Leonard Cohen, le poète derrière le chanteur
  • il y a 7 ans
C‘était une voix, grave, celle d’un chanteur, poète, qui a chanté les femmes, l’amour, la religion, le sexe. Léonard Cohen s’est éteint à l‘âge de 82 ans mais ses ballades mélancoliques demeurent.

Né en 1934 au Québec, dans une famille juive aisée de Montréal, Cohen se consacre dès ses années étudiantes à la poésie. Passionné par l’oeuvre de Garcia Lorca, il écrit mais ses poèmes ne lui permettent pas de vivre.
Au milieu des années 60 il devient auteur-compositeur et déménage à New York ooù il sort son premier album “Songs of Leonard Cohen”, en 1967.

Deux autres suivront rapidement, “Songs From a Room” et“Songs of Love and Hate”.

En 2010, il reçoit un Grammy pour l’ensemble de sa carrière.

Et puis Leonard Cohen c’est aussi cette chanson, “Halleluia”, reprise plus de 200 fois et née dans la douleur après trois ans de travail et une centaine d’esquisses.

En 2007, le compositeur américain Philip Glass a mis en musiques les poèmes de Cohen.
“Leonard Cohen, est à la fois un poète et un auteur-compositeur, c’est l’associaition des deux qui permet de mettre facilement son travail en musique”, explique-t-il.

Sa musique est souvent teintée de spiritualité, sa religion juive imprimée dans ses paroles. Léonard Cohen rester atoute sa vie attaché a cette religion même s il s est refugié un temps dans le boudhisme poussant son mysticime a devenir moine et à se refugier dans un monastère californien.

La voix plus grave que jamais, Leonard Cohen avait sorti son dernier album en octobre dernier, “You want it darker”.

Déclaration au sujet du décès de Leonard Cohen : https://t.co/jGHf1lK0ve— Justin Trudeau (@JustinTrudeau) 11 novembre 2016

Suzanne, Marianne… Il les a célébrées dans ses textes et ses chansons. #LeonardCohen et ses muses ► https://t.co/Oh8AGzvLGR pic.twitter.com/4SUwB2dKS6— France Inter (franceinter) 11 novembre 2016

« Suzanne », « Bird on the Wire » et « Hallelujah », trois chansons de Leonard Cohen pour l’éternité https://t.co/j1Ktj0hl6X par blesprit— Le Monde (@lemondefr) 11 novembre 2016
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