ALLELUIA
- il y a 8 ans
CONSCIENSONS 25
ALLELUIA
Refrain
A a leluia, tu crois avoir trouvé
Dans le style eurêka, permets-moi d’en douter
Si c’était le cas, tu cesserais de penser
Tu n’imagines même pas, ce que c’est qu’Assumer.
C’est le temps de vous dire, prendre le temps de montrer
Le sens même de l’Éveil, ce que tu dois assurer
Pour libérer ta tête, sous l’contrôle du mental
Oblitérer les peurs, voir que tout est normal
C’est la première épreuve, celle de la transgression
Le plus gros des boulets, stopper la négation.
Dire Oui et EnCorps OUI, reconnaitre accepter
Ce que la Vie propose, pour enfin t’libérer
De toutes ces contraintes, de ces conditionnements
Qui te gardent enfermé, dans le supplice du temps.
Ok ! Tu veux commencer, vas devant un miroir
Dis, cris, gueule « JE T’AIME TOI », libère ce désespoir
Et crache cette énergie, dont se goinfre ton mental
Il alimente tes doutes, et tu te vois banal
Tu n’oses pas regarder, ce qui vient face à face
Tu baisses les yeux, ta volonté s’efface
En t’disant dans ta tête, que l’autre est mieux que toi
Même si tu n’en crois rien, tu vas plier chaque fois
Refouler ta colère, plutôt que d’affirmer
« Merde que j’en ai marre, de toujours me faire chier. »
Nouvelle étape « LE DIRE », ne plus rien censurer
Laisser fuser les mots, par devoir d’exprimer
Ce que tes sens captent, parce que t’es responsable
De ne plus rien garder. Pour voir que t’es capable
De te positionner, valider ton point de vue
Sans jamais redouter, de te mettre à nu.
Tes mots sont l’impulsion, que tes sens ont captée
Une sorte de partition, d’énergie accordée
Qui vont te valider, si tu oses fréquencer
La puissance du verbe, dans le son libéré.
Pour ton étape suivante, tu dois t’attendre au pire
Entrer dans le « TOUCHER », c’est la caution du « DIRE »
TOUCHER pour oser Prendre, et fixer dans l’instant
L’information subtile, sans référence au temps.
Ton outil c’est la Main, c’est elle qui sécurise
Et qui valide le Tout, quoi qu’on pense, qu’on en dise
Si on les sort des poches, elles deviennent les alliés
Les réels gestionnaires, qui imposent de regarder
Bien au-delà des mots, au-delà du compris.
Vouloir oser TOUCHER, c’est connecter la Vie.
Maintenant tu vas admettre, que tu es différent
Que tu veux t’unifier, ne plus être subissant.
Ne plus rien concevoir, qui t’oblige de freiner.
Les autres sont que les autres, tu vas transgresser
Dans ton imaginaire, la somme des interdits
Nettoyer tes mémoires, pour t’extraire du déni
Regarder ce qui est, t’accorder à tes sens,
Distinguer l’influence, du lien d’appartenance
Apprendre à dire chaque fois, ça ne m’intéresse pas
Quand c’est l’mental qui parle, pour t’tirer vers le bas.
Ah oui l’Imaginaire ! C’est pas d’la projection
De fantasmes de délires. C’est ta première caution
Pour ton affirmation. C’est la porte du réel
Qui transcende l’émotion, ouvre à l’Universel
Pour te positionner, dans ton Intégr
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ALLELUIA
Refrain
A a leluia, tu crois avoir trouvé
Dans le style eurêka, permets-moi d’en douter
Si c’était le cas, tu cesserais de penser
Tu n’imagines même pas, ce que c’est qu’Assumer.
C’est le temps de vous dire, prendre le temps de montrer
Le sens même de l’Éveil, ce que tu dois assurer
Pour libérer ta tête, sous l’contrôle du mental
Oblitérer les peurs, voir que tout est normal
C’est la première épreuve, celle de la transgression
Le plus gros des boulets, stopper la négation.
Dire Oui et EnCorps OUI, reconnaitre accepter
Ce que la Vie propose, pour enfin t’libérer
De toutes ces contraintes, de ces conditionnements
Qui te gardent enfermé, dans le supplice du temps.
Ok ! Tu veux commencer, vas devant un miroir
Dis, cris, gueule « JE T’AIME TOI », libère ce désespoir
Et crache cette énergie, dont se goinfre ton mental
Il alimente tes doutes, et tu te vois banal
Tu n’oses pas regarder, ce qui vient face à face
Tu baisses les yeux, ta volonté s’efface
En t’disant dans ta tête, que l’autre est mieux que toi
Même si tu n’en crois rien, tu vas plier chaque fois
Refouler ta colère, plutôt que d’affirmer
« Merde que j’en ai marre, de toujours me faire chier. »
Nouvelle étape « LE DIRE », ne plus rien censurer
Laisser fuser les mots, par devoir d’exprimer
Ce que tes sens captent, parce que t’es responsable
De ne plus rien garder. Pour voir que t’es capable
De te positionner, valider ton point de vue
Sans jamais redouter, de te mettre à nu.
Tes mots sont l’impulsion, que tes sens ont captée
Une sorte de partition, d’énergie accordée
Qui vont te valider, si tu oses fréquencer
La puissance du verbe, dans le son libéré.
Pour ton étape suivante, tu dois t’attendre au pire
Entrer dans le « TOUCHER », c’est la caution du « DIRE »
TOUCHER pour oser Prendre, et fixer dans l’instant
L’information subtile, sans référence au temps.
Ton outil c’est la Main, c’est elle qui sécurise
Et qui valide le Tout, quoi qu’on pense, qu’on en dise
Si on les sort des poches, elles deviennent les alliés
Les réels gestionnaires, qui imposent de regarder
Bien au-delà des mots, au-delà du compris.
Vouloir oser TOUCHER, c’est connecter la Vie.
Maintenant tu vas admettre, que tu es différent
Que tu veux t’unifier, ne plus être subissant.
Ne plus rien concevoir, qui t’oblige de freiner.
Les autres sont que les autres, tu vas transgresser
Dans ton imaginaire, la somme des interdits
Nettoyer tes mémoires, pour t’extraire du déni
Regarder ce qui est, t’accorder à tes sens,
Distinguer l’influence, du lien d’appartenance
Apprendre à dire chaque fois, ça ne m’intéresse pas
Quand c’est l’mental qui parle, pour t’tirer vers le bas.
Ah oui l’Imaginaire ! C’est pas d’la projection
De fantasmes de délires. C’est ta première caution
Pour ton affirmation. C’est la porte du réel
Qui transcende l’émotion, ouvre à l’Universel
Pour te positionner, dans ton Intégr
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