Réanimation d'urgence by Martinou

Covid-19 : des soignants formés en urgence pour rejoindre les services de réanimation

Comment des soignants sont formés en urgence pour intervenir en réanimation

Coronavirus : un service de réanimation créé en urgence en Seine-Saint-Denis

Coronavirus : des infirmiers formés en urgence dans les services de réanimation

Coronavirus : l’hôpital de Creil n’a plus de service mobile d’urgence et de réanimation

Grands noms d’anesthésie réanimation Urgence

Inauguration du nouveau service réanimation de l'hôpital."Longue vie à la réa de Martigues"

"Cette nuit, il restait un lit en réanimation, on entassait les patients aux urgences"

Coronavirus - Pour Philippe Juvin, chef des urgences de l’hôpital Georges Pompidou, le niveau de saturation dans les services de réanimation « arrive plus vite qu’au mois de mars » - VIDEO

HOSAT: RENFORCEMENT DES CAPACITÉS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION ET URGENCES VITALES

Coronavirus: Philippe Juvin (chef de service d'urgences) décrit le profil des patients en réanimation

Fermeture des urgences de l'Hôtel-Dieu pour ouvrir ailleurs des lits de réanimation

HOSAT: SECONDE JOURNÉE DE RENFORCEMENT DES CAPACITÉS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION ET URGENCES VITALES

Audition du Pr Philippe Hubert, chef du service de réanimation pédiatrique, réanimation néonatale et soins intensifs et du Dr Robin Cremer, Dr en réanimation pédiatrique - Mercredi 10 Septembre 2008

« Cette nuit, nous n'avions plus un lit de réanimation sur 100 lits de disponibles », indique Nicolas Bruder, chef du service réanimation à l'hôpital de la Timone à Marseille

Karine Lacombe : "La médiane en âge des personnes en réanimation est inférieure à 60 ans, on a un changement de profil des personnes en réanimation. Ce rajeunissement s'explique par le fait que la vaccination des personnes âgées a très bien fonctionné."

Karine Lacombe : "Les gens qui arrivent en réanimation sont plus jeunes, il y a beaucoup de femmes. Et ces personnes restent longtemps en réanimation, celles qui s'en sortent ont beaucoup de séquelles."

"On doit faire des choix sur les gens qu'on prend en réanimation ou non": la pression sur les hôpitaux continue de s'intensifier, le chef du pôle anesthésie-réanimation du CHU de Bordeaux témoigne

Martin Hirsch, directeur de l'AP-HP : "Quand les réanimateurs jugeront que la réanimation n'a comme effet que de prolonger que de 8 jours (...) ils feront le rationnel de ne pas se lancer dans une réanimation dont la conclusion est déjà connue."

L'après réanimation : visite du Service de Rééducation Post-Réanimation de l'hôpital Forcilles