en gestation dans sa tête durant de longues années,bien avant celui de «Recluse».
Au fil du temps le scénario se construit, il manque simplement le déclic !
En 2013, l’auteur hérite de la correspondance de ses grands-parents maternels durant la grande guerre, de braves paysans Vosgiens qui, de cartes postales en cartes postales se racontent.
Une seule lecture suffit au déclic attendu.
Jean-Zéphyr Idoux découvre alors ses aïeux qu’il n’a pas connu, Paul est mort en 1918 et Joséphine en 1949. A travers leurs confidences, naissent à ses yeux des êtres tendres -reflétant les traits de caractère de sa mère- des êtres amoureux, inquiets pour leurs six minots de cette guerre qui n’en finit pas et qui les sépare, mais des êtres toujours
confiants. De courriers en courriers, ils expriment leurs craintes, leurs souffrances, mais
aussi leurs espoirs qui cimentent jour après jour leur Amour indéfectible, simple, pur et sincère.
Il ne s’agit plus à l’auteur que de marier à son scénario ces deux âmes et « Le Baiser du retour » ce baiser tant attendu, naît sous la volupté de sa plume.
leur cinquième enfant, s’occupe de la ferme avec Gervaise, sa belle mère acariâtre qui lui rend la vie impossible. C’est dans la correspondance échangée avec son époux que la jeune mère de famille oublie, le temps d’une lettre, la tragédie de la Grande Guerre de 1914.
Peu de temps après la dernière permission de Paul, arrive une funeste lettre annonçant sa disparition.
Mais Joséphine, qui nourrit une sixième vie en son sein, ne peut se
résoudre à la mort de son époux…
Après avoir travaillé avec passion sur le fol engagement des recluses au moyen-âge à se laisser emmurer pour sauver leurs pairs de la famine, de l’envahisseur ou de la peste
comme dans sa pièce « Recluse », l’auteur semble ne pas vouloir quitter le monde féminin.
L’idée de faire un travail sur les conditions des femmes pendant la guerre de 14-18 est un sujet cher à l’auteur qui restera en gestation dans sa tête durant de longues années,bien avant celui de «Recluse».
Au fil du temps le scénario se construit, il manque simplement le déclic !
En 2013, l’auteur hérite de la correspondance de ses grands-parents maternels durant la grande guerre, de braves paysans Vosgiens qui, de cartes postales en cartes postales se racontent.
Une seule lecture suffit au déclic attendu.
Jean-Zéphyr Idoux découvre alors ses aïeux qu’il n’a pas connu, Paul est mort en 1918 et Joséphine en 1949. A travers leurs confidences, naissent à ses yeux des êtres tendres -reflétant les traits de caractère de sa mère- des êtres amoureux, inquiets pour leurs six minots de cette guerre qui n’en finit pas et qui les sépare, mais des êtres toujours
confiants. De courriers en courriers, ils expriment leurs craintes, leurs souffrances, mais
aussi leurs espoirs qui cimentent jour après jour leur Amour indéfectible, simple, pur et sincère.
Il ne s’agit plus à l’auteur que de marier à son scénario ces deux âmes et « Le Baiser du retour » ce baiser tant attendu, naît sous la volupté de sa plume.